Alors, cette baraque ? content ?

avant de remettre a jour le bouzin, on peut quand même causer de la maison dans son ensemble, son efficacité énergétique, la qualités de vie qui ressort du fait de l’habiter et le ressentie générale de son autoconstruction ( et je vais être très franc sur ce point )

alors, alors… avec presque 6 ans de recul, maison efficace ? Hooo que oui !

pour rappel, la maison fait 170 m2 habitable et quelques 300 m3 de volume ( je sais, c’est beaucoup trop mais on en recausera )

l’hiver, avec un simple insert ( le gros modèle quand même ) on tourne a 6 stères de bois pour tout l’hiver, en chauffant aussi l’atelier. donc question efficacité et économie, y a pas photo ! en achetant la stère de bois a 40 € ( non, parce que l’affouage, c’est fini, plein le biiiip ) on arrive pas a 250 € de chauffage par an. comme dirait un bellâtre ricain, woôol else ?

l’été, en aérant au max, la nuit, on a eu sur les dernières canicules, 15 ° de différence ou comment se demander, si on a pas oublié d’éteindre la clim’ en partant alors qu’on en a pas.

donc, efficacités énergétique au taquet et on en est plus que content. ce qui confirme donc, que si y a du pognon a investir pour l’écologie, c’est bien dans l’isolation des bâtiments et des passoire thermiques. de l’emploi et de l’économie. mais bon, je dis ça je dis rien, y a qu’a voir le résultat des dernières élections…

passons au chapitre, qualités de vie. alors, c’est cool. forcement, une grande maison, c’est bien. mais les enfants grandissant, je me dis que plus petit, ça nous aurai couté moins cher en argent et en temps.

mais être a l’aise, surtout après les confinements récent, je pense qu’on a été riche de qualités de vie, par rapport a bien des français.

donc, ça aussi, pas trop a se plaindre, on est un peu des bourges de l’habitation 🙂

donc, donc, super positif cette aventure, nos choix, cette idée d’autoconstruire notre maison ? mouiiiii, bin, mon cœur balance. ou pas.

depuis, le début de ce blog, je me suis fait un point d’honneur a ne pas raconter de craque, de ne pas, me la jouer dédé la bricole, a qui tout sourit et de dire ce qu’on faisait de bien, de correctement, de top moumoute ou carrément, je m’autoroulerais une pelle si c’était possible mais, j’ai toujours aussi raconté les galères, les bêtises, les conneries, les idioties a s’autobaffer, facon bud spencer ( et je sais que ça vous a fait marrer une paire de fois, ne niez pas, bande de sacripan ) car j’ai toujours pensé que le tourner de façon idyllique était néfaste pour déjà, mon honnêteté mais aussi pour ceux qui me lisait et qui aurait pu penser que l’autoconstruction, c’était finger in the noise. car, non, spoiler alert, ça ne l’ai pas.

car, c’est officiel, avec la fin de la fabrication du parquet et sa pose au RDC que je viens de terminer, avec l’aide de madame qui en a fabriqué la moitié, ( enfin presque, reste a poncer et vernir ) , j’en ai officiellement plein le cul de cette baraque. car oui, c’est le terme technique.

des petites troubles digestif ? une constipation passagère ? construisez votre maison, vous aurez un transit nickel, tellement vous allez en chier.

cette maison est devenu pour moi, une purge sans fin, mon sacerdoce, mon chemin de croix et le résultat d’un karma hautement merdique. j’ai du être testeur de rouleaux compresseur sur chaton crôôômignon dans une vie antérieur ou électeur de macron pleinement satisfait de sa politique. pire ! jeune avec macron ! et la, je mérite en plus de la maison, de remplacer les chatons sous le rouleau compresseur

mais, mais… de quoi qui cause ? elle est bien cette maison ou pas ? a comprend plus…

mais oui, elle est bien cette maison mais en 15 ans, j’ai pris 2 x 2 semaines de vrai vacance et c’est tout. le reste du temps, j’ai travaillé. travaillé pour payer les factures dans un métier, réputé pour être tout sauf reposant et travaillé sur cette fucking maison. tous les après midi, en plus du travail alimentaire, du temps ou il fallait la finir pour rentrer dedans et travailler tous les week end, tous les confinements, les chômages partiels sans cesse, sans arrêt, sans repos. et le tout pendant 15 ans.

mais fait donc une pause, bougre d’âne ! dame Estelle me le dit souvent… mais ça n’est que reculer pour pas mieux sauter. faut bien la finir un jour, cette maison et plus on met de temps a la finir moins vite on peut retourner a une vie normale, a base de, qu’est ce que t’as fait ce week end ? je suis aller me baigner, faire du vélo, fait la sieste, de la moto, vu des amis, la vie quoi… et toi ? j’ai fabriqué mon parquet, réparer le mur, souder les gouttières, etc… etc… etc… et quand je regarde l’encyclopédie des choses a faire, ( 17 volumes, relié pleine peau d’autoconstructeur ) j’ai envie de me mettre tout nu et de courir les joyeuses a l’air en hurlant comme un fan du tour de france ( ça faisait longtemps, tient ! -:) )

alors, pour arrêter de faire ma pleureuse, oui, on est très content de la maison, heureusement sinon, je me serais flingué. oui, on est fier d’avoir fait ce que l’on a fait car c’est un truc de taré. oui, on a rencontré énormément de personnes formidable qui nous ont aidé, sans rien demander en retour mais trop, c’est trop.

alors, c’est surement un peu de ma faute en tant qu’auteur des plans et une maison plus petite nous aurait occasionné moins de boulot… mais que voulez vous j’étais jeune, fougueux et un peu con ( surtout con d’avoir eu cette idée ? )

donc, pour être franc, chère lectrice, cher lecteur et potentiel futur autoconstructeur… réfléchis y, a deux puissance 17000 fois avant d’y aller avec ta bonne humeur et ton courage indéfectible.

