La course a l’échalote ou le syndrome de benny hill…

et pour les moins jeune d’entre vous, en lisant le titre, je suis sur que vous vous êtes mis a fredonner la célèbre musique de benny hill. je sais, de rien, ne me remerciez pas. ( et je suis sur que vous continuez, la. et si c’était pas le cas, maintenant c’est fait. 🙂 )

pour nous, en ce moment, c’est un peu ça, tout le temps. pire que des furets ! on galope dans tous les sens.

car si nous avons convenus avec madame, d’un commun accord et sans trop se forcer, de rentrer dans cette foutu maison avant l’hiver, il s’avère que finalement, c’est pas de tout repos et voir même que ça frise le chalenge. mais même pas peur.

mais bon, la couche de corps sur les murs : tcheck !

et il fallait bien que je mette de coté, la menuiserie, pour aider Estelle sinon, ça ne l’aurais pas fait. reste quelques retouches et les cloisons a finir. mais ça devrait être plus rapide. pas d’épaisseur a rattraper et un support droit devrait grandement faciliter la tache.

bon, rien de bien nouveau, bétonnière, terre, sable, taloche, tout ça, tout ça…

a part, gerald qui est revenu nous filer un coup de main. paix, félicité et bisous mouillé sur lui et ces proches, sur 14 générations. ( extension de garantie + 20 ans, disponible, pour la modique somme de 257 journée de coup de main a utiliser par l’auteur de ces lignes selon son bon vouloir. mais bières offertes, hein !)

donc, en vrac, quelques photos.

au rayon des bonnes nouvelles, l’été est enfin la ( … ) et ça commence enfin a sécher… au rayon des mauvaises, on ne coupera pas au déshumidificateur, ne serait ce, par sécurité. et on a de nouvelles traces de moisissures. ça fait des taches blanchâtres sur les enduits. on en voit sur les premières photos du cellier. bon… a part les brosser, quand elles seront sèches…

bon, ça, c’est fait. bon, bin, alors… menuiserie ! et les marchands de viagra font faillite… rhôôô, ma robland ! mon amûûûûr !!! rhâââ ton chariot coulissant, huuummm, tes tables en fontes amovibles et cet entraineur… tu me fait tourner la tête, grande folle.

bon, alors fenêtre mais surtout portes.

j’ai commencé a lasurer les premières fenêtres. pour info et sur les conseils d’amis et de mon fournisseur qui a confirmé le tout, j’ai passé une couche de cetol novatech de chez sikkens qui sert de couche de protection primaire, suivi de deux couches de Cetol Filter 7 Plus.

apparemment, ces produits sont la référence et c’est ce qu’il faut mettre pour ne pas être embêté. tout ceux avec qui j’en ai discuté donne une durée de 5 ans avant de devoir remettre une couche.

on a choisi la couleur buis. c’est un bon compromis entre la teinte qui reste assez clair et la présence de pigment, qui est indispensable pour stopper ou du moins réduire l’impact des U.V sur le bois. et sur le chêne, c’est primordial car c’est un bois avec des tanins très prononcé et il vaut mieux éviter qu’il ressorte sinon, ça donne des trace noire toute moche.

un petit coup de ponçage préliminaire…

un petit coup de ciseau a bois dans les angles pour enlever les traces de colle ou la ponceuse ne peux pas passer.

et lasure.

les trois couches sont passé, reste l’autre coté a faire.

et maintenant les portes. et même si l’été est revenu ( wooo ponponette ! ), les nuits commencent a devenir fraiche avec des 8 °, certaines nuits. donc, il fallait s’énerver sur les dernier collages pour éviter de devoir coller les portes dans notre, néanmoins spacieux, 24 m2. entre la table et le buffet, tout en mettant le canapé debout. et madame désapprouve.

donc, deux portes, une d’entrée et une porte fenêtre pour l’arrière de la maison, le tout assemblé en rainure languette.

j’ai commencé par faire les fenêtres. pour rappel, sur mon premier plan, les montants n’était pas assez large pour pouvoir mettre les crémones de portes. d’où le rajout de la fenêtre.

tu les vois les deux portes ?

donc, un bâti classique et les fenêtres a ajuster au poil de fondement pour qu’il n’y ait pas de jour.

on était parti pour faire un petit chanfrein autour des fenêtres ( comme sur la porte de l’atelier ) mais finalement, on laisse jointer le tout, pour faire un ensemble assez homogène. m’enfin, nous, on aime bien.

et après une bonne matinée a ajuster l’ensemble…

puis fignolage des rainures

puis avec l’aide de madame, montage a blanc.

et collage. bin, ça en fait des pièces a encoller… et avec un vent et un courant d’air assez prononcé qui accélérait le temps de prise de la colle, benny hill n’était pas loin…

et mis en presse.

et même punition pour la porte fenêtre.

un ch’tio coup de ponçage avec mon avion de chasse ( aussi bruyante qu’efficace comme machine… )

et tâââdâââm !!!

simple, efficace mais néanmoins doté d’un certain classicisme, digne de l’école mourniere de la porte qui ferme.

bon, le chêne, c’est chouette mais ça pèse un âne mort. je déconseille donc vivement a tout témoin de Jéhovah ou représentant de commerce aventureux de tenter le coup du pied dans l’entrebâillement de la porte pour éviter de se faire éconduire de façon cavalière. y a risque de devenir un sujet d’étude pour un spécialiste de la reconstitution des os du pied, voir d’amputation sans anesthésie.

reste a faire les dormants et les défonces pour les crémones. encore un peu de boulot mais on tient le bon bout.

maintenant que les portes sont faites, on va pouvoir relever toutes les côtes de vitrage et aller jouer au marchand de tapis chez les fournisseurs de vitrage.

pour finir, comme je n’ai pas assez de boulot a l’heure actuelle et de meuble a faire dans le futur, j’ai fait l’acquisition, d’une petite tranche de séquoia qui devrait se transformer en table basse du meilleur effet.

bon, la c’est du brut, qui a vécu, mais j’ai raboté un coup et l’on peut apercevoir la belle couleur du séquoia, qui de rougeâtre a tendance a se teinter couleur chocolat au soleil. miam !

l’avantage, c’est qu’il y a une face de rectifiée ce qui devrait grandement faciliter le boulot.

bon, allez, on retourne galoper comme des furets !

Les davigel’s boys, le nouveau boys band a la mode.

chaaaaarliiiieee !!! geeraaallld !!! naaanôôô !!! vos corps de bête !!! vivement que je puisse afficher votre poster géant qu’il y aura dans la prochain numéro de davigel’s boys mag’ ( pour nous les filles ). tant de muscle, de force, de sueur, ça me rend folle !!! mon dieu, j’en perds la tête…

hahem… keuf.. keuf… bon, certes, les muscles de forces tout ça, tout ça, mais bon… ON Y CROIT PAS UNE SECONDE ! muscle de force, c’est ça, abdo kronembourg, oui ! heureusement… heureusement… que je vais a la même salle de gym qu’eux, même si j’ai une préférence pour les abdos leffe ou pelforth brune sinon, je pourrais passer pour un mauvais coucheur qui chambre ces potes qui sont venu lui filer un coup de main au lieu de passer leur journée a aller chercher des champignons. ( sont fort a ce jeu la, les bougres ) non, mais je vous jure ! ingrat !

le comité de rédaction tient a informer son lectorat que ça va vanner grave et que même si ça peut paraitre excessif, c’est bien peu de chose par rapport a ce qu’on s’envoie dans le museau a longueur de journée. donc, ne soyez en rien choqué, ils méritent, et pis c’est tout 🙂

donc, les copains du boulot sont venu nous filer un coup de main. bon, ça leur a fait bizarre, de travailler plus, en une journée que dans toute une semaine de boulot, mais ils ont quand même assurés grave.

leur mission, s’ils l’acceptent, les enduits de corps du rez de chaussée, de la cuisine, salle a manger. et s’ils acceptent pas, c’est pareil, on leur demande pas leur avis. enfin, si. mais en fait, non.

après une formation plus que sommaire assuré par mes soins, ils ont envoyé du pâté, chacun son bout de mur et plein de mots doux pour son voisin ( tu vas y arriver ? abruuuutiii ! laisse, je vais le faire le boulot ! ça ou rien, bin, fait plutôt rien ! un vrai je t’aime moi non plus ! )

le charlie en action ( et pour ces voisins, si, si, il a bossé, je l’ai un peu fouetté avec une enclume mais il a bien bossé )

la, on le voit, tel le lapin avant l’impact, pris dans les faisceaux des phares

la, c’est avant l’impact avec l’enclume susmentionné ( tendu le gars )

puis le gerald, alias le bourreau des cœurs de chalon ( ça va lui plaire 🙂 )

et le nano. alias le bricoleur ! non, j’déconne 🙂

et la, c’est tellement inattendu, tellement inespéré qu’on voit bien nos visages interloqué devant tant d’efficacité au travail.

bon, bon, allez, je rigole bien sur et que même je me suis marré en écrivant ça, en imaginant leur réaction. 🙂

en tout cas, même avec une inefficacité aussi avéré, on a fait plus que prévu et gagné une bonne semaine de boulot grâce a eux.

donc même si je les chambre, je suis bien content d’avoir de potes comme eux qui viennent quand j’en ai besoin. et ça, c’est bien cool de leur part. donc, un grand merci a nano, gerald et charlie. il m’ont couté cher en apéro mais ça valait le coup 🙂

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puis, on s’est remis en mode enduit en amoureux avec madame et ça commence a sentir la fin.

estelle tombe la majorité du boulot et je l’aide des que je peux. c’est pour ca que je suis de corvée ( et c’est peu de le dire ) de dessus de fenêtre ou la gravité fait rien qu’a m’énerver et me faire dire plein de gros mot très vulgaire. mention special pour le dessus de la porte fenêtre et de la baie vitrée… j’en suis a 4 passage et le 5 eme sera pas de trop pour terminer sans que ça se casse la gueule.

après avoir fait le plus gros des murs, facile d’accès, on est passé en mode cabri ou torticoli style.

m’enfin, ça se tire ! il reste un peu de rattrapage sur le pignon avec un petit morceaux que je l’ai pas pu finir hier, ainsi que le murs de notre chambre et de la salle de bain. avec un peu de chance, ça devrait être presque fini le week end prochain.

des qu’on a fini, les murs, je me remets sur la menuiserie pendant qu’estelle s’occupe des cloisons. le tout pour pouvoir fermer la maison et mettre en place le déshumidificateur qui va s’avérer indispensable…

on dit octobre le déménagement ? rhôôô, allez steup’

Quid de la santé mentale d’enduit girl et de bétonman ? car ils sont revenus et du coup, on s’inquiète…

hébé, oui… la question se pose…

nan, parce qu’ils savent qu’ils vont prendre cher, ils le savent ! ils sont parfaitement au courant ! qu’ils vont en chier, qu’ils vont poser la tête sur l’oreiller pour s’endormir aussitôt, qu’ils vont être fourbu comme un vieux bourrin sur le retour ou se réveiller courbaturé comme un cycliste qui se dope pas et l’impression d’avoir mis une pile au meilleur marathonien !

tout ça, ils le savent et ils reviennent ! c’est des malades. ou des gens bien. mais faut bien dire, qu’ils sont pas clair, on est d’accord ? ou peut être, que c’est des personnes hautement recommandable. bon, bon, faut pas exagérer quand même, hein… car béton man a quand même réussi ( sous la torture, j’ai mon honneur ! ) a me faire regarder la fin de la finale de la coupe du monde. et ça, c’est limite impardonnable ! et en plus, il fait rien qu’a regarder le site de l’équipe sur mon ordinateur quand il vient, et je sens bien que, lui aussi, il souffre. la carte mère surchauffe, le disque dur gratte frénétiquement et le processeur monte a 15 ghz… faire du mal, a un pôv ordinateur… dans quel monde, on vit !

avec la venue, d’enduit girl et de bétonman, on s’est tous mis sur les enduits intérieur. j’ai, du coup, mis en stand by, les fenêtres car on aimerait finir la couche de corps rapidement pour que ça sèche le plus longtemps possible.

a ce sujet, ça cague dans la colle. car ça ne sèche pas. avec la météo automnale actuelle, c’est la misère. et on envisage sérieusement l’achat d’un déshumidificateur de chantier pour assécher au maximum les enduits avant de rentrer dans la maison et de chauffer. car j’ai moyen envie de rentrer avec des enduits pas sec et une humidité qui se fera la malle dans les murs. on étudie la question mais ça nous parait la meilleure option pour l’instant.

béton man a retrouvé sa bétonnière et ces baignoires de terre préféré et s’est occupé de la préparation de la terre. il a pas remué la queue mais presque, il courrait comme un foufou autour des bassines, essayer de faire des choses pas clair a la bétonnière,  levé la patte sur les baignoires pour finir par se rouler sur le tas de terre. ça faisait plaisir a voir. quand on vous dit qu’il aime ça ! 🙂

et les enduits girl sister ont commencé par finir, les cloisons, a qui, estelle avait déjà mis une bonne gifle.

puis elles se sont mis sur la couche de corps. avec la même recette que pour la couche extérieur, éprouvé l’année dernière. j’étais parti pour laisser, de coté, la couche sur les cloisons mais vu, comment, on dégueulasse la maison, ça risque d’être tendu pour travailler proprement quand on sera dedans. donc, encore un peu de boulot, en plus.

ne pas oublier de cloutage des tour de fenêtres, nécessaire a l’accroche des enduits sur le bois.

on a eu aussi la visite de christine, notre nouvelle voisine qui s’installe avec david dans l’ancienne poterie de bernard et liliane. elle est venu s’essayer aux enduits terre pour refaire leur salle d’expo.

de mon coté, j’ai attaqué les enduits du cellier, endroit sans courant d’air et qui risque de prendre un moment a sécher correctement.

et agad’, si c’est beau, l’ensemble. nous, on kiffe grave, en tout cas !

actuellement, les deux chambres des ch’tio sont finie ( sont content les ch’tio ! ) et estelle a attaqué notre chambre aujourd’hui. de mon coté, j’ai fait la moitié du cellier.

au sujet de nos problèmes mycologique, après avoir passé une couche de bouillie bordelaise sur toutes les cloisons attaqué et devant l’inutilité de la chose, on a décidé de chauler le bouzin. donc avec une couche de lait de chaux, ça devrait régler le problème. du moins, on espère…

et, et, et… pour finir, la bétonnière qui nous a lâché. quand on en a besoin, bien sur. sans trop m’y connaitre, je crois que le roulement est mort 🙂

alors, elle est pas foutue, ça se change mais c’est pas simple. ça se passe a base d’arrache moyeux et de chauffage a coup de chalumeau, au préalable. voila, voila. donc, la, j’ai pas le temps. on verra cet hiver.

du coup, un copain nous prête la sienne en attendant et on devrait donc s’en sortir mais ça fait ch…

ça et les enduits qui sèche pas, ça commence a me les brouter sévère et nous fait envisager un report de déménagement, un peu trop lointain a notre gout. c’est toujours prévu pour cette année mais bien plus tard que prévu et ça…

en conclusion, même si je les taquine, un gros, gros merci a isabelle et laurent d’être revenu, une fois de plus, nous aider. ça nous touche vraiment. ( on leur a promis que l’année prochaine, il toucherait pas a un seul outil et passeront de vrai vacances reposantes ). je m’engage même a regarder une étape du tour de france a la télé… heuuu, bin, en fait, non, je déconne, mais c’est parce que j’ai pas la télé, que mon ordi est en panne, que j’ai pas payé mon fournisseur d’accès a internet, que y a plus de pile dans la radio et qu’on a pas de smartphone.

n’oublions pas aussi lucie qui a fait office de baby sitter avec une patience a tout épreuve et qui a, aussi donné un coup de main avec julie, sur les enduits. un grand merci et un gros bisous a elle.

allez, demain grosse journée, en perspective. les davigel boys viennent nous filer un coup de main et les enduits du RDC devrait prendre une bonne baffe sur le museau.

Fenêtre part VIII : crémone et début de portes

allez, cette fois ci, un ch’tio message ( garanti et tout ).

donc pour cette fois ci: paye ta défonce de crémone. ( mécanisme d’ouverture de la fenêtre )

j’ai commencé par la rainure

puis mortaisage, en mesurant tout bien, comme il faut.

et le résultat

puis, j’ai commencé a coller les premiers jet d’eau

puis, j’ai attaqué les portes. et un ch’ti problème est venu m’escagasser.

j’avais chiadé un joli petit plan sur le modèle de mes fenêtres, c’était tout plié dans ma tète et j’ai eu la bonne idée de vérifier ( faut toujours, tout vérifier… ) l’ensemble de mes mesures et entre autre, les crémones de portes.

et la, niet, ça passe plus. en gros, le mécanisme est trop profond et j’aurais du mortaiser la vitre, ce qui, convenez en, est une très mauvaise idée.

le plan original. la porte fenêtre devait être identique mais avec la partie basse vitrée.

et donc pour gagner en profondeur ( 2 cm, qu’il me manque ) on a changé une chouille en rajoutant de la matière.

et la porte fenêtre sera comme ça

en gros, c’est comme si j’avais rajouté une fenêtre dans le cadre. et finalement, on préfère. ça va être plus compliqué a faire ( pas insurmontable quand même ) mais de toutes façons, on a pas le choix.

j’ai donc, attaqué mon panneau plein, qui sera en bas de la porte.

assemblage en rainure languette

et rabotage du petit ventre résultant d’une mise sous presse un peu trop prononcé.

et finition a la ponceuse a bande

et si, juste cette pièce pèse déjà un âne mort, je pense qu’il vaudra mieux éviter de ce prendre la porte au complet dans le museau.

mise a part ce petit ventre, ça jointe nickel, de partout et c’est le principal.

pour finir, madame est sur la fin des cloisons ( il lui en reste une et demi ) et avec l’arrivée aujourd’hui d’enduit girl et de betonman, ça sera fini rapidement et ils pourront attaquer les enduit intérieurs. yes !

Fenêtre part VII : cherche formation de clown menuisier.

toujours un rendement pas exceptionnel mais ça avance.

je me suis occupé du perçage des charnières avec l’aide d’un petit gabarit.

un petit bout de scotch pour la profondeur de perçage

et fight !

bon, ça, nickel. m’enfin, rien de bien difficile.

et je suis passé a ma fameuse fenêtre triangle ouvrante et la, l’ensemble du cirque zavatta est venu m’aider dans les prises de mesures…

ha bin… du chouette boulot… et j’ai bien passé 20 mn a mesurer dans tous les sens et revérifier que je me plantais pas. et… et… roulement de tambour et tarte a la crème dans la tronche ( hô, que si, que je la mérite… ) rhôôô juste 5 cm d’écart… j’ai un doute sur l’étanchéité a l’air…

bon, reprenons quand même du début.

celle la, je devais faire les tenons a la main car mon kit fenêtre est trop court. donc scie japonaise et ciseau a bois.

je sais plus, si j’ai déjà parlé de la scie japonaise mais ça, c’est de l’outil ! de toute façon, les japonais sont aussi balèze en outil a main qu’en gadget et émission télé débile, c’est dire la qualités de leur outils.

la scie japonaise est différente de la scie classique déjà, par la façon de l’utiliser.

une scie classique coupe en poussant alors que la jap’ coupe en tirant. ce qui permet déjà des épaisseurs de lame très fine sans risque qu’elle se torde, a chaque coup de scie, vu que l’effort se fait en tirant. c’est aussi plus précis car toujours, le fait de tirer évite de partir de traviole, ça peut arriver mais le risque est bien moins grand que sur une scie classique.

et deuxièmement, c’est les dentures. sur la mienne, une ryoba, elle possède deux dentures, une pour la coupe dans le sens du fil du bois, la grosse et l’autre en travers, la plus fine. et c’est juste top.

et c’est même pas forcement plus cher qu’une bonne stanley. donc, si vous devez rachetez une scie, essayez, c’est l’adopter ! y en a ici ( en france ) et ici ( en allemagne ) . et surtout ne demandez pas le catalogue du second, c’est juste le playboy de l’amateur du travail du bois et vous risquez a coup sur de vous fâcher avec votre banquier 🙂

agad, si ça travaille bien !

puis dégagement au ciseau a bois.

ensuite, passage dans la toupie pour finir l’ensemble qui était pas trop mal réussi, mis a part le gourragement dimensionnel.

et on revient a la bordée de juron prononcés après la découverte de l’immensité de mon ânerie ( abyssale, si, si, ).

alors pour être sur, de ne pas me replanter, ( sifflotement discret… ) j’ai scié ( arghhh, mon petit cœur saigne ) ma belle fenêtre, pour mesurer l’erreur et rajouter des taquets permettant de confirmer les bonnes dimensions.

j’ai bien caressé l’espoir de me rattraper au branche en recollant ces taquets pour pas gâcher ma belle fenêtre tout en espérant ne pas mourir de honte lorsque je l’aurais mis en place mais, finalement, j’ai abandonné l’idée, de crainte que ce ne soit pas assez solide.

bon, bin, faut la refaire, alors.

j’ai redébité, raboté, tenonné manuellement le bouzin, propre, nickel…

et… et… n’entendez vous pas, cette musique enjoué annonçant, des tigres, des lions, des acrobates et surtout bozo le clown et ces tartes a la crème arrivant avec ces godasse de 4 mètre de long et son nez rouge ?

ha, non, mais c’est juste des baffes dans la gueule que je mérite ! c’est pas des tartes a la crème qu’il me faut mais des parpaing ! ( a la crème, si vous voulez )

alors, les dimensions, check ! je pouvais difficilement me gourer après le précédent naufrage menuisier. bah alors pourquoi la baffe dans la gueule, le parpaing, que dis je… l’enclume ?

je vous laisse constater la seconde catastrophe menuisière…

voila, voila… j’ai oublié de compenser les pare closes et y a comme un manque. la classe, non ?

alors, je ne dirais qu’un mot: FUCK ! et pis gogo gadget au costume de tarzan, spechiole rattrape au branche ( enfin, la, c’est plutôt George de la jungle, attention a l’arbre ! ).

oui, je suis mort de honte et je ressemble a un vacancier qui aurait oublié la crème solaire et se serait endormi 12 heures en plein soleil…

mais… vu que cette magnifique fenêtre va se trouver entre le mur du haut du pignon et la ferme, ferme qui devrait presque la cacher, j’ai conditionné mon cerveau pour effacer ce malheureux épisode de naufrage menuisier et je me suis autosuggestionné que j’ai fait du bon boulot et qu’il n’y a donc aucune raison d’être mort de honte. ou pas.

pour finir avec la fenêtre maudite, elle devrait s’ouvrir comme ça. pas très conventionnel mais, il n’y a que dans ce sens qu’elle ne frotte et coince pas.

ça nous donne une vingtaine de cm d’ouverture, ce qui sera parfait pour son unique fonction d’aération estivale et ce qui équivaut a l’espace disponible entre le mur et la ferme ( ça se verra pas que je vous dis, allez, heuu, croyez moi, heuuu )

dans le sens le plus logique, on pète du 5 cm max car ça coince dans les angles en pointe.

et parce que j’ai pas fini avec les conneries, en v’la encore un petiote pour la digestion. qui, qui n’a, oublié de faire la feuillure pour le joint du dormant de la fenêtre triangle ?

cette fois ci, c’est rattrapable mais ça m’aura pas fait gagner de temps…

j’ai repassé le dormant a la toupie avec la fraise adéquate et une bague de copiage et je m’en sort pas trop mal.

mais les angles était inaccessible par la fraise. donc a la mano.

pour en finir avec les fenêtres, j’ai aussi fini de poncer toutes les fenêtres et de les cheviller a la cheville étoile zamak. pré perçage et marteau pour sécuriser l’assemblage. on voit bien les chevilles dans les angles, sur cette photo ( et on ne regarde que les chevilles, hein ? )

voila pour les fenêtres, cette semaine, pose des crémones, si tout va bien, puis finition et lasurage.

et pendant, que je fais pisser de rire les ch’ti n’enfant avec mes parpaing a la crème, heureusement qu’Estelle bosse et rattrape la moyenne de la famille Monvel.

même si elle travaille quasiment toute seule, dame Estelle a eu droit a des coups de main ponctuel. a commencer par mon petit trésor qui a décidé d’aider sa maman. jouer dans la boue sans se faire gronder, ça, c’est bonnard ! 🙂

puis isabelle et laurent sont venu un week end pour lui donner la main.

les torchis sister en pleine action !

un grand merci a isa et laurent.

du coup, le rez de chaussé est fini et il reste trois grandes cloisons a l’étage.

au rayon mauvaise surprise, on a eu une poussée de champignon assez fulgurante et fournie sur une des cloisons. humidités des cloisons, de l’air et obscurités et on est pas loin de l’omelette qui va bien. 🙂

recto

verso

je pense pas, que ce soit très grave mais c’est impressionnant. je suppose qu’il devait y avoir des spores dans la terre et les bonnes conditions réunies ont fait que ça s’est transformé en fête du slip.

et ça sera tout pour cette fois.

Fenêtre part VI, le rendement baisse mais une délicate odeur de  » ça, c’est fait » commence a me chatouiller les narines délicieusement.

en effet, le rendement a pris une bonne gifle mais bon si vous mangiez moins de glace, j’aurais pas a les livrer et je rentrerais plus tôt du boulot pour continuer mes fenêtres. vous n’êtes pas raisonnable. donc, plus de glace ! votre ceinture vous en remerciera et moi aussi !

j’ai commencé par fixer les gueules de loup. elles sont vissé. pourquoi, je sais pas trop mais bon… c’est comme ça qu’on fait.

je suis parti sur quatre vis, pré-percé et fraisé.

puis j’ai rattrapé une ch’tiote connerie. je n’aurais pas du faire la rainure du joint, coté gueule de loup. je l’ai donc rempli avec du silicone et en ai profité pour en mettre une chouille sur les surface en contact, pour parer un éventuel risque de fuite d’étanchéité.

puis la petite rainure, pour le joint coté intérieur sur la gueule de loup que j’ai failli oublier et fait du coup, a la défonceuse.

avec les gueules de loup mise en place, j’ai pu mesurer précisément ( m’enfin, tout est relatif, vous verrez plus loin… ) les longueurs nécessaire a la fabrication des dormants, sans oublier les jeux de fonctionnement de la fenêtre. j’ai mis du 3 mn en bas, la ou le poids du vitrage peut éventuellement faire piquer du nez, la fenêtre et donc frotter et du 2 mn sur les cotés et en haut.

et les dormants usinés.

et montage a blanc. la maman robland et son bébé 🙂

puis après avoir rajouter des pieds a mes serres joints dormant pour qu’il arrête de se vautrer comme des bouses au moindre mouvement ( vindieu, ce qu’il m’ont énervé les fourbes… )

j’ai commencé par couper un ch’tio bout de la gueule de loup pour permettre le passage dans le dormant

un coup de ciseau a bois et roule, nickel tout propre.

puis mis en place des cales pour le jeu de fonctionnement. agrafé avec un petit coup de marteau pour bien enfoncer l’agrafe.

et… et… et… caguade. pas dramatique mais il est pas fier le gars. gouragement dans les mesures des montants des ouvrants. j’ai du merder sur les jeux de fonctionnement, je vois que ça.

en gros, il sont trop court et ça donne ça.

heureusement que les jurons très très vulgaire que j’ai beuglé ont couvert le bruit des coups de pelle de maçon que je me collais sur le museau…

bon, c’est pas dramatique, il faudra raboter l’excédent et la traverse haute sera donc moins large mais bon… j’ai merdé et pis c’est tout. avec les félicitations du jury.

et le premier collage. on colle avec les ouvrants en place, les cales de jeu permettant d’avoir les bonnes dimensions et d’équerrer tout ça.

je suis passé ensuite a l’usinage de la pente des jets d’eau.

en passant, le tanin du chêne… certes, ça fait du bon pinard et de l’encore meilleur whisky mais un peu de sueur, de la poussière de chêne par dessus et on est moucheté, et pour y faire partir… j’ai le bout des doigts et paume des mains toujours tachés depuis que j’ai attaqué les fenêtres…

et les deux premières fenêtre collées en attende de finition et de quincaillerie.

voila, j’ai reçu ma quincaillerie, j’attends la lasure et c’est pour ça que ça sent bon la fin. si tout va bien et que les vents sont favorable, fin juillet, c’est plié.

et pendant que monsieur se fait plaisir avec sa machine a bois, madame en chie un peu mais envoie toujours du pâté sur les cloisons.

donc, comme d’hab’, on s’incline bien bas et on applaudit !

allez pour finir, un petit troll des familles 🙂

la première est chouette mais je préfère nettement la seconde du dessinateur bar 🙂

et un grand merci a nos ami allemand d’avoir libérer tous nos journalistes pris en otage par des informations de merde. vous allez pouvoir reprendre le boulot, les gars ! haba, non, suis je bête, le front d’emmerdeur du tour de france est dans les starting block et a déjà pris possession des rédactions. mais que fait le G.I.G.N ?

Là-bas si j’y suis, c’est fini ?

quelques soit nos opinions politiques, et même si elle ne plait pas a tout le monde car elle  penche gravement a gauche de l’échiquier politique, Là-bas si j’y suis est une vrai bonne émission de radio, comme elle devrait toute l’être et ce qui est loin d’être le cas.

elle m’a appris a voir les choses différemment et a avoir le réflexe de faire un pas de coté pour observer sous un autre angle, ce que l’on voit ou entend. en gros, elle apprend juste le sens critique.

ça reste la seule émission qui ne caquète pas avec toutes les autres, en rabâchant la doctrine libérale. ( la prise en otage des gentils usagers de la sncf par les méchants gréviste de l’ultra super hyper gauche radicale, le foot, le tennis, le tour de france etc… cot cot cot… )

si vous n’avez jamais écouté, allez sur le site la bas.org ou l’on peut réécouter toutes les émissions et cherchez, par exemple la série sur le rwanda ou sur les poilus ( gaffe, ça prend juste aux tripes et fout les larmes au yeux… et puis de toutes façons, faut tout écouter 🙂 ) et vous aurez dans les oreilles une vrai bonne émission de radio qui rend moins con.

tout ça pour dire qu’il y a une pétition contre sa suppression, qui tourne. comme d’hab’, je crois moyen a l’efficacité des pétitions mais bon, on sait jamais.

donc pour garder la dernière émission donnant un point de vue différent, signez ça coute rien.

et a la fin, c’est nous qu’on va gagner !

Une odieuse propagande crypto-écologiste a l’encontre de nos chères têtes blonde ! ou pas.

comme plein de djeun’s aujourd’hui, ma nièce passe son brevet des collèges ( go, lucie, go ! ) et le sujet de mathématique sur lequel, elle a du travailler, est… comment dire… inattendu, incongru, what the fuck ! queuwôôôaaa !

je vous laisse lire l’énoncé 🙂

j’aimerais bien rencontrer le gars qui a pondu ce sujet, car ça serait avec plaisir que je lui payerais une bière ! voir un p’tit bisou ?

j’imagine les gamins en train de lire le sujet… une toiture en paille, gné ???

en tout cas, c’est une bonne nouvelle car au lieu du traditionnel train qui part de la gare et qui s’arrête 14 fois en ayant fait le moitié des kilomètres reliant paris a bordeaux en marche arrière, on parle de la paille et pas comme un déchet qu’on donne aux bestiaux.

donc, chapeau aux décideurs des sujets du brevet des collèges. comme dirait l’autre  » j’vous aime putain !

fenêtre part faïve: tu triangle ou tu rectangle ? cong !

je vous avais laissé sur mon succès de brouillon triangulaire. ( yes ! )

j’ai donc mis, tout ça, en pratique.

ce que j’avais oublié de préciser dans le précédent post, c’est que la, point de double enfourchement et de petit chanfrein crôôô mignon. mon kit est trop court. ça sera donc simple enfourchement et bord droit en utilisant uniquement le disque de 74. malgré ca, ça reste juste, il me restait 2 mn de marge… reste a voir, si je ferais pas par la suite, le petit chanfrein crôôô mignon a la défonceuse. faut que je calcule le ratio esthétique versus difficulté et risque de merder… dans le doute, ça restera comme ça.

après avoir tout tracé et vérifié, j’ai donc mis en place, les guides puis vérification des angles, vérification des angles, vérification des serrages, vérification des angles et serrages des muscles fessiers ( ha ba toujours ! )

toujours sur le même principe. un coup dans le bout de bois martyr pour commencer et pour pouvoir s’aligner par la suite.

la même fraise partout, droite, y a que la hauteur qui change. le tenon est calculé en fonction de l’épaisseur du couteau ( 18 mn ).

j’ai pas trouvé de système efficace pour bloquer la table a tenonner. donc, c’est moi qui la tient bien plaqué contre le taquet qui l’empêche de reculer. pas génial mais ça le fait quand même.

avec les bouts, tout mangé.

puis avec la fraise a rainurer, j’ai fait la gorge pour le vitrage.

et pour finir, séparation de la pare close. c’est vrai que c’est moins joli mais quand on a pas le choix. reste toujours l’option défonceuse.

et… même pas gouré !

reste a tenter une fenêtre triangle ouvrante en l’adaptant sur un dormant car on aimerait avoir une aération dans la chambre d’amis. donc, elle serait juste entre-ouvrable ( y a la charpente pas loin ). par contre, celle la, point de machine, ça va être a l’ancienne. scie jap’, et ciseau a bois pour les tenons mortaises. même mon disque de 74 est hors jeu.

même si ça s’avère coton a réaliser, je vais le tenter, j’ai le bois pour et si ça marche, parfait,  sinon, elle sera fixe et il n’y aura pas d’aération. on verra bien.

passons a la réalisation des gueules de loup et jets d’eau.

il a fallu que je tape dans mes plateaux de chêne prévu pour mes portes car je les ai tout simplement oublié dans ma commande de bois…

et c’est la que je me suis dit: vive le carrelet de chêne pré découpé ! j’ai mis une bonne journée a débiter et raboter le bois nécessaire. et ma scie circulaire a pas trop aimé. du moins, la courroie qui est bonne a changer a force de patiner…

il est vrai que j’ai une belle scie a ruban qui était prévue pour ça mais j’ai toujours mon problème de moteur. il tourne trop vite et de plus, peine très très rapidement. donc, pour l’instant, elle ne sert a rien…

va pour la circulaire…

et c’est pas tout de débiter, il faut aussi slalomer entre les nœud et défaut pour essayer de tirer le maximum de bois utilisable. pour résumé, vive le carrelet !

en passant, un bel exemple de la durabilité du chêne. ces plateaux sont quasi centenaire et si l’aubier a pris grave cher sa reu’m

tout le reste est nickel, pas un trou de bébête ! la même pièce a l’envers et sans aubier.

quand j’ai vu les plateaux la première fois, j’ai eu comme un doute sur ces facultés d’hébergement de grignoteur en tout genre mais finalement, le chêne, ça reste un bois classe, sobre et vraiment durable.

pendant ce temps la…

efficace ma barriere anti hirondelle, n’est t’il point ? bon, faudrait que je referme de partout pour que ces casses roubignoles ne viennent pas me narguer. bon certes, je peux apprécier, de prés, la grâce de leur vol mais bon, pas dans la maison, bord… ! têtu comme un âne mais bornée comme une hirondelle, oui ! je les chasse, leur gueule dessus, la machine fait un barouf du tonnerre, bin tiens, morte de rire ! ha non, en fait elles tremblent, elles frémissent, rédigent leur testament a la vue de… RIRI !

haba non, en fait.

finalement, ça donne ça pour les gueule de loup.

je n’ai par contre, pas eu le temps d’usiner les jets d’eau. pour les petits jets d’eau, ceux qui viennent sur les ouvrants, j’ai recyclé les chutes diverses zé variées.

et en attente de rencontre avec la toupie.

puis, ça été, journée ponçage avec un mal de pogne carabiné, a la clé . supportant de moins en moins les vibrations, c’est pas l’activité que je préfère…

au menu, ponçage des traces de colle et petit écart d’assemblage et mis en place des chevilles de consolidation ( ça doit s’appeler comme ça… )

traçage

pré-percage et chevillage suivi d’un coup de ponceuse pour bien affleurer. et surtout on évite de rater son coup de marteau sinon t’obtient une belle trace et une bordée de juron.

pendant ce temps la…

elle semble me dire… comment vous dites ? j’t’emmerde ! ha oui, c’est bien ça…

puis on est passé avec madame a l’étape la plus « difficile », a savoir l’usinage extérieur des ouvrants. rien de très dur mais si tu foire, tu prend ta belle fenêtre et t’allume ton feu avec.

cette opération permet de réaliser le chanfrein qui permettra de plaquer la fenêtre au dormant avec le joint entre les deux. il faut donc, qu’il soit parfait sinon bonjour les courants d’air.

et le risque vient du fait que le combiné ( du moins le mien ) n’est pas prévu pour passer des grandes largeurs. donc, ca pendouille plus ou moins dans le vide.

bon, une fois de plus sans entraineur, même pas en rêve…

j’ai donc, mis mon guide parallèle de toupie bien a l’équerre avec le chariot et sa règle, l’entraineur en place et Estelle qui réceptionnait la fenêtre en gardant au mieux l’alignement avec la sortie de machine. j’ai réglé l’entraineur bien bas, histoire qu’il plaque bien la pièce qu’il usinait et nous, on se chargeait du reste de la pièce.

toujours avec la fraise a rainurer et en deux passages sur la hauteur.

premier passage

et deuxième passage

attention, alerte noob machine a bois ! il faut toujours usiner les cotés avec des bois de bout en premier car il y a un risque d’arrachage ( normal ) en sortant de la toupie. mais qu’on peut rattraper avec le passage dans l’autre sens, qui lui n’arrache pas. si on change le sens de passage, le bois éclaté restera.

la même fenêtre, après passage dans l’autre sens. c’est mieux, non ?

puis, réalisation d’un trait de scie pour l’insertion du joint. en deux passages, une fois de plus. pour 1 mn… et oui, faire une rainure de 4 mn d’épais avec un scie de 3 mn… arf !

et ce que ça donnera avec le joint

il manque un chanfrein, coté gauche sur la photo mais je vais d’abord,  percer mes trous pour les charnières et le ferait par la suite, ça sera plus simple que de percer une surface oblique, non ? y a des fois, et bin même que je réfléchis, dit donc !

et un double effet kiss cool du reflechissement, le collage de mes triangles.

le gros avantage, c’est qu’elles sont toute identique. donc je me suis dit qu’en, en mettant deux cote a cote, ça devrait former un beau carré qui me permettront de les coller sans trop me faire suer et bingo, ça marche ! et c’est apparemment d’équerre.

niveau collage, les grandes baie fixe sont aussi collé.

et le rattrapage au branche avec mon bôôô costume de tarzan… vous savez l’oubli du blocage de l’arbre de la toupie, tout ça, tout ça…

pendant ce temps la…

qu’est ce que t’en pense germaine, les gosses seront bien ici ? hôôô oui, mon lucien, c’est naturel, pas de produit chimique et le chat fait peine a voir, on risque pas grand chose de ce coté la. y a même l’humain grincheux qui fait semblant de nous détester mais qui malgré tout, est ravi de pouvoir nous observer de prés. le problème c’est le bail de deux mois, faudra déménager l’année prochaine. mais y a de très beau rampant de maison a proximité, on verra si c’est libre l’année prochaine. allez, appelle bouygues BTP, dit leur qu’on signe pour un nid a marmot.

allez pour finir, les vacances sont finies et j’ai presque fait tout ce que je voulais. il ne me manque plus qu’a usiner les dormants des fenêtres. elles seront loin d’être fini, restera la quincaillerie, le ponçage, huilage, lasurage etc… mais je pensais pas en faire autant. donc, bien content.

et si je tiens mes estimations budgétaires et que tout continue a rouler,  ça aura été les vacances les mieux payés de ma vie…

allez, ça suffa comme ci, demain, je me lève a 3 heures… mais heuuuu !

Guide de survie en milieu histérofootballistique

en ce jour de match de foot et pour changer du tour de france, je ne peux que vous faire profiter de ce petit tableau plein de bon conseil.

vivement qu’ils arrivent a la dernière case 🙂

PS: « qu’ils » arrivent a la dernière case et non pas « qu’on » arrivent, c’est pas moi qui joue au foot, je leur ai rien demandé. c’est juste une bande de petit c… arrogant, pété de thune, complètement coupé des réalités, qui sont payé des sommes astronomiques pour jouer a la baballe, dans un pays ravagé par la pauvreté et qui sont censé représenter la « Frââânce » et tous ces citoyens ( même ceux qui en ont rien a carrer ).

c’était un message du front de libération des médias hystérique qui n’ont pas grand chose a dire, des qu’il y a un évènement sportif télévisuel a fort potentiel de racketage publicitaire

et oui, vive le sport ! mais pas celui ci. celui des petits club de foot ou autres, sans le sou, par exemple.

bon allez BÛÛÛÛTTT !!! et m…, je me suis fait avoir ! 🙂