Pose des gouttières définitive et rattrapage d’enduits

Maintenant que l’évacuation d’eau de pluie est posée, faudrait voir à remplacer mes superbe chutes de gaine électrique en plastique massif et d’un rouge des plus seyant mais qui donnait un touche, de pas fini des plus regrettable.

Donc, du zinc de compét’ lavera l’affront de mon manque de volonté assumé quand à mon désir de rayer une ligne de plus, dans l’encyclopédie des choses à faire, finir, commencer, oublier etc…

J’ai commencé par créer les supports qui supporteront les descentes de tuyaux. Un bout de bois taillé en biseau, avec la vis du cerclage de gouttières, le tout enfoncé dans le mur mais trop, pour compenser le placement de la descente de tuyau, mais surtout le mur qui suit plutôt une courbe identique à mon bidou, plutôt que celle d’un fil à plomb, précis, certes mais tellement strict. ( et svelte )

Un petit taquet de terre, bien arrondi ( comme mon bidou ) pour cacher ce que dépasse

et il n’y a plus qu’à mesurer, couper, mettre en place, balancer de jurons à faire rougir mon cher capitaine, à cause de cm, en trop ou en moins, pour finir par être, a peu prés satisfait, du résultat.

C’est sur que le zinc, ça fait plus riche mais surtout moins sagouin

pendant ce temps la, dame Estelle s’occupait de rattraper les enduits, des petites touches par ci, par la, sur des murs assez vallonné ( comme son bidou. heuu… noooon, j’ai pas dit ça ! si ? bon, allez, je l’aime bien ton bidou 🙂 )

et pis c’est tout, pour 2018 !

‘vont pas tarder a l’avoir dans l’os, les hirondelles squatteuses !

bon, bon, bon, cette fois ci, je m’en vais prendre le temps de ne point faillir a ma réputation de causeur dans le poste, par trop, prolifique.

allez fight !

tout d’abord, dame estelle en a fini avec les enduits et si elle avait un zizi, il serait tout dur ( heuu, oui, bon d’accord, pardon. et puis je l’ai déjà faite mais pas dans sa version féminine et c’est l’émotion qui m’émotive la neurone )

car elle a vachte bien bossé, dame estelle. ça claque et puis c’est tout. et le petit goût de fini remonte bien bien le moral. ( d’où les éventuelles modification anatomique précédemment citées car il faut bien que je me trouve des excuses pour ce trait d’esprit pour le moins douteux mais néanmoins rigolo )

alors, c’est pas beau tout ça ?

a noter, la venue de christine, qui a filé, a nouveau, un coup de main a estelle. un grand merci a elle ! ( a noter que l’atelier de poterie de christine et david est ouvert et qu’il font du super boulot. le site internet arrive, j’en reparlerais a l’occaz’ )

on pourrait croire qu’après tout le boulot abattu, elle en aurait fini pour cette année ? mais que néni, en bon exploiteur que je suis, je lui ai trouvé du boulot malgré son « méééheuuuu » des plus poignant. teuteuteu, pas de ça chez nous, y a les appuis de fenêtre a nettoyer et a poncer, steup’… mééééheuuuu !!! ( bis )

une fois fini, elle devra se cogner un grand ménage avant déménagement. mais une fois, ces taches ingrates effectuées, je lui accorderais dans ma grande mansuétude, un repos bien, bien, bien, bien mérité ( elle a déjà réservé la place derrière la baie vitrée ou toute personne approchant de prés ou de loin, du fauteuil plein sud se fera péter la gueule sans sommation )

maintenant, parlons du futur sourire narquois que j’aurais quand je verrais mes squatteuse préférées revenant au printemps et qui, soit se gaufreront la bec sur mes vitrages ( mais j’espère que non, quand même, et pour mes vitrages et pour mes hirondelles… ) soit seront derrière le vitrage entrain de m’observer leur chanter nanananéreuuu de façon bien puérile 🙂

et oui, car je vous le dit ! y a de la fenêtre de posé ! ( bon, je refais pas le coup de l’anatomie mais dans l’idée, a kekchose prés… )

gad’ gad’ gad’ !

hein ? on est d’accord ? je doute que mes hirondelles comprennent le sens caché du bras d’honneur mais…

allez maintenant, passons au chapitre détaillé des fenêtres que les moins courageux pourront zapper.

on en était resté au fucking charnière.

finalement mon gabarit ne m’a pas été d’un grand secours car avec le biseau des ouvrant, je ne pouvais pas le mettre en place correctement.

j’ai finalement ressorti mon support de perceuse qui m’avait bien servi pour la charpente. le perçage a été un peu plus précis mais y a toujours des décalages de pouilliéme de mn qui font que c’est pas parfait… mais suffisant…

pour le perçage des dormants, une fois tous les ouvrants percés, j’ai bloqué les deux pièces en utilisant des cales de vitrage pour le jeu de fonctionnement entre le dormant et l’ouvrant sur la partie basse et des serres joint pour être le plus précis possible. de cette manière, il n’y a plus qu’a mettre en place la deuxième partie de la charnière et de noter l’emplacement exact.

très important, j’ai paraffiné toutes les charnières pour permettre un vissage plus souple et des réglages future qui ne bloqueront pas comme les premières charnières dont j’avais flingué le pas de vis en forçant comme un âne pour les dévisser.

et cette fois ci, c’est tout bon.

j’ai aussi intégré les bitonios ( termes très technique désignant une pièce dont on a honteusement oublié le nom ) dans les dormants de portes qui serve a fermer, la dite porte. en gros, c’est les mamans des crémones de portes, dite « trois point de sécurité » alias les papas.

en passant les portes ( qui ne fendront pas, hein ? ), mise a part le perçage des fucking charnières, sont finies et en attente de pose.

passons au vitrage. trois devis: un, 1500 € plus cher que les deux autres ( arf ! ) et les deux autres qui se tirent la bourre, niveau tarif. et le gagnant est… le plus sympa. soit la miroiterie polinoise a poligny ( 39 ).

très bon contact, bon conseil, rapide et livraison offerte. et l’argument décisif, le prêt des ventouses qui coûte un bras et qui n’aurait servi qu’une fois. le plus drôle est que le vitrage qu’on a reçu a été fabriqué par le perdant ( re arf ! )

pour le vitrage, on est sur du classique double vitrage, 4/16/4, gaz argon et faible émissivité. il y a longtemps, on était parti pour du triple vitrage mais le surcoût et le surpoids conséquent par rapport a l’intérêt n’était pas vraiment pertinent. donc faisons dans le classique.

le seul exotisme est le « blindage » des vitrages de la baie vitrée et des portes d’entrée et portes fenêtres, soit les seuls endroits sans volets. et la, ça se complique. d’où l’intérêt d’un bon conseil de votre fournisseur.

sur ce type de vitrage, différentes classes de protection sont disponible. les plus courantes sont le 44/2 et le SP10. la différence venant du nombre de film entre les vitrage qui rendra le SP10 plus résistant que le 44/2. et bien sur, le prix n’est pas le même… paramètre a prendre en compte: votre assureur exigera sûrement tel ou tel catégorie de protection selon plein de paramètre obscur dont il a le secret. donc il faut bien se renseigner avant. notre assureur n’exigeant pas grand chose a part un double vitrage, on a quand même choisi le SP10 pour avoir la conscience tranquille.

pour la porte d’entrée, on a choisi un sablage opaque.

et la livraison en porte a porte.

avec ce beau tas de matière première, le copain charlie est venu me filer un coup de main pour poser les baies vitrées fixe qui pèse un âne mort.

j’avais presque tout préparé, il restait a couper les pares closes et mettre les joint dessus. ce qui fut fait.

et la, c’est le drame, et la, tout bascule… voir même que ça cague dans le ventilo.

et pourquoi donc que ça merde, une fois de plus ? le joint de vitrage.

alors les gars, tout content, guilleret et tout, avec l’aide de gueguette, il présente la première baie…

et déjà, on s’aperçoit que le joint sec, c’est sûrement très bien mais qu’a écraser pour bien être étanche, c’est loin d’être gagné. et que si on met les pare closes avec le même joint, pour que ça jointe proprement avec le reste de la fenêtre, il faudrait que je les rabote pour qu’elle fasse 4 mn d’épais, ce qui vous en conviendrait, est très peu, autant pour les clouer que pour la solidité de l’ensemble…

je me doutais bien qu’il faudrait raboter les pare closes mais je pensais que le joint serait beaucoup moins rigide. on rajoute la dessus, la vitre supplémentaire du « blindage » et ça donne 4 mn de pare close. et voila, j’ai donc remis ma baie vitrée dans ma culotte, remercié charlie et guéguette pour leur coup de main et pris une grosse baffe au moral.

parce que, pas vraiment de solution… j’ai bien pensé a raboter les pare closes a 4 mn et en refaire des plus large qui viendrait en recouvrement mais, et d’une, je suis a la rue, niveau bois, de deux, on a sorti la machine a bois de la maison et surtout, l’éventuel temps de réalisation repoussait le déménagement a perpette. voila, voila…

donc, finalement, le silicone est mon ami et mes 250 m de joint de vitrage feront de superbe guirlande de noël. encore un produit, qui je pense, est plus adapté a la fabrication industrielle qu’a l’artisanal. ( m’enfin, si vous connaissez quelqu’un que ça peut intéresser… c’est du vitrax de chez joint dual )

finalement, j’ai testé tout ça, sur les baies fixe de la porte fenêtre et finalement, ça fera l’affaire.

du coup, charlie et gerald sont venu le week end suivant pour retenter le coup. et fallait pas se rater car je devais rendre la paire de ventouse…

et cette fois avec des pare closes de 11 mn, on a pu les mettre en place et retrouver le sourire.

donc siliconage avec un silicone spécial vitrage, le calage du vitrage avec des cales spéciale fait pour et le clouage des pare closes en faisant gaffe de pas clouer le vitrage. hein ? c’est mieux, non ?

puis raclage du surplus de silicone avec une raclette spéciale fait pour aussi, qui est elle même en silicone et qui fait que le silicone n’accroche presque pas dessus. ce qui permet de faire de joli joint sans s’empéguer les doigts, comme dirait mon père 🙂

très pratique, c’te bête la.

et on enquille tant qu’on est chaud !

et finalement, tout s’est bien passé.

j’ai profité d’avoir deux gars, beau et fort pour déplacer l’insert de l’atelier a la maison

et pour qu’ils aient vraiment mérité leur bière, on a déplacé l’escalier provisoire dans l’emplacement du futur escalier.

puis dans l’après midi, j’ai fabriqué une barrière provisoire pour la mezzanine.

et un grand merci a gerald et charlie pour leur coup de main.

pendant la semaine, j’ai commencé a préparer les fenêtres ouvrantes qui viennent sous les baies fixe.

avec au menu, ajustage divers zé varié et intégration de la quincaillerie

puis mis en place des équerres, en commençant par fraiser les trous afin que la tête de vis viennent affleurer.

et le résultat. fermé.

et ouvert

c’est chouette, non ? et en plus, ça va être très pratique pour faire une aération du tonnerre en été, pour faire rentrer la fraîcheur nocturne. beau et utile, quoi !

attend, c’est pas fini, car c’est bon pour le moral, c’est bon bon ! de mon portail, maintenant, je vois une fenêtre ! oui, oui, je sais… c’est fou ! je vous présente donc : la fenêtre des caguoinces ! ( autrement appelé  » mon bureau  » )

bon, vous êtes toujours la ? grand fou, va !

alors, ce week end, je me suis mis sur les fenêtres classique. et c’est du boulot. d’ajustage, de réglage, mis en place des joints etc… c’est bien simple, j’ai mis le samedi entier pour faire la première. le temps de prendre les mesures, de voir, a quel distance mettre les bitonios pour que, une fois la crémone fermé, ça plaque bien mais pas trop pour pas devoir forcer pour la fermer, etc… pas simple tout ça…

les joints

les bitonios ( marque déposé )

traçage des trous pour la poignée

la crémone et sa rallonge

trou d’évacuation de la condensation ( sur les conseils de toto 😉 )

et une fois tout ajusté, y a plus qu’a mettre en place, le tout.

en commençant par faire une rainure pour la pose du joint « compriband » qui permet une étanchéité a l’air des dormants.

puis mise en place du compriband en faisant un petit bourrelet aux angles et sans le tendre, sous peine de le voir se rétracter et ne plus servir a rien.

juste après usage, je vous conseille aussi d’enrubanner votre restant de rouleau de cette manière, sous peine d’une expansion du joint qui pourra rejoindre la poubelle. et au prix que ça coûte… et vraiment de cette façon, sinon il finira par se faire la malle. efficace mais susceptible.

puis pose du vitrage…

et mise en place

et HÔ joie, HÔ bonheur, ça ferme bien et ça coince nulle part. hôôôô yeah !

résultat des courses, trois fenêtres de posé sachant que j’en ai fait deux aujourd’hui, ayant les mesures précise de la précédente fenêtre et donc pas de temps a perdre.

voila, très content le gars. il me reste donc 5 fenêtres classique, les fenêtres triangle qui devrait être assez rapide car fixe sauf une et les portes. donc, c’est pas encore fini mais on en approche.

allez pour cette fois ci, j’en ai fini et bravo au courageux qui ont lu jusqu’au bout. z’êtes des malades !

faut vraiment que je sois plus régulier dans les messages mais c’est vrai qu’en ce moment, on est au taquet avec des journée très très longue et peu de temps dispo. cet hiver, je ferais un message de deux lignes par jour, pour me faire pardonner.

Rognutudgu de fucking charnière !

car dans la longue liste des choses qui m’auront cagué velu, les charnières ou chevilles dites « exacta » sont en train de piquer un sprint et de remonter le peloton de tête, a vitesse grand V.

non, parce qu’a me regarder comme ça, même de profil, j’ai pas vraiment la gueule d’une machine CNC ? et est ce que j’aurais les moyens de m’acheter ce type de machine ? non, pas vraiment… et pourtant je devrais car pour percer les trous pour les mettre en place, faut avoir minimum, l’œil de terminator ( le rouge ) pour analyser, viser et percer au pouilléme de poil de fondement et ainsi pouvoir mettre en place ces fucking charnières sans que ce soit tordu et que ça force.

alors une cheville « exacta », c’est ça.

et dans l’idée, c’est pas mal, c’est réglable en profondeur et en hauteur, ce qui permet d’ajuster au mieux, la fenêtre.

mais le problème, c’est que ça ne tolère aucun défaut de perçage et quand je dis aucun, c’est vraiment aucun. sous peine de forcer au vissage et donc de flinguer la tête de vissage ( j’en ai juste flingué deux, pour l’instant… ) ou d’être tordu et de forcer sur le pivot de la fenêtre. et donc, pas glop.

ha oui, et bien sur, c’est du diamètre 7 et donc incompatible avec tous les gabarit de perçage du commerce type wolcraft.

donc, a la deuxième cheville de traviole ( ça se compte en dixième… ), énervé par la colère, j’ai rebouché tous les trous que j’avais déjà fait.

et j’ai pris deux bonne heures pour me faire un gabarit de perçage, qui j’espère, me permettra de poser ces fucking charnières correctement.

voila, voila, si j’avais su, je serais pas venu et j’aurais mis des charnières classique. c’est quand même bien moins casse roubignoles a poser…

mis a part, ces quelques déconvenus, ça avance bien.

je me suis occupé des dormants de porte et de leur seuil alu. pour bien jointer, il faut reproduire le profil du seuil dans le bas du dormant. donc découpe d’une chute de profil pour dessiner la forme puis scie et ciseau a bois.

pré perçage et vissage dans les montants.

puis mis en place pour tester, le tout.

une entretoise en bois pour rigidifier l’alu et dans la file d’attente de lasurage.

j’ai fabriqué aussi les jets d’eau des portes.

puis on s’est remis sur les portes avec madame avec au menu, défonce pour les  crémones

je craignais ne pas pouvoir les passer a la mortaiseuse mais grâce au fenêtre, c’est passé nickel. madame soutenait le poids et ce fut bien plus simple que prévu.

puis rainurage pour incruster la crémone sur toute la longueur.

je suis ensuite passé au collage des jets d’eau sur les fenêtres.

pour les fenêtres, c’est a peu prés tout. j’ai fini de lasurer la première fournée, a savoir la baie vitré et les châssis fixe.

et j’ai attaqué les fenêtres triangle du pignon. me restera les fenêtres quand j’aurais réussi a percer ces fucking charnières correctement et les portes.

ce week end, je me suis aussi occupé de reboucher le trou du poêle de masse, vu qu’on a prévu de mettre le poêle actuel de l’atelier dans un premier temps avant de décider si on fait un poêle de masse ( et de retrouver la motivation pour le faire car motivation france me dit qu’il est prévu une baisse significative de motivation sur le jura avec une absence totale d’auto-bottage de cul pour se remettre au boulot ainsi que des variations saisonnière de glandage sur canapé très prononcé et qu’une alerte rouge de feignassage aigu est a craindre, tout le long de l’hiver )

j’ai donc remis une couche de liège et recouvert le tout, avec des chute d’osb. comme ça, on a le temps de voir venir…

et pendant ce temps la, madame donne toujours pas, sa part au chien ( pov’ chien, il fait peine a voir… )

encore un pan de mur et le rez de chaussé est terminé. agad, si c’est zouli !

l’est pas balaise, ma douce ?

voila, demain, je passe valider le devis de vitrage et on accélère dans la ligne droite pour rentrer, soyons optimiste, avant fin octobre. et le premier qui dit, pour noël, je vais moi même, en personne, au pole nord, dire au père noël qu’il vous oublie pour cette année et peut être même, les suivantes !

La course a l’échalote ou le syndrome de benny hill…

et pour les moins jeune d’entre vous, en lisant le titre, je suis sur que vous vous êtes mis a fredonner la célèbre musique de benny hill. je sais, de rien, ne me remerciez pas. ( et je suis sur que vous continuez, la. et si c’était pas le cas, maintenant c’est fait. 🙂 )

pour nous, en ce moment, c’est un peu ça, tout le temps. pire que des furets ! on galope dans tous les sens.

car si nous avons convenus avec madame, d’un commun accord et sans trop se forcer, de rentrer dans cette foutu maison avant l’hiver, il s’avère que finalement, c’est pas de tout repos et voir même que ça frise le chalenge. mais même pas peur.

mais bon, la couche de corps sur les murs : tcheck !

et il fallait bien que je mette de coté, la menuiserie, pour aider Estelle sinon, ça ne l’aurais pas fait. reste quelques retouches et les cloisons a finir. mais ça devrait être plus rapide. pas d’épaisseur a rattraper et un support droit devrait grandement faciliter la tache.

bon, rien de bien nouveau, bétonnière, terre, sable, taloche, tout ça, tout ça…

a part, gerald qui est revenu nous filer un coup de main. paix, félicité et bisous mouillé sur lui et ces proches, sur 14 générations. ( extension de garantie + 20 ans, disponible, pour la modique somme de 257 journée de coup de main a utiliser par l’auteur de ces lignes selon son bon vouloir. mais bières offertes, hein !)

donc, en vrac, quelques photos.

au rayon des bonnes nouvelles, l’été est enfin la ( … ) et ça commence enfin a sécher… au rayon des mauvaises, on ne coupera pas au déshumidificateur, ne serait ce, par sécurité. et on a de nouvelles traces de moisissures. ça fait des taches blanchâtres sur les enduits. on en voit sur les premières photos du cellier. bon… a part les brosser, quand elles seront sèches…

bon, ça, c’est fait. bon, bin, alors… menuiserie ! et les marchands de viagra font faillite… rhôôô, ma robland ! mon amûûûûr !!! rhâââ ton chariot coulissant, huuummm, tes tables en fontes amovibles et cet entraineur… tu me fait tourner la tête, grande folle.

bon, alors fenêtre mais surtout portes.

j’ai commencé a lasurer les premières fenêtres. pour info et sur les conseils d’amis et de mon fournisseur qui a confirmé le tout, j’ai passé une couche de cetol novatech de chez sikkens qui sert de couche de protection primaire, suivi de deux couches de Cetol Filter 7 Plus.

apparemment, ces produits sont la référence et c’est ce qu’il faut mettre pour ne pas être embêté. tout ceux avec qui j’en ai discuté donne une durée de 5 ans avant de devoir remettre une couche.

on a choisi la couleur buis. c’est un bon compromis entre la teinte qui reste assez clair et la présence de pigment, qui est indispensable pour stopper ou du moins réduire l’impact des U.V sur le bois. et sur le chêne, c’est primordial car c’est un bois avec des tanins très prononcé et il vaut mieux éviter qu’il ressorte sinon, ça donne des trace noire toute moche.

un petit coup de ponçage préliminaire…

un petit coup de ciseau a bois dans les angles pour enlever les traces de colle ou la ponceuse ne peux pas passer.

et lasure.

les trois couches sont passé, reste l’autre coté a faire.

et maintenant les portes. et même si l’été est revenu ( wooo ponponette ! ), les nuits commencent a devenir fraiche avec des 8 °, certaines nuits. donc, il fallait s’énerver sur les dernier collages pour éviter de devoir coller les portes dans notre, néanmoins spacieux, 24 m2. entre la table et le buffet, tout en mettant le canapé debout. et madame désapprouve.

donc, deux portes, une d’entrée et une porte fenêtre pour l’arrière de la maison, le tout assemblé en rainure languette.

j’ai commencé par faire les fenêtres. pour rappel, sur mon premier plan, les montants n’était pas assez large pour pouvoir mettre les crémones de portes. d’où le rajout de la fenêtre.

tu les vois les deux portes ?

donc, un bâti classique et les fenêtres a ajuster au poil de fondement pour qu’il n’y ait pas de jour.

on était parti pour faire un petit chanfrein autour des fenêtres ( comme sur la porte de l’atelier ) mais finalement, on laisse jointer le tout, pour faire un ensemble assez homogène. m’enfin, nous, on aime bien.

et après une bonne matinée a ajuster l’ensemble…

puis fignolage des rainures

puis avec l’aide de madame, montage a blanc.

et collage. bin, ça en fait des pièces a encoller… et avec un vent et un courant d’air assez prononcé qui accélérait le temps de prise de la colle, benny hill n’était pas loin…

et mis en presse.

et même punition pour la porte fenêtre.

un ch’tio coup de ponçage avec mon avion de chasse ( aussi bruyante qu’efficace comme machine… )

et tâââdâââm !!!

simple, efficace mais néanmoins doté d’un certain classicisme, digne de l’école mourniere de la porte qui ferme.

bon, le chêne, c’est chouette mais ça pèse un âne mort. je déconseille donc vivement a tout témoin de Jéhovah ou représentant de commerce aventureux de tenter le coup du pied dans l’entrebâillement de la porte pour éviter de se faire éconduire de façon cavalière. y a risque de devenir un sujet d’étude pour un spécialiste de la reconstitution des os du pied, voir d’amputation sans anesthésie.

reste a faire les dormants et les défonces pour les crémones. encore un peu de boulot mais on tient le bon bout.

maintenant que les portes sont faites, on va pouvoir relever toutes les côtes de vitrage et aller jouer au marchand de tapis chez les fournisseurs de vitrage.

pour finir, comme je n’ai pas assez de boulot a l’heure actuelle et de meuble a faire dans le futur, j’ai fait l’acquisition, d’une petite tranche de séquoia qui devrait se transformer en table basse du meilleur effet.

bon, la c’est du brut, qui a vécu, mais j’ai raboté un coup et l’on peut apercevoir la belle couleur du séquoia, qui de rougeâtre a tendance a se teinter couleur chocolat au soleil. miam !

l’avantage, c’est qu’il y a une face de rectifiée ce qui devrait grandement faciliter le boulot.

bon, allez, on retourne galoper comme des furets !

Les davigel’s boys, le nouveau boys band a la mode.

chaaaaarliiiieee !!! geeraaallld !!! naaanôôô !!! vos corps de bête !!! vivement que je puisse afficher votre poster géant qu’il y aura dans la prochain numéro de davigel’s boys mag’ ( pour nous les filles ). tant de muscle, de force, de sueur, ça me rend folle !!! mon dieu, j’en perds la tête…

hahem… keuf.. keuf… bon, certes, les muscles de forces tout ça, tout ça, mais bon… ON Y CROIT PAS UNE SECONDE ! muscle de force, c’est ça, abdo kronembourg, oui ! heureusement… heureusement… que je vais a la même salle de gym qu’eux, même si j’ai une préférence pour les abdos leffe ou pelforth brune sinon, je pourrais passer pour un mauvais coucheur qui chambre ces potes qui sont venu lui filer un coup de main au lieu de passer leur journée a aller chercher des champignons. ( sont fort a ce jeu la, les bougres ) non, mais je vous jure ! ingrat !

le comité de rédaction tient a informer son lectorat que ça va vanner grave et que même si ça peut paraitre excessif, c’est bien peu de chose par rapport a ce qu’on s’envoie dans le museau a longueur de journée. donc, ne soyez en rien choqué, ils méritent, et pis c’est tout 🙂

donc, les copains du boulot sont venu nous filer un coup de main. bon, ça leur a fait bizarre, de travailler plus, en une journée que dans toute une semaine de boulot, mais ils ont quand même assurés grave.

leur mission, s’ils l’acceptent, les enduits de corps du rez de chaussée, de la cuisine, salle a manger. et s’ils acceptent pas, c’est pareil, on leur demande pas leur avis. enfin, si. mais en fait, non.

après une formation plus que sommaire assuré par mes soins, ils ont envoyé du pâté, chacun son bout de mur et plein de mots doux pour son voisin ( tu vas y arriver ? abruuuutiii ! laisse, je vais le faire le boulot ! ça ou rien, bin, fait plutôt rien ! un vrai je t’aime moi non plus ! )

le charlie en action ( et pour ces voisins, si, si, il a bossé, je l’ai un peu fouetté avec une enclume mais il a bien bossé )

la, on le voit, tel le lapin avant l’impact, pris dans les faisceaux des phares

la, c’est avant l’impact avec l’enclume susmentionné ( tendu le gars )

puis le gerald, alias le bourreau des cœurs de chalon ( ça va lui plaire 🙂 )

et le nano. alias le bricoleur ! non, j’déconne 🙂

et la, c’est tellement inattendu, tellement inespéré qu’on voit bien nos visages interloqué devant tant d’efficacité au travail.

bon, bon, allez, je rigole bien sur et que même je me suis marré en écrivant ça, en imaginant leur réaction. 🙂

en tout cas, même avec une inefficacité aussi avéré, on a fait plus que prévu et gagné une bonne semaine de boulot grâce a eux.

donc même si je les chambre, je suis bien content d’avoir de potes comme eux qui viennent quand j’en ai besoin. et ça, c’est bien cool de leur part. donc, un grand merci a nano, gerald et charlie. il m’ont couté cher en apéro mais ça valait le coup 🙂

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puis, on s’est remis en mode enduit en amoureux avec madame et ça commence a sentir la fin.

estelle tombe la majorité du boulot et je l’aide des que je peux. c’est pour ca que je suis de corvée ( et c’est peu de le dire ) de dessus de fenêtre ou la gravité fait rien qu’a m’énerver et me faire dire plein de gros mot très vulgaire. mention special pour le dessus de la porte fenêtre et de la baie vitrée… j’en suis a 4 passage et le 5 eme sera pas de trop pour terminer sans que ça se casse la gueule.

après avoir fait le plus gros des murs, facile d’accès, on est passé en mode cabri ou torticoli style.

m’enfin, ça se tire ! il reste un peu de rattrapage sur le pignon avec un petit morceaux que je l’ai pas pu finir hier, ainsi que le murs de notre chambre et de la salle de bain. avec un peu de chance, ça devrait être presque fini le week end prochain.

des qu’on a fini, les murs, je me remets sur la menuiserie pendant qu’estelle s’occupe des cloisons. le tout pour pouvoir fermer la maison et mettre en place le déshumidificateur qui va s’avérer indispensable…

on dit octobre le déménagement ? rhôôô, allez steup’

Quid de la santé mentale d’enduit girl et de bétonman ? car ils sont revenus et du coup, on s’inquiète…

hébé, oui… la question se pose…

nan, parce qu’ils savent qu’ils vont prendre cher, ils le savent ! ils sont parfaitement au courant ! qu’ils vont en chier, qu’ils vont poser la tête sur l’oreiller pour s’endormir aussitôt, qu’ils vont être fourbu comme un vieux bourrin sur le retour ou se réveiller courbaturé comme un cycliste qui se dope pas et l’impression d’avoir mis une pile au meilleur marathonien !

tout ça, ils le savent et ils reviennent ! c’est des malades. ou des gens bien. mais faut bien dire, qu’ils sont pas clair, on est d’accord ? ou peut être, que c’est des personnes hautement recommandable. bon, bon, faut pas exagérer quand même, hein… car béton man a quand même réussi ( sous la torture, j’ai mon honneur ! ) a me faire regarder la fin de la finale de la coupe du monde. et ça, c’est limite impardonnable ! et en plus, il fait rien qu’a regarder le site de l’équipe sur mon ordinateur quand il vient, et je sens bien que, lui aussi, il souffre. la carte mère surchauffe, le disque dur gratte frénétiquement et le processeur monte a 15 ghz… faire du mal, a un pôv ordinateur… dans quel monde, on vit !

avec la venue, d’enduit girl et de bétonman, on s’est tous mis sur les enduits intérieur. j’ai, du coup, mis en stand by, les fenêtres car on aimerait finir la couche de corps rapidement pour que ça sèche le plus longtemps possible.

a ce sujet, ça cague dans la colle. car ça ne sèche pas. avec la météo automnale actuelle, c’est la misère. et on envisage sérieusement l’achat d’un déshumidificateur de chantier pour assécher au maximum les enduits avant de rentrer dans la maison et de chauffer. car j’ai moyen envie de rentrer avec des enduits pas sec et une humidité qui se fera la malle dans les murs. on étudie la question mais ça nous parait la meilleure option pour l’instant.

béton man a retrouvé sa bétonnière et ces baignoires de terre préféré et s’est occupé de la préparation de la terre. il a pas remué la queue mais presque, il courrait comme un foufou autour des bassines, essayer de faire des choses pas clair a la bétonnière,  levé la patte sur les baignoires pour finir par se rouler sur le tas de terre. ça faisait plaisir a voir. quand on vous dit qu’il aime ça ! 🙂

et les enduits girl sister ont commencé par finir, les cloisons, a qui, estelle avait déjà mis une bonne gifle.

puis elles se sont mis sur la couche de corps. avec la même recette que pour la couche extérieur, éprouvé l’année dernière. j’étais parti pour laisser, de coté, la couche sur les cloisons mais vu, comment, on dégueulasse la maison, ça risque d’être tendu pour travailler proprement quand on sera dedans. donc, encore un peu de boulot, en plus.

ne pas oublier de cloutage des tour de fenêtres, nécessaire a l’accroche des enduits sur le bois.

on a eu aussi la visite de christine, notre nouvelle voisine qui s’installe avec david dans l’ancienne poterie de bernard et liliane. elle est venu s’essayer aux enduits terre pour refaire leur salle d’expo.

de mon coté, j’ai attaqué les enduits du cellier, endroit sans courant d’air et qui risque de prendre un moment a sécher correctement.

et agad’, si c’est beau, l’ensemble. nous, on kiffe grave, en tout cas !

actuellement, les deux chambres des ch’tio sont finie ( sont content les ch’tio ! ) et estelle a attaqué notre chambre aujourd’hui. de mon coté, j’ai fait la moitié du cellier.

au sujet de nos problèmes mycologique, après avoir passé une couche de bouillie bordelaise sur toutes les cloisons attaqué et devant l’inutilité de la chose, on a décidé de chauler le bouzin. donc avec une couche de lait de chaux, ça devrait régler le problème. du moins, on espère…

et, et, et… pour finir, la bétonnière qui nous a lâché. quand on en a besoin, bien sur. sans trop m’y connaitre, je crois que le roulement est mort 🙂

alors, elle est pas foutue, ça se change mais c’est pas simple. ça se passe a base d’arrache moyeux et de chauffage a coup de chalumeau, au préalable. voila, voila. donc, la, j’ai pas le temps. on verra cet hiver.

du coup, un copain nous prête la sienne en attendant et on devrait donc s’en sortir mais ça fait ch…

ça et les enduits qui sèche pas, ça commence a me les brouter sévère et nous fait envisager un report de déménagement, un peu trop lointain a notre gout. c’est toujours prévu pour cette année mais bien plus tard que prévu et ça…

en conclusion, même si je les taquine, un gros, gros merci a isabelle et laurent d’être revenu, une fois de plus, nous aider. ça nous touche vraiment. ( on leur a promis que l’année prochaine, il toucherait pas a un seul outil et passeront de vrai vacances reposantes ). je m’engage même a regarder une étape du tour de france a la télé… heuuu, bin, en fait, non, je déconne, mais c’est parce que j’ai pas la télé, que mon ordi est en panne, que j’ai pas payé mon fournisseur d’accès a internet, que y a plus de pile dans la radio et qu’on a pas de smartphone.

n’oublions pas aussi lucie qui a fait office de baby sitter avec une patience a tout épreuve et qui a, aussi donné un coup de main avec julie, sur les enduits. un grand merci et un gros bisous a elle.

allez, demain grosse journée, en perspective. les davigel boys viennent nous filer un coup de main et les enduits du RDC devrait prendre une bonne baffe sur le museau.

De tout et de rien en attendant de jouer de la minipelle

j’étais parti pour m’octroyer généreusement une recréation menuiserie mais les journées n’étant point assez longue, ça sera pour une autre fois.

car anéfé, le tout a l’égout est pour dans 15 jours et me lancer dans une rambarde de mezzanine, un escalier ou bien une porte d’entrée sans être sur de pouvoir la finir, c’est la plantade assuré, si je suis obligé de mettre de coté le boulot commencé et de le reprendre plus tard. je commence a me connaitre et je préfère passer mon tour.

donc, en attendant, on prépare le chantier pour que je puisse faire mon kéké avec ma mini pelle toutes options ( et gyrophare sur le toit, s’il vous plait ).

maintenant que j’ai un beau compteur électrique, on a modifié l’alimentation générale électrique et supprimé le coffret de chantier intermédiaire ( en vente sur le bon coin 😉 ) qu’on avait posé au départ.

au début du chantier, on avait aussi posé une belle gaine avec 35 mètre de câble dans les règles de l’art, fil et gaine de bonne section, et tout et tout mais si la gaine va rester, le fil est bon a vendre. on dit merci ERDF qui m’a dit que mon fil, je pouvais me le mettre ou je pense ( les intestins humains sont très long, ça devrait passer ) et qu’au moment du raccordement définitif, ils utiliseraient bien ma gaine mais qu’ils mettraient leur câble a eux, le même que j’ai posé, hein, sinon, c’est pas drôle mais en noir très foncé alors que le mien n’est que noir et qu’il n’y a pas marqué ERDF dessus et que l’électricité qu’il transporte me coutera moins cher. non, j’deconne. . et si ça, ça fait pas la différence…

bon, sans vouloir chipoter, cette bonne blague devrait quand même, nous couter dans les 1500 boules. bon, certes, c’est du travail de professionnel mais ça fait un peu mal au fondement…

du coup, on a sorti notre câble et on l’a repassé dans une gaine provisoire pour pouvoir le bouger et me faciliter les déplacements avec la mini pelle sans lui rouler sur la tronche. a défaut, j’espère pourvoir le revendre donc autant ne pas l’abimer.

on a fait pareil pour l’alim’ de l’atelier qui arrive désormais au compteur dans la maison

je me suis aussi remis a la plomberie et ces évacuations.

rien de bien intéressant, donc, juste quelques photos.

pendant ce temps, dame Estelle a envoyé un grand coup de ménage pour nettoyer les résidus de chantier électrique et y avait de quoi. j’en avais mis de partout, un vrai sagouin !

puis elle a repris au scotch alu, tous les boitiers électriques dont le scotch s’est déchiré, lors de la pose, le serrage des boitiers etc…

et entre deux bricolages, je me suis mis au plan de la rambarde de la mezzanine et de l’escalier.

pour la mezzanine, on a enfin trouvé une forme définitive. on a fait plein de versions différentes, classique, croix de st andré, moderne etc… mais on voulait un truc original. donc après maintes essais, on s’est arrêté, la dessus. le tout, en frêne des familles.

pour ce qui est de l’escalier, pas pareil. aïe, aïe, j’y voyais plus simple… ça va être coton a réaliser.

c’est un premier jet et il faut que je vérifie toutes mes cotes mais ça devrait ressembler a ça.

en fait, c’est ce foutu angle a 45 ° qui me met dedans. tout les escaliers du commerce, en dimensions standard n’ont pas d’arrivée pour le quart tournant en 45°. c’est droit ou 90 °.

et les plans que j’ai pu trouver n’ont pas cet angle a 45°. du coup, j’ai triché en utilisant un escalier dispo sur la banque d’image de sketchup ( merci a « lolomilastef » ) que j’ai adapté a ma sauce.

la dessus, on rajoute un poteau, pas super bien placé, une hauteur sous entrait de 1.9 m ( bon, avec mes origines de vikings qui a oublié de grandir, j’y passe dessous, les bras levé ) mais c’est limite, limite et faudra que je fasse gaffe quand je porterais mes plateform boots de dragqueen ( oui, moi aussi, je veux faire des paniers de basket sans devoir prendre un escabeau et non, c’est pas de la triche, c’est une variante de la théorie de l’évolution )

le week end prochain, normalement, on coule la dalle de poêle de masse. ( enfin. )

après moult recherches, on s’est arrêté sur du liège pour isoler la périphérie et béton de vermiculite armé pour remplir le bouzin.

on était parti pour un béton de liège ou de chanvre mais on arrive pas a trouver de donnée précise sur la résistance de ces bétons ( ou je les comprend pas… ) et même si c’est pas pour tout de suite, le poêle de masse est toujours d’actualité et la dalle devra donc supporter son poids.

ça devrait être suffisamment isolé pour ne pas faire un beau radiateur froid en plein milieu de la maison.

niveau électricité, j’ai fait mes plans spechiole consuel. j’ai utilisé le logiciel 1.2.3 schéma de hager. même si je l’ai trouvé par terre, dans le caniveau de l’internet mondial, je suppose que mon fournisseur aurait pu me fournir une copie au regard de la facture qu’il m’a donné a régler mais ça reste a prouver. sinon, vous avez qu’a demander a votre tonton d’amerique de vous l’envoyer en VHS betacam 33 tours.

sinon, très bon soft mais réservé au matos hager.

il suffit de placer les références hager des disjoncteurs et inter diff dans l’ordre de son tableau et il te pond tous les schéma demandé. même les étiquettes a coller sous les disjoncteur pour savoir qui fait quoi. c’est t’y pas magique.

voir même qu’il te calcule le pourcentage d’occupation de ton coffret. et la, c’est le drame… les 20 % de réserve obligatoire… et bin, j’en avais royalement 9%. et m…

donc, sur les conseils de la stebanie familly j’ai déporté les deux prises électriques du coffret sur le coté de la GTL pour arriver a 21 %. juste mais suffisant.

ça ressemble a ça.

la dessus, je me suis fait des plans perso que je peux comprendre ( non, parce que le schéma technique, heuuu… écrit en madarin, j’y comprendrais quelque chose alors que la… ) ça me permettra de savoir qui fait quoi et quel prise ou inter est branché sur qui. imprimé et dispo a coté du compteur, ça facilitera les éventuelles intervention futur.

pour finir, j’ai mis a jour la page des chantiers participatifs. cette année va être particulière et compliqué a ce sujet mais je vais pas me répéter et si ça vous intéresse, c’est par ici !

Enduits de corps… triple low kick dans les chicots !

bon, bin, voila, la couche de corps est finie et avec ça, le planning prévu pour cette année. on va pouvoir lever le pied…

et on doit bien avouer qu’il était temps, on commençait a en avoir plein le fondement. même si, pour une fois, tout s’est a peu prés bien passé, ce fut une année bien chargée. ( bon, comme les précédentes, quoi… )

allez quelques photos.

bon, si on va essayer de ralentir, ça veut pas dire qu’on a pas du taf’ pour cet hiver…

on va déjà commencer par une ou deux semaines de glandouilles puis il restera a finir la couche de barbotine a l’étage. il reste pas grand chose mais on aimerait pouvoir finir ça aussi.

puis ça va être rangement, démontage de la serre pour sa mise en vente, remise en état du bout que l’on va garder pour le potager de madame, bois de chauffage, puis pose des gouttières ( si, si ! ), cloisons du RDC, et… et… et… électricité…

et si vous avez peut être remarqué que le capitaine haddock n’a pas trop montré sa barbe cette année, il risque de reprendre du service rapidement 🙂

Et pis… GNON ! tient ! déclara Chuck Norris aux 457 vilains qui semblaient vouloir attenter a son intégrité physique.

Et la, vous vous dites… gné ?!?

attend, attend ! pis.. gnon… pignon… pignon de la maison, chuck norris et sa célèbre faculté a mettre ces pieds ou il veut et souvent dans la gueule, fin de le couche de corps sur les pignons qui en a pris un coup, coup donné par chuck norris, analogie, jeu de mot, calembour : vanne de merde.

et j’imagine votre regard perplexe se transformer en une moue affligée et, ça, c’est vraiment très rigolo, comme dit mon petit loulou 🙂

bon, trêve de galéjade. faite une pause, remettez vous de vos émotions après la nullité tchernobilofukushimesque de cette vanne foireuse, allez vous aérer, reprenez foi en l’humanité et dites vous bien que, des fois, c’est dur de trouver un titre a ces posts. non mais !

donc, vous l’aurez deviné grâce a l’extrême finesse mise en œuvre précédemment pour vous orienter vers le sujet du jour, nous avons fini la couche de corps des pignons. ça, c’est fait.

et il nous reste a tout péter une trentaine de mètre carré a finir, ce qui représente queud’ sur la surface de la maison. et qui, si les vents sont favorable, devrait être fini pour le week end prochain. et… et… ça sent la fin de saison et le ralentissement de la cadence de travail, ce qui n’est pas pour me déplaire, je dois bien l’avouer.

bon, rien de bien nouveau, montage, démontage d’échafaudage, enduits, taloche etc… donc photos, en gros et en général.

et, voila, ça déchire ! et pis, c’est tout ! on est vraiment content du résultat. c’est rond, chaud, voluptueux, sensuel, bosselé ( que vous ne croyez pas que je décrive autre chose que la forme de nos murs, hein ? petit coquinous ). en gros, ça poutre !

et pour ne pas démériter quand a ma légendaire faculté a vous tenir la jambe dans mes post interminable, je ne peux terminer ainsi, ça serait bien trop court, voyons… doooonc… il a fallu que je refasse un tamis ( non, attendez, ne partez pas, ça sera bref 🙂 )

alors, le tamis avec, uniquement le grillage a poule pour supporter le poids, ça ne tient pas le choc et le mien, même après avoir été renforcé au milieu pour éviter une trop grande portance, a fini par agoniser dans d’atroce souffrance.

du coup, gogorecyclage a la grue qui n’a pas su resister a la loi universelle de la gravité ( la garce ! ) et j’ai utilisé ce qui faisait office de toit du poste de pilotage sur lequel on pouvait se positionner pour diriger la grue ( quand elle ne se vautre pas comme une grosse bouse, hein ? de l’amertume ? rhôôô si peu… )

j’ai éclairci les mailles du grillage qui servait de toit et de protection puis j’ai remis une couche de grillage a poule. la grosse maille sert a supporter le poids et la grillage a poule de tamis. et, ça devrait nous finir le chantier sans problème. comme quoi, elle nous aura servie cette grue… heuuu… keuf, keuf… sifflotement…

au rayon bricolage et recyclage, les chutes de poutre en I n’en finissent pas de trouver une utilité. entre passerelle d’accès a la maison, planche d’échafaudage et échafaudage en mode bricolo bill, finalement, je regrette pas d’en avoir fabriquer de trop.

estelle a ainsi pu finir le barbotinage du pignon intérieur au dessus de la mezzanine grâce a deux membrure et autant de chute de poutre en I. c’est un peu rock n’roll mais ça marche et c’est costaud.

puis elle a aussi terminé l’autre pignon ( notez le splendide lit, que même la belle au bois dormant, elle en a pas un comme ça, qui vous attend, si vous venez nous aider sur les prochains chantiers participatifs. non, mais attend, on se fout pas de votre gueule quand même. t’en a déjà vu des plumards avec un aussi splendide couvre lit… heuuu… jaune. très jaune. trop ? et pis d’abord, des couvres lits pareils avé sa tète de lit assorti, s’il vous plaît, même chez ikea, ça existe pas. et oui, les petits tas louche qui constellent, le dit couvre lit, ne sont que de la terre et non pas des substances douteuses qu’un mammifère quelconque aurait laissé en souvenir )

et pour finir… la minute mac gyver.

tout d’abord, sachez qu’il ne faut pas acheter de bac a douche en plastoque ( ou approchant ). c’est juste de la drouille.

si vous nous lisez depuis le début, vous savez qu’il avait fallu que l’on change notre douche car l’ancienne avait décidé d’exploser une des ces parois, juste pour le fun, voir pour nous enquiquiner une chouille. et que je l’avais remplacé par une douche d’occaz avec un bac en plastoque.

le problème, c’est qu’une fissure est apparu et que fuite il y a eu. j’ai donc essayé de réparer avec du silicone mais en peu de temps, ça fuyait a nouveau.

ne voulant pas changer a nouveau de douche car elle devrait bientôt être mis en retraite, si tout va bien, je me suis regardé l’intégrale de mac le brushing fatal et tout imprégné de sa technique  » je répare tout avec un bout de chewing gum, une barrette a cheveu et vieux clou rouillé « , j’ai détourné légèrement de son utilisation première notre planche a découper qui, noyé dans le silicone apporte un support solide pour éviter de ré ouvrir cette foutu fissure. bon certes, ça fait bizarre quand on rentre dans notre douche pour la première fois et il a fallu racheter une planche a découper mais ça tient..

alors, oui, certain se poseront la question de savoir, ce que fout une planche a découper dans une douche mais ça donne un cachet roots du meilleur effet a notre douche merdiquopourrave et m’évite de refaire de la plomberie autre que dans la maison.

moi, je dis, mac gyver, petit joueur !

Couche de corps, avé du muscle de force, de la sueur ( qui sent mauvais ) et beaucoup de lessive !

ça y est, le deuxième chantier participatif est terminé et demain je retourne au chagrin…

mais malgré une fréquentation en forte baisse ( comme si vous aviez autre chose a faire que de venir nous filer un coup de main… vous n’êtes pas raisonnable… ) on a quand même super bien avancé et que même, on va tenir notre planning et que la vérité, si je mens, que ça sera la première fois depuis le début du chantier.

si madame et votre serviteur ont envoyé du pâté pour avancer au max, rien n’aurait été possible sans l’aide de rossana, sam et pierre-édouard qui sont arrivés en deuxième semaine.

la première semaine a donc été consacré a finir la paille ( cf le précédent post ) et la barbotine manquante.

donc démontage et remontage de l’échafaudage ( je vais finir par l’user… ) pour finir le dernier pignon avec remplissage paille et barbotinage dans la foulée.

puis on a fait un peu de rangement. j’ai fait des paquets avec les lattis des cloisons et mis tout ça, debout car je m’étais spécialisé dans l’art de trébucher dans le tas qui était posé par terre et qui me faisait caguer grave qui m’indisposait. sans compter que ça a libéré de la place pour transformer le rez de chaussé, en piste de course pour vélo et trottinette et même que t’as intérêt a garer tes pompes si tu veux pas te faire rouler sur les arpions ! sont fou ces p’tiots !

et j’ai attaqué une partie de la barbotine a l’étage pendant que madame finissait la partie cuisine qu’il restait au rez de chaussé.

on a eu la visite de « mino », une autre copain de boulot qui s’est essayé au barbotinage avec un air perplexe au début mais qui finalement s’est pris au jeu et a torché notre chambre et le placard.

un grand merci a lui d’avoir pris un peu de son temps de vacance pour venir se salir les pognes.

de mon coté, je me suis occupé du pignon au dessus de la mezzanine. j’y sentais moyen et savait pas trop comment travailler en sécurité et finalement mes restants de chute de poutre en I sont venu a ma rescousse. deux poutres posées sur le plancher d’un coté et de l’autre sur l’échafaudage et j’avais une plateforme de luxe pour travailler pénard.

puis on est passé aux enduits terre et au premier essai, laissant de coté, la couche d’accroche pour bien préparer l’arrivée de nos esclaves volontaire ( mais on les nourris bien ! )

pour résumer, les enduits terre, c’est du bonheur en barre, que je regrette même de n’avoir pas fait l’atelier comme ça, plutôt qu’en chaux.

mais avant toute chose, passons au point litigieux dans la littérature sur les enduits terre ( du moins, je devrais dire, le manque d’info précise. )

le blém, c’est les adjuvants aux enduits terre. dans les trois bouquins mentionnés dans les précédents post et qui font pour ma part, office de référence sur le sujet, il est conseillé d’ajouter, de la bouse de vache, du crotin de cheval, du maïs fermenté etc… pas tous en même temps mais avec l’idée que l’on prend, ce que l’on a facilement sous la main.

pour nous, cela aurait été de la bouse de vache, disposant d’une ferme a 500 m de chez nous.

les trois bouquins précisent que ces adjuvants ont la facultés de rendre plus solide les enduits, de les étanchéifier, de leur rendre le poil brillant et l’haleine fraîche ( quoi qu’avec la bouse… ). soit. je veux bien. mais dans aucun des trois bouquins ne sont donné les proportions a respecter. ou je sais pas lire. le seul qui donne une vague indication est le « rivjen » avec une unités de mesure sous forme de godet… qui, vous en conviendrez avec moi est une unité de mesure valable dans la science reconnu de la piffomètrie, mais sur mon chantier… bin…

de plus, les trois bouquins insistent bien sur le fait qu’il n’y a pas de recette miracle car toutes les terres sont différentes.

résultat, dans le doute, on a rien mis. et c’est pas l’envie qui nous manquait car j’espère ne pouvoir mettre que de la terre et préférerait me passer d’une couche de chaux extérieur pour la protection finale du mur. donc pour moi, c’est la grosse lacune de ces bouquins.

au final, dans le terre vivante, on a une recette ( précise ) d’enduit de finition a base de jaune d’œuf et d’huile de lin qui, selon leur dire, fonctionne bien et que l’on suivra sûrement mais c’est dommage d’appâter le client sans lui donner les recettes complète.

bon, fallait quand même critiquer une chouille sinon on allait croire que j’étais acheté par le lobby des enduits terre et t’imagine pas le budget ticket restau dont ils disposent pour soudoyer… bin… pas grand monde ou alors des convaincus. 🙂

allez… passons dans le beau monde de la terre et de la couche de corps, de tout mur en paille qui se respecte.

on a besoin de barbotine ( consistance yaourt, presque yaourt a boire ) de sable et de paille.

finalement, j’ai pris la recette première, de mes essais, soit une volume de terre pour deux de sable et un de paille. le deuxième qui doublait le sable et la paille me semblait trop lourd.

pour la terre, il est préférable de la passer au tamis pour virer les plus gros cailloux, étant accepté ceux qui arrivent a passer entre les mailles d’un grillage a poule, soit a la louche ( ou au godet ) 1 cm.

si la terre le permet on peut le faire avant trempage ou si l’on dispose d’une terre comme la notre qui a la fâcheuse habitude de rester agglomérée en grosse motte, on peut le faire après trempage.

on a une tripotée de cuve et deux baignoires pour permettre le trempage et touillage de la terre. le but du jeu étant de laisser tremper minimum 24 heures ( fourchette très basse ) afin de facilité le touillage.

on remplit donc de terre fraîche en cassant au maximum les plus grosses mottes, on recouvre d’eau et on passe un premier coup de malaxeur. puis on laisse reposer les 24 heures mini, puis retouillage plus minutieux pour pouvoir passer au tamis.

pour le stockage, les baignoires vont bien mais les fût plastiques de 200 L coupés en deux sont juste parfait. ça permet une position optimal avec le malaxeur qui, avec ses 1300 watt en pleine bourre fatiguent vite son utilisateur.

pour le tamisage, j’ai fabriqué un tamis a la taille de la baignoire qui sert de stockage final.

ensuite, je verse la terre sur le tamis

puis brassage a la main

et ne reste a la fin qu’un restant de caillou aggloméré avec des mottes d’argiles récalcitrantes que je met de coté dans une autre bassine pour trempage, re-malaxage et repassage au tamis pour récupérer la substantifique moelle de la terre qui restait agglomérée aux caillasses.

parce que finalement la terre ne coûte rien financièrement parlant mais physiquement… ça fait sentir sous les bras ! donc si on peut économiser quelques litres de sueur, faut pas se gêner.

et le résultat après tamisage. de la vrai crème dessert.

pour la fabrication, on conseille plutôt le malaxeur planétaire ou verticale, le foulage aux pieds ou le mélange a la pelle mais la bétonnière classique a plutôt mauvaise presse.

bon, c’est ce que j’ai et si le coté sympathique du foulage aux pieds avait l’air tentant, ça oblige a faire de grosses quantités d’enduits qui ne conviennent pas a mes après midi de travail.

donc, j’ai juste customisé la bétonnière en rajoutant une encoche a la roue crantée qui permet l’inclinaison de la cuve.

cette encoche permet de mettre la cuve a l’horizontale et de finir de mélanger après introduction de la paille.

par contre, ça force pas mal et la patte de ferraille qui maintient la cuve a cassé. d’où une réparation maousse costaud.

donc, avec les proportions de 1 seau de barbotine, 2 de sable et 1 de paille qui sont multiplié par deux pour faire une brouette complète, la cuve est a l’oblique dans la position classique, je met la barbotine a l’arrêt ( car ça colle toujours au fond du seau et racler le seau avec la cuve qui tourne, c’est pas le top ), puis, je met en route, j’envoie le sable, rajoute une chouille de flotte en fonction de la chaleur ambiante et je met la paille en envoyant bien les poignées de paille au fond de la cuve.

puis je met la cuve en position horizontale en mettant la brouette en place pour récupérer ce qui pourrait tomber de la cuve et la position horizontale fait la différence. la, ou avec la cuve oblique, le mélange avec la paille est trop épais pour bien se mélanger et reste coincé dans les pales intérieur de la cuve, a l’horizontale, ça « roule » l’enduit qui monte en haut de la cuve et se casse la gueule ( d’où le travail du châssis de la bétonnière et la casse de mon bitonio ).

tout n’est pas parfait et un petit grattage de la cuve en pleine action avec un bout de bois permet de bien décoller le bonbon du papier. de même qu’il faut récupérer un peu d’enduit a la main, restant en fond de cuve. mais bon, rien d’insurmontable et il y en a pour 5 mn pour faire une brouette.

finalement, c’est assez facile, la difficulté résidant dans la gestion de la terre. entre la terre brute qu’il faut piocher, le remplissage des cuves vide, le trempage, le malaxage, le tamisage, la bétonnière… tu cours un peu dans tous les sens et j’ai presque passer ma semaine a la fabrication d’enduit.

vous saurez aussi que les marchands de sable doivent être bien potes avec les scieurs et les marchand de matériaux. ils ont du monter une société secrète ou signer une charte stipulant qu’il ne faut jamais JAMAIS !!! respecter un délai de livraison.  et lui, il bat tous les records car il n’a même pas l’excuse de la distance, la carrière étant situé a 5 km… voila, voila…

du coup, les premiers jours, j’ai été fin chaud sur le sable. j’ai commencé a la brouette puis j’ai déployé l’artillerie lourde et utilisé ma remorque pour m’éviter le voyage menant de l’entrée du terrain ou se trouvait notre restant de sable et le fond du terrain ou se situe  l’aire de fabrication.

passons maintenant aux invités. pierre édouard est arrivé le preum’s et dés samedi matin s’est mis au boulot.

puis samedi en fin d’après midi sont arrivé rossana et sam qui a peine descendu de 5 heures de voiture se sont mis au boulot direct. courageux, je vous le dit !

pour les enduits, les premiers essais ont donné l’impression de devoir faire deux couches car dés qu’on essayait de charger, ça avait tendance a se casser la margoulette.

donc on est parti la dessus mais finalement on a perdu du temps car si ça se cassait la figure, c’était la faute de mes premières bétonnières d’enduits qui était trop sec. on s’en ait aperçu par la suite avec rossana et sam car avec des enduits plus liquide, ça tient bien mieux et on peut mettre facilement du premier coup les 2 cm minimum conseillé.

du coup, samedi et dimanche, pierre edouard puis rossana et sam se sont contenté de passer une première couche fine sur quasiment le tour de la maison. c’est toujours ça de pris mais on aurait pu passer en une couche et rossana et sam aurait pu éviter de se retaper le tour complet pour la deuxième couches. m’enfin, c’est de ma faute, j’avais qu’a réussir mes premières brouettes d’enduits du premier coup.

donc pendant que pierre edouard avançait sur la première couche, rossana et sam passait la deuxième.

j’adore cette photo, un bel exemple d’harmonie familiale 😉 concentré, n’est t’il point ?

de mon coté, entre deux bétonnières, j’ai quand même réussi a faire un peu d’enduit, tout comme estelle des qu’elle réussissait a venir a bout de l’intendance.

et le mur de madame

puis tout le monde est monté d’un étage

le premier tour de fenêtre… y a pas a tortiller, les angles arrondis, ça déboîte !

finalement on a réussi a bien rattraper les trous et bosses tout en gardant les courbes et le coté sensuel du mur.

pour la pose de l’enduit, soit on jette l’enduit par petite poignée avec le rossana style

ou l’on pose une bouse qu’on écrase a la main avec le sam’style

c’est comme tu veux tu chois’

et il suffit de lisser le tout a la taloche

et le travail final de rossana et sam, ils auront eu juste le temps de finir le mur nord.

de notre coté, on a fini vendredi soir, le pignon avant démontage de l’échafaudage pour permettre d’accéder au haut du pignon.

voila, une fois de plus, ce chantier fut productif mais surtout, c’est toujours aussi formidable de rencontrer des gens d’horizon différent avec des projets tout aussi différents.

un grand merci a pierre édouard pour son aide et sa bonne humeur ( et sa patience avec les p’tiots 😉 )

et un autre grand merci a rossana et sam pour avoir supporter le rythme soutenu qu’on leur a imposé, leur méticulosité et leur gentillesse.

que vos projet a tous les trois se réalisent rapidement.

nous avons aussi eu l’agréable visite de « stebanie » du blog « paille au perque », soit Stéphanie, Sébastien et leurs p’tiotes, Lily et Philomène.

en vacance dans le coin, on a eu l’occasion de se rencontrer en vrai autour d’un repas et d’une bouteille de savagnin. et c’était vraiment bien sympa de pouvoir passer de l’autre coté de l’écran.

pour finir, a l’instar de Lily qui donne dans la customisation de croc avec des restants de chantiers, Julie a aussi laissé libre cours a son imagination et nous a concocté a base de chute de charpente, un magnifique « marcel, tête de bois » du meilleur effet.

l’est pas chouquard ?