c’est jouable mais au détriment de ta vie familiale, sociale et un peu beaucoup de ta santé.


hé hô, et moi ? je peux causer dans le poste aussi ? lâche ce clavier, vilain garnement, lâche ! mais heuuu… c’est mon jouet !

heuuuf… dame eftelle fouette donner fon afis, elle m’a delifatement sufferer de laiffer le clafier, hiftoire de fous donner fon afis, donc fu que tiens a garder les felques dents qu’elle a gentiment efargné, je lui fede la place grafieusement

Chers lectrices et lecteurs, à l’occasion de cet article, je viens mettre mon grain de sel en tant qu’auto-constructrice, épouse, mère de famille, photographe, intendante et maitre zen quatrième dan pour supporter l’ours mal léché qui me sert de mari.

Quand nous nous sommes engagés dans cette aventure, nous étions très loin de nous imaginer le nombre d’années que nous allions consacrer à la construction de l’atelier et de la maison afin de vivre plus, en accord avec nos convictions.

Comme vous pouvez, vous l’imaginer, mon regard sur la maison est différent. En tant que mère au foyer pour m’occuper des enfants, l’auto-construction de notre maison s’est ensuite tout naturellement ajouté, avec la charge de travail que cela représente car pour moi, il a toujours été impensable de laisser Patrice se taper, tout le travail.

Comme Patrice, il m’est aussi arrivé d’être fatigué, de ne pas avoir envie de travailler, de me sentir usé corporellement parlant, sans parler des douleurs lié aux travaux (ex : tendinites, courbatures, ….)

En tant que femme, il n’est pas toujours facile de concilier la vie de famille, l’intendance, faire les photos, le jardin et le chantier. Il faut être à la fois très organisé, ne négliger personne, se serrer les coudes dans les coups durs et connaitre ses limites pour ne pas tomber dans le surmenage physique comme intellectuel . De plus, il est important de savoir s’octroyer des moments de repos et aussi de plaisirs (se promener, faire des activités avec les enfants, jardiner, voir des amis, …).

Revenons à la maison, côté qualités de vie, il n’y a pas mieux, les pièces sont spacieuses et on ne se marche pas dessus. J’aime beaucoup la grande pièce car elle est très conviviale. Par exemple, quand on est à la cuisine, on n’est pas isolé des autres personnes qui sont dans la salle à manger ou au salon. De plus, la baie vitrée et la porte vitrée nous font profiter de la vue sur le jardin.

Pour chauffer la maison et l’atelier, nous utilisons très peu de bois (6 stères) et en été la maison garde très bien la fraîcheur après l’avoir aéré la nuit et tôt le matin.

La maison comme l’atelier sont très sain, je n’ai plus les problèmes d’allergies que j’avais avant, dans nos précédents appartements. L’humidité s’évacue directement à travers les murs qui respirent, ce qui assainit grandement la maison. Nous avions prévu une VMC couplée au puits canadien mais je ne pense pas qu’on le fasse un jour, les murs restent bien secs même dans la salle de bain.

La seule chose que je reproche à la maison, c’est la mezzanine en hiver, à cause de la convection, qui provoque un flux d’air froid. Quand on est dans le canapé on est toujours obligé d’avoir une couverture sur les jambes.

En conclusion, je suis très contente de vivre dans notre maison et quand je regarde tout ce que nous avons accomplis, j’en suis très fière même si elle n’est pas finie ou parfaite, c’est la notre.

N’oublions pas non plus, tous les gens qui sont venu nous aider en nous enrichissant de leurs savoir et que nous n’aurions sans doute jamais rencontré autrement. Merci à eux.

Et pour finir, je ne peux ne pas vous quitter sans une parenthèse sur le jardin car pour moi, pas de maison écologique, sans jardin bio. Même si je suis la seule à jardiner à la maison, le jardin m’aide à me vider la tête, à ne pas penser tout le temps a la maison et cerise sur le gâteau, il nous permet de manger plus sainement.

Un blog sur la lutherie ? et ou que ça serait toi le luthier ? moouais…

oui mais presque !

presque, car je ne suis pas luthier au sens pro du terme mais plutôt du coté amateur passionné.

vu que coté maison, c’est plutôt calme, j’ai décidé de mettre en place ce nouveau blog pour vous causer de ma passion qui me passionne passionnément depuis mon adolescence. a savoir la lutherie.

le but du blog est calqué sur celui la, même ou je vous écris, a savoir, vous faire partager mon travail de façon honnête et j’espère pas trop lourde ( rien de plus ch… qu’un passionné )

donc, je suis loin de me considérer comme un luthier mais je m’en vais tout faire pour ( et c’est pas encore gagné… )

en espérant que ça vous plaise autant que nos aventure autoconstructionnesque

et c’est par ici, que ça se passe : du bois aux instruments ( edit: le lien a changé 😉 )

Tieng ? il est revenu le pomponet ? fainéaaant… glaaaandeur…

et oui, roulement de tambour, chantez haut bois, résonnez trompette et tout le reste de l’orchestre, nous r’v’la sur les ondes longues de l’intérieur du dedans du cyber espace.

oui… j’ai honte… 3 mois sans ramener ma fraise, ça fait bizarre… mais que voulez vous… faudrait t’il que j’ai quelque chose a raconter d’intéressant… car si écrire des posts a rallonge ne me fait pas peur, parler pour ne rien dire ne sied guère a mon auguste personne et encore moins a celui qui voudrait bien me lire. comme si j’allais expliquer, photo a l’appui, ce que j’ai mangé sur facebook. hein, faut pas poussé mémé dans un champ de mine, quand même !

bon, a la demande pressante du tonton du nord et de son acolyte lyonnais ( béton man pôôôwaaa ! ), je m’en vais vous conter les merveilleuses aventures de bricolo bill, alias le kid du héhô, doucement, ha ba, non, pas envie aujourd’hui !

pour commencer, j’ai rangé mon nouvel atelier, soit notre ancien chez nous. tout est prêt pour accueillir les nouvelles guitares qui devrait pas tarder a y naître 😉

avec toute cette place libéré, on a décidé me mettre a la retraite, notre ancien atelier en palette situé au fond du terrain.

mine de rien, il aura bien tenu, le bougre… 7 ans mais surtout 7 hivers jurassien, avé la neige et tout ! j’aurais jamais cru qu’il ferait aussi longtemps… bon, j’aurais jamais cru en avoir besoin aussi longtemps ( heuu, arf ! )

bon, je vous cache pas qu’il commençait a méchamment fatiguer. le plancher était a moitié pourri et en le démontant, il y avait quelques chevrons qui avait pris cher.

et vu que rien ne se perd, on a recyclé ce qu’on a pu, en un abri a bois et un autre a vélo et tondeuse

le plus important étant de récupérer les tôles pour les réutiliser. mais alors, que ce fut pénible…

parce que les clous spechiole fait pour, une fois bien établi dans leur fonction, ne semble pas vouloir de rupture conventionnel de contrat. quand ça va bien, on arrive a les dévisser mais quand ça veut pas, faut passer a la méthode jean claude vandamme.

puis démontage des plaques d’OSB en cherchant les vis dont j’avais généreusement garni les plaques…

et démontage des montants en palette

y a comme un vide…

puis avec de nouvelles palettes de recup’, on a remis le couvert, tout en récupérant le maximum de tasseau, chevron de l’ancien atelier. un peu long de virer tous les anciens clous mais économique.

et le résultat…

et il y a donc, le même a droite de l’atelier pour garer les vélos et la tondeuse. coût final ? zéro brouzoufe. j’aime bien moi !

j’ai ensuite, enfin, fabriqué une marche pour la porte, coté jardin, pour remplacer le bout de poutre en I qui commençait a fatiguer…

au rayon des truc a faire depuis une plombe, j’ai posé l’interphone. et oui, on est moderne, maintenant.

oui, la couleur est a chiée mais du fait, de la gratuité de cet interphone de récupération, elle est tout de suite, plus acceptable 🙂

et le dernier boulot en date, le compteur définitif d’électricité. et oui, ERDF, c’est enfin décidé a poser le coffret définitif. juste 8 mois d’attente entre l’encaissement des brouzouffes et le travail fait…

il a fallu que je pète mon mur pour intégrer le coffret. j’ai caressé l’espoir de faire une saignée de la taille du coffret mais mon mur m’a vivement conseillé d’arrêter de me toucher la nuit.

si mon mur est splendide car vieux et ancien, il a bénéficié des technique ancestrale de construction qui consiste a monter une épaisseur de caillou sur les deux faces puis de remplir le milieu, de tout ce qu’on a, sous la main. c’est beau, certes, mais des qu’on enlève une pierre, tout se casse la gueule.

bon, honnêtement, j’ai repris le même principe en remplissant aussi au max avec de vieux parpaing, caillou pour économiser le mortier.

allez cherche le caillou qui va bien, cherche !

et le résultat…

sinon… est ce que vous voyez le gars qui réfléchis, la ? si, le même qui, par le passé a déjà bien réfléchis et vous a fait marrer ?

si, si, cherchez bien sur la photo. m’voyez ? non ?

bon, alors, je vous aide. le but du jeu était de remonter le mur en utilisant les pierres a ma disposition. fastoche, non ? mais… si un kilo de plume pèse aussi lourd qu’un kilo de plomb, un méga fucking bloc de pierre pèse beaucoup trop lourd pour avoir l’idée saugrenu de le placer tout en haut en étant obligé de le soulever avec ces petites mimines. ‘bécile, va ! alors, y a eu du reflechissement, ou pas ?

voila, voila, c’est a peu prés tout, question travaux. pas de quoi faire 50 messages, quoi…

un dernier mot sur enercoop. car avec le compteur définitif, il a fallu choisir un fournisseur d’électricité. et on a donc choisi enercoop.

pour ceux qui ne connaîtrait pas, c’est le seul fournisseur d’électricité verte, 100 % d’origine renouvelable.

bon, vous allez vous dire, oui mais il existe d’autres offres dites « verte » chez d’autres fournisseurs. certes. mais c’est la que l’on doit faire un choix en accord avec ces convictions. ( ouuu, le gros mot )

d’un coté, enercoop, plus cher mais associatif et ou tous les bénéf’ servent aux financement de projet de création d’électricité verte. mais surtout, ou pas un rond ne va, a des actionnaires. et rien que pour ça, ça me parle.

et de l’autre, la pelletés de fournisseurs qui se tire la bourre, a qui sera le moins cher mais qui reste très opaques sur ou, va le pognon et qui fonctionne beaucoup grâce au marché de l’électricité, ces actions et ces financiers qui ne sont intéressé que par leur profit immédiat. ( hasta siempré la révolution mode off)

donc, voila, c’est un choix personnel et même si ça nous coûte plus cher ( pas la fin du monde quand même ), ça permet aussi de faire attention a sa consommation, ne serait ce que, par le porte monnaie.

puis la question du prix ne sera pas toujours le point noir d’enercoop. avec l’ouverture totale du marché et surtout la fin du tarif réglementé pour les pro ( cette année pour les pro, a quand pour les particuliers ? ), ça risque de devenir le far west sur ces marchés et comme tous les précédents exemples de privatisation et de passage de flambeau a la libre et saine concurrence ( prout ), les factures risquent de méchamment augmenter. chose qu’enercoop, n’a jamais fait depuis sa création en 2007 et qui souhaite garder comme ça.

bon, enfin, je vais arrêter de faire le vrp vous saouler avec enercoop mais bon, jetez y un coup d’œil, si vous voulez changer de fournisseur et n’hésitez pas a la appeler, un vrai gens vous répond et vous explique le bouzin.

voila, voila, mes obligations bloguieres sont a nouveau remplies, les tontons, j’espère satisfait et je vais donc retourner a mon passe temps préféré et auquel, je m’adonne a nouveau sans aucune retenue. yes !

PS: ha oui ! et bonne année a tous !

Une ( toutetite ) table basse, en bois d’arbre

certain pourrait penser que j’ai quelque chose a compenser, au regard de la taille a peine imposante du bestiau mais que nénni, il n’en est rien, le sequoia, ça pousse velu et large !

donc, voila, une table basse ( si, si ! )

c’est un bout de sequoia plus que centenaire qui a été coupé dans un collège du coin car il présentait un danger selon les spécialistes. c’est toujours dommage de couper un, si bel arbre mais bon, la sécurité des p’tiots…

alors, ce rondin ne provient pas, du bas de l’arbre mais plutôt du milieu… c’est le diamètre maximum que mon scieur a pu passer dans sa bécane car la bille de pied tape dans les 2m20 de large… c’est juste impressionnant ces arbres.

j’étais parti pour faire des pieds croisés et puis… 3 rondins de frêne prélevé sur mon affouage font aussi bien et finalement, ça cadre bien avec le reste ( et c’est ach’t plus rapide a realiser et a ajuster )

je l’ai aussi, cerclé pour limiter les fentes déjà présente. car même si elle bien massive, elle est très fragile ( bon, tout est relatif, hein… ) du fait, de l’orientation du fil du bois.

et en parlant de sens du fil du bois, le seul problème a été le vernissage. elle a picolé le vernis comme un supporter de foot, un soir de match. les fibres étant orienté debout, les 3 couches de vitrificateur en base aqueuse ont été littéralement aspiré, comme s’il n’y avait pas de vernis…

bon, bon, bon, on va passer a l’artillerie lourde, alors ? le vernis marin ! ça pue, c’est bien chimique mais normalement, c’est costaud et epais. et avec les précédentes couches de vernis faisant office de bouche pore, je me suis dit que ça serait du gateau.

et bien compte, la dessus et boit de l’eau. il aura fallu 6 couches de vernis marin pour arriver a un résultat homogène. c’est surtout l’aubier ( la parti extérieure, blanche ) qui pompait le plus.

m’enfin, voila, je peux a nouveau bouger dans mon atelier et donc passer a autre chose, comme… la lutherie ? ( WOOOHOOOUU ! )

y a plus qu’a vendre le plan de fabrication a ikea, juste pour se marrer en regardant les gens, charger la table sur la galerie du scenic. 🙂

canapé attitude… allons, allons, t’es grand maintenant, t’y crois vraiment encore ?

oui, je sais, trois mois de silence, ça commence a faire mais bon… pas que l’envie manque mais j’étais juste débordé de boulot. et même si mon petit coeur de cht’i n’enfant, y a cru, a la canapé attitude, je me la suis mis sur l’oreille pour la fumer plus tard…

donc après installation, on s’est octroyé un ou deux week end de repos puis il a fallu enquiller sur l’affouage. et cette année, je suis gâté. même si je le fais avec un copain, ça use grandement le bonhomme qui en avait pas vraiment besoin.

puis si normalement, on a une moyenne de 20 stères a sortir, cette année, ça sera plus 40 voir 50 stères… par deux, avec celui du copain… et on attaque ma parcelle seulement lundi avec normalement la date butoir du 15 avril pour abattre selon le règlement communal. arf !

bon, dire que j’en ai plein le fondement serait encore loin de la vérité mais il est vrai que je n’ai plus besoin de fauteuil pour m’asseoir tellement ça dépasse. ( hé, ho, j’ai droit, ça faisait longtemps 🙂 )

bon, ça, c’est un peu tous les week end quand le temps le permet. mais alors, me repose je, glande je, la semaine ? et bien que néni ! car même si j’avais espoir de faire traîner mon raccordement définitif EDF, eux non.  et ils ont su se rappeler a mon bon souvenir avec les bons mots.

texto : bonjour, faudrait vous raccorder. ok. j’envoie le dossier de raccordement et vous avez 15 jours pour l’accepter  sinon, on dépose le coffret. oook… puis a réception, on vous envoie le devis ( au passage, je ne comprend pas trop l’utilisation du mot « devis » pour quelque chose que tu dois accepter contraint et forcé… ) et pareil 15 jours pour l’accepter et envoyer au moins la moitié du règlement sinon, on dépose… ooooook… ( attention, ça va être drôle ) mais c’est pas une menace ! heuuu…

outre la facture bien assaisonné, il faut que je fasse péter mon mur extérieur pour qu’il pose leur coffret. et le problème vient de la particularité de mon mur qui, s’il est ach’t beau en vielle pierre, il a la particularité d’être constitué de pierre maçonné en extérieur et d’être remplie de tout venant a l’intérieur. donc si t’enlève la couche extérieur, y a tout, qui se fait la malle. donc, finalement, il faut que fasse tomber un bon mètre de mur et le remonter un fois qu’ils seront passé. bah, je m’ennuyais…

j’ai du aussi recreuser un coup, car les lecteurs les plus assidus ( et courageux ) se souviendront que j’avais arraché les gaines prévue a cette effet, a la minipelle lors du creusement de la tranchée pour le tout a l’égout. malgré un réparation que je pensais suffisante, mon fil de téléphone ne répondait pas et le câble que j’avais passé pour pour qu’EDF tire son câble était bloqué dedans.

donc… une bonne transpirée. mais c’est réparé.

puis vint la neige… joli, non ?

moins joli…

et oui, c’est notre serre. elle aura résisté 8 ans… un petit arrière goût de grue de chantier mais bon…

donc, rangement de l’atelier que j’espérais aussi faire traîner et déménagement en catastrophe des machines qui était stocké dessous.

autant le combiné est passé tout seul…

autant la scie a ruban … chaud bouillant. dire que c’est passé pil poil serait en dessous de la vérité. m’enfin, c’est dedans et c’est le principal.

on est actuellement en train de déménager le parquet qui a pris une chouille la flotte. rien de grave mais fallait pas laisser traîner.

ensuite j’ai refait l’électricité de l’atelier pour le passage du consuel. pas que ça n’était pas au norme mais, j’ai viré un paquet de truc inutile pour une utilisation « atelier ».

donc, une prise a chaque pied de poteau et trois néon. on a gardé l’ancien salle de bain qui sert de rangement avec une chiée d’étagère. les machines sont sur les cotés et l’établi au fond dans l’ancien cuisine.

j’ai refait le compteur en le réduisant au strict minimum. ça fait plus propre.

pour finir, comment que c’est une maison en paille, l’hiver ?

alors, bien content, pour l’instant.

malgré un petit poêle a bois avec un petit rendement, on a chauffé les doigts dans le nez. mine de rien, y a un sacré volume a chauffer. et encore on a cramé plus de bois que prévue car c’était du vieux bois, a moitié pourri, datant de mon premier affouage, soit il y a environ 7 ans.

je dirais, 6 ou 7 stères pour une moyenne de 20 – 21 degré sachant que l’on ne laisse pas tourner le feu, la nuit et que ça descendait a environ 15 – 16 degré le matin, au plus froid de l’hiver.

donc, essai concluant ! avec un bon poêle ( de masse ? ) et du bois de meilleur qualité, ça devrait être méchamment efficace.

en parlant de poêle, s’il a bien rempli son rôle pour sa taille, notre poêle a un gros défaut : il chauffe trop ! la paroi vire au rouge assez rapidement si on ne surveille pas l’arrivée d’air et avec le poids du conduit qui appuie dessus ( coude a 45° derrière le poêle ) ça donne ça… et il a tendance a se retrouver sur deux patte si on le surveille pas. pas très sécurisant tout ça.

pas sur, qu’il fasse un autre hiver.

pour finir, d’un commun accord avec madame, je finis l’affouage, EDF et d’autres truc plus ou moins urgent et basta pour cette année. non, pas celle ci, pour celle a venir. un genre d’année sabbatique. avec reprise au printemps 2016. je sais bien qu’il faudrait pas s’arrêter mais la, j’en ai plein le… ( la politesse m’interdit d’écrire ce a quoi vous pensez, en lisant ça ).

on y croyait et on en avait vraiment besoin de la canapé attitude mais niet ! toujours un truc a faire, une tuile a prendre sur le museau etc… donc, stop.

j’ai réussi de haute lutte a négocier trois semaines de vacances cet été et cette année, elle sont vraiment réservé a mes ch’tiots, ça fera 8 ans qu’on a pas eu de vacance et par le fait, eux aussi. on va donc aller écumer le jura en long en large et en travers et se retrouver. y a déjà, de quoi faire !

et si reprend un peu le temps de faire souffrir ma guitare ( du moins, les oreilles de mes auditeurs ), mon VTT tape de la patte en attendant que je retourne le faire jouer dans la boue, mon atelier est dans les starting block pour donner naissance a une première guitare ( manouche, classique, ukulélé ? je me tâte… ) et j’ai des morilles a aller ramasser ( vous ai je, déjà causé de la fondu conté morille ? ça se tire la bourre avec le mont d’or patate dans mon petit cœur de gourmand ( si, si… ) mais niveau calorie, y a match nul 🙂 ) donc plein de bonnes choses en perspective.

donc fuck les enduits, fuck le parquet et advienne que pourra !

voila, la suite dans trois mois ? non je déconne ! ou pas.

Charlie…

je n’arrête pas de refaire ce post, ne sachant pas trop comment exprimer le fond de ma pensée.

mais voila, je suis touché. vraiment. touché pour les familles bien sur, mais surtout parce que la bêtise humaine la plus crasse a frappé de la façon la plus basse.

lecteur depuis mes 16 ans, ce journal a fait mon éducation politique, m’a appris a voir les choses autrement, a avoir un sens critique.

finalement, un bon dessin vaut maintes explications.

La canapé attitude ou comment bosser dur pour en profiter et ne plus rien foutre, une fois dedans.

bon, ça y est, on a peu prés fini d’installer les barres de rideau, les étagères, stores etc…

donc comme promis, quelques photos :

le soleil de notre nouvelle galaxie 🙂 ou tel des grosses bouses, on se vautre assez régulièrement. faut rattraper les 7 ans de jours heureux, qu’il a coulé dans notre garage ou il a évité de se prendre régulièrement, des paires de fesses sur le museau.

notez rantanplan, le chat le plus bête du jura qui a enfin compris qu’on avait déménagé. il lui a fallu une bonne semaine pour enfin rentrer dans la maison et arrêter d’attendre comme un neuneu devant l’atelier. je suis dur, certes, mais quand il faut lui courir après dans l’atelier ou il a réussi a se faufiler, sans s’énerver ( … ) et en évitant d’appeler le copain chasseur pour lui mettre un décharge de gros sel dans l’arrière train, juste pour lui apprendre a m’obliger a aller le choper sous l’établi, y a de quoi être énervé. m’enfin, ça y est, c’est rentré dans sa caboche…

eu’l salon encore bien root’s

la cuisine pas du tout intégrée

le coin lecture de Julie. je comptais en faire mon domaine mais c’est cuit, mademoiselle squatte l’endroit et les fenêtres de tir pour aller y poser mes fesses sont très très réduite.

finalement, on a remit le petit poêle a la place de l’insert. mine de rien, ce petit machin envoie du feu de l’enfer. si on ouvre trop l’alim’ en air, il ronfle ( mais vraiment ) et vire au rouge et finalement il est bien plus efficace que l’ancien qui est retourné dans l’atelier.

puisqu’on en parle, niveau chauffage, on a bien sur, pas assez de recul mais pour l’instant, on est très content. si on a cramé beaucoup de bois au départ pour réchauffer les murs qui était humide et bien froid, maintenant, on brûle a peu prés 5 ou 6 bûches dans la matinée pour atteindre les 20 / 21 ° et on laisse crever le feu sans y retoucher avant le lendemain ou on tape dans les 18 ° minimum. on a quand même rajouté dans la salle de bain, un radiateur sèche serviette qui ne tourne qu’en fin de journée a l’heure de la douche. et dans les chambres, on a une moyenne de 19 °, ce qui est suffisant.

pour un volume pareil a chauffer, c’est très efficace. et si le petit poêle suffit, le poêle de masse devra être bien dimensionné sous peine de surchauffe. m’enfin, ça, c’est pas pour tout de suite.

le coin salon et ces deux fauteuils de récup’ ( merci bernard 😉 ) tout moche mais qui sont aussi confortable que moche, et c’est peu de le dire. une belle housse palliera a ce coté vieillot et en fera des fauteuils de compét’

et mon domaine, mon prééécieuuux, alias pas touche, c’est mon mien. l’est pas beau, l’est rouge moche mais qu’est ce qu’il est confortable ! c’est juste le fauteuil idéal pour la sieste. et la lecture des histoires du soir. encore une recup’ de chez m’sieur Bernard et dame Liliane.

la salle de bain de la mort qui tue.

le hall d’entrée avec son cellier bourré a craquer d’outils qui sont en attente de déménagement dans l’atelier. ( pour cette semaine normalement… )

et les chambres des titi

on a posé aujourd’hui les stores de la baie vitrée car ça tape fort. store en bois qui devrait pas faire long feu… ça ne m’a pas l’air très costaud et surtout très fragile… on verra bien.

il a fallu les recouper ( d’où le choix du bois )

vous aurez noté les superbes portes en rideau massif… alors, non, on a pas appelé valerie damidot pour s’occuper de notre déco, on a juste récupéré au max pour que ce soit habitable en attendant de faire le parquet, les enduits de finition etc… dans un an ou deux ( qui a dit trois ? mais non, môsieur sûrement pas quatre ) ça sera bien plus présentable.

au rayon des petits désagréments, vu que je n’ai pas eu le temps de m’occuper du zingage des appuie de fenêtre, on a eu un problème. va falloir que je m’énerve…

bon, avec les fêtes, ça va être calme mais après, je m’occupe du zingage, d’emménager mon atelier puis je vais aussi revoir une chouille ma plomberie. comme le toto me l’a fait remarquer, les adoucisseurs, c’est bien mais boire l’eau passant par la, c’est pas top. je dois bien avouer que je ne me suis pas assez renseigné par faute de temps et j’ai suivi l’avis de mon vendeur… bon… pas bien. heureusement que j’ai un Thomas, toujours a l’affût 😉

donc, j’étais parti pour refaire une bonne partie de ma plomberie mais je pense que je vais plutôt faire une double alimentation sur mon évier de cuisine. je vais me repiquer avant l’adoucisseur et tirer jusqu’à un robinet qui ne servira que pour l’eau de boisson et de cuisson. ça m’évite de complètement modifier mon installation et j’aurais le beurre et l’argent du beurre. une installation protégé et une eau plus clean pour le manger et le boire.

on dit merci qui ? merci totobricolo ! décidément, je t’en dois une, avec tous les conseils que tu m’aura donné.

bon, pour finir, passez tous de bonne fêtes. pour nous, ça devrait être les meilleures du top best of !

ha oui ! In mont d’or patate savagnin, we trust ! ( sinon, papa noël ne passe pas )

Le korben dallas du moulticouche

bon, on est vaguement installé, il reste une pelletée de petite chose a faire mais je prend le temps de rattraper mon retard pour éviter de faire preuve de fainéantise blogatoire sévère.

donc la plomberie pour les nuls ou un gros bisous baveux a l’inventeur du P.E.R multicouche.

c’est quoi donc ? c’est le meilleur des mondes de la plomberie. le cuivre ? cher et réservé au vrai bricoleur, limite plombier pro. les soudures, les découpes, cintrage, tout ça, c’est pas vraiment mon rayon. j’aurais fait beaucoup de choses sur ce chantier mais la, faut savoir avouer ses limites.

alors P.E.R ? mouaip… vaux mieux se péter une guibolle que d’utiliser cette drouille. ça ne se cintre presque pas sinon, ça pince et c’est foutu. certes, c’est pas trop cher en ce qui concerne les tuyaux mais on se fait allumer sur les raccords, donc… en tout cas, a l’époque, très mauvaise expérience pour ma part, dans l’atelier.

et donc, le saint graal du plombier du dimanche. le multicouche. ça ressemble beaucoup au P.E.R classique mais il est multicouche ( vous auriez pas deviné, hein ? ) et ce qui permet de le cintrer les doigts dans le nez, de lui faire faire des virages sans aucun raccord et même si niveau prix, c’est a peu près deux fois plus cher que le classique, ça les vaut 100 fois. rien qu’avec les raccords économisés, c’est vite compensé.

je reviens une fois de plus sur l’intérêt d’aller voir des pros et de laisser tomber les bricocasto. je suis allé chez burdin bossert et le vendeur m’a quasi mâché le travail sur les équipements nécessaire, les raccords, réduction etc… prêté une sertisseuse, ce qui réduit considérablement le prix des raccords et permet d’avoir une qualité de travail digne d’un pro et le tout pour un prix moins cher que bricodepot, réputé au ras des pâquerette, niveau tarifs.

j’ai commencé par mettre en place les support de plomberie en faisant les fonds de tiroir du chantier

l’alimentation principale d’eau froide se fait en tuyau de 26. celui la, il est un peu plus coton a cintrer mais en prenant appuie sur les genoux et en y allant mollo, ça se fait sans problème.

la vanne principale et son robinet de vidange, accessible rapidement, on sait jamais.

puis ça débouche dans le filtre a boue. agad’ la belle courbe de mon moulticouche, tu peux te brosser pour arriver a ça avec du P.E.R classique !

sur les conseils de mon vendeur, on a opté pour un adoucisseur. le jura étant la mère patrie du calcaire, on a préféré investir dans cette bête la, pour préserver l’installation ( pour rappel, trois mitigeur d’évier H.S, par le calcaire en 7 ans d’atelier ). bon, c’est pas donné et ça oblige a un entretien régulier mais bon, on peut pas trop y couper.

la sortie de l’adoucisseur débouche dans une première nourrice qui alimente le cellier ( évier + lave linge ) et le wc du RDC. j’ai préféré mettre des vannes de partout. apparemment, c’est pas forcement obligatoire mais au moins tu peux intervenir rapidement en cas de problème ou isoler chaque circuit individuellement pour bricoler dessus.

puis toujours en 26, ça part dans le local technique alimenter une deuxième nourrice qui dessert le reste de l’installation en eau froide.

l’eau froide est en bas, en attente du branchement sur le chauffe eau qui alimentera la nourrice supérieure. vous noterez le repérage de chaque tuyau. c’est plus simple par la suite.

puis, j’ai dispatché tout le reste de l’installation en tuyau de 16. et celui la, c’est un plaisir a cintrer. faut le faire exprès pour le pincer. avec l’aide de dame Estelle, on a coupé les tuyaux aux différentes longueur et mine de rien, on a passé une couronne de 100 m…

puis mis en place avec les collier adéquate.

et sertissage avec la pince qui va bien.

pour le sertissage, c’est super simple. juste deux choses a respecter : l’ébavurage intérieur avec un  » stylet a ébavurer « 

et il faut juste bien enfoncer le tuyau au fond de la gorge.

pas glop !

glop glop !

puis un coup de sertisseuse. on met en place, on serti et on arrête quand ça claque. alors, c’est qui dédé le plombier ? 🙂

pour ce qui est des raccords  » sans joint « , la ou on met de la filasse et de la pâte a joint, et bien, j’ai utilisé le cousin du multicouche, a savoir le meilleur des mondes 2, le retour 🙂

donc, la filasse et la pâte a joint, perso, j’ai jamais réussi a faire un truc propre. et étanche. c’est ballot, non ? alors, le ruban teflon ? mouais, mieux mais, en fonction du nombre de tour, des fois, ça prend pas et ça pousse le ruban au lieu de rentrer dans le filetage. alors alleluia, bebopeulula, le loclite 55, tu utiliseras !

soit le mélange des deux ! ça se présente sous la forme d’un fil que l’on enroule au tour du filetage et en vissant, il va se « fibrer ». c’est difficile a expliquer mais en le démontant, il est tout filandreux et ressemble a de la fillasse. et le coté fil permet de bien rentrer dans le filetage et donc peu de risque qu’il soit poussé vers l’extérieur comme avec le teflon.

le seul truc a faire, c’est de marquer le filetage avec une pince ou une scie a métaux ( ce qui doit aider a le transformer en filasse ) et de pas se gourer dans le sens de rotation. le nombre de tour par diamètre est indiqué sur l’emballage mais d’une manière générale, en remplissant chaque rainure du filetage, ça le fait.

le marquage

puis l’enroulage en prenant soin de croiser le fil

et yapuka !

donc, pour résumer, si on se plante pas de raccord ( haheum… sifflotement… ) et qu’on respecte ces quelques points, c’est vraiment la plomberie pour les nuls.

pour les tuyaux qui remonte, j’ai fait des supports fixé avec des équerres. simple et efficace.

pour la douche, il se vend des plaques, spécial fait pour, qui possède la bonne entraxe pour poser son mitigeur par la suite.

le seul défaut, c’est que c’est prévu pour des cloisons très fine. avec mes 7 cm de béton cellulaire, j’ai donc du limer l’arrière de ma parois de douche pour pouvoir passer le bouzin. m’enfin, avec du béton cellulaire, c’est pas trop casse pied.

en parlant de douche…

mis a part des découpes bâtarde qui tombe au mauvais endroit, on va dire que ça s’est plutôt bien passé si on oublie un premier essai désastreux ou j’ai commencé a coller mes carreaux avec du joint a carrelage et non pas, de la colle a carrelage. et oui, vous avez le droit de vous foutre de ma gueule, je mérite amplement d’être battu et fouetté en place publique devant un tel niveau de noobisme. ( la cagette de tomate pourrie est rangée a coté du fouet )

bon, après avoir acheté de la vrai colle a carrelage, celle qui colle bien, quoi… ce fut bien plus simple et même si c’est pas parfait, c’est acceptable.

et le lendemain, j’ai fait les joints avec de la colle a carrelage. non, je déconne. quand même… donc avec l’enduit a joint. et c’est fou comme ça va mieux… on dirait même que c’est fait pour, dit donc !

puis pose de la porte de douche et de la barre de douche.

tu vois, fils, c’est comme ça qu’on bosse !

heuuu, je lui parle de la colle a joint ??? bon, non, allez, je vais être sympa…

hô oui, papa, t’as bien bossé, je ferais tout pareil que toi quand je sera grand !

et hop, un papa dans la fouille, c’est le moment de négocier le château playmobil…

je me suis ensuite occupé du chauffe eau. bon, la, par contre, j’ai prévu, un peu juste…

v’la le bébé…

et le bestiau mis en place… rik rak…

ensuite, tu prend un gars souple, svelte, qui aime pas du tout, le mont d’or papate pour raccorder le bouzin et tu te marre un bon coup en le voyant gigoter par terre comme une poiscaille échoué sur la plage pour arriver a passer un bras pour mettre le tuyau et son joint d’une seul main. un vrai plaisir…

et vu que c’était parfaitement accessible et que mon dos ne se rappelait absolument pas a mon bon souvenir, il a fallu que je me goure et que je redémonte tout… muhahahaha !

et oui car notre chauffe eau est un chauffe disposant d’un échangeur permettant d’y brancher un capteur solaire, une pompe a chaleur etc… et donc il est doté de plusieurs entrée et sortie. j’ai le manuel, les entrée et sortie sont clairement désigné sur le schéma mais il a fallu que je me plante. j’ai donc autorisé madame a me travailler le tarin a la clé a molette pour me faire rentrer un peu de bon sens mais surtout une chouille d’attention dans ma caboche toute percé. le pire, c’est qu’en montant le groupe de sécurité, je me suis dit, faut surtout pas que je me plante. abruuuuuti !

m’enfin, une de plus ou de moins…

pour finir, j’ai raccordé la maison a la canalisation extérieur en prenant le temps de refaire le couvercle du regard qui en avait bien besoin.

puis mis en eau. deux petites fuites sur des vannes pas assez serrée mais sinon, nickel.

pour le raccordement électrique du chauffe eau, j’ai encore demandé de l’aide a manu qui est venu me passer en monophasé, mon chauffe eau, pré cablé en triphasé. un grand merci a lui, ça m’aura éviter de faire de nouvelles conneries. j’ai explosé mon forfait.

bon, comme d’hab’, faut pas croire qu’il y ait, que moi qui ai bossé car madame a mit son costume de tornade blanche et a fait le grand nettoyage. dépoussiérage entre les lattes de plancher au compresseur ( d’où le casque anti bruit sur certaine photo car non, tu ne connais pas notre compresseur qui ressemble plus a un brise roche de pelleteuse sous cocaïne qu’a un bête moteur électrique qui tourne ) puis aspirateur et surtout nettoyage de toute la charpente, des traces de terre.

on a aussi reçu notre déshumidificateur et on peut dire qu’il bosse bien. par contre, on a bien fait d’acheter. on était parti sur de la location mais quand on voit depuis combien de temps il tourne et ce qu’il arrive encore a pomper… ça nous aurait coûter bonbon, en location.

en passant, si ça intéresse quelqu’un, il devrait être en vente pour le début de l’année. a bon entendeur…

pour finir, on a eu une invasion d’insecte. mais vraiment… des mouches, moucherons mais surtout moustiques. la ou on en voit pas la queue d’un, en temps normal, on était envahis. les mouches ont du profiter des fenêtres ouverte pour s’incruster et on suppose que les moustique viennent des enduits. avec les baignoires d’enduits qui traînait dehors, ça du être la fête du slip pour les moustiques. les enduits humides, la chaleur, une fois fermé et les larves ont du en profiter… même si je les vois mal sortir des enduit terre…

il a malheureusement fallu qu’on traite a l’insecticide.

un vrai carnage.

avant…

après…

bon, allez, je m’en vais me reposer… mais non, j’decooone ! bin, oui, j’ai un affouage a faire, l’électricité de l’atelier a refaire avant passage du consuel, un atelier a ranger et a mettre en place et chiée de petit truc a finir dans la maison donc, le repos, je vais me le mettre sur l’oreille et je me le fumerais plus tard. comme d’hab’ quoi…

Bon, bin… ayé !

comment ça, ayé ?

bin oui, ma puce, ayé !

teuteuteu, ayé, ayé, faut le dire vite !

non, c’est pas une blague, ayé que j’te dit !

wop pop pop pop, ça fait 7 ans et demi que ça devrait être ayé, alors tes : tu vas voir, en deux ans, trois au pire, ça va être plié ! on me la fait plus ! tu m’a prise pour un lapin de trois semaines ?

mais heuuu, c’est la vérité vraie, croix bois, croix de fer, si je mens, j’adhère au medef !

mouaip ! je demande a voir quand même…

mais agad’ ! vindieu ! canapé, plus de trois pas pour aller du frigo a la gazinière et carrément une bonne dizaine pour partir en expédition vers le vaisselier ! pis, la douche avec plus d’un mètre entre sa sortie et les WC, ça cause quand même, non ?

alors, l’atelier, c’est fini ?

mais oui, que j’te dis !

bon, peut être…

Hé Hô ! les parents ! pas fini, oui ? vous nous cassez les oreilles a Renaud et moi !

quewoa ? comment qu’elle nous cause ? petite effronté ! heuuu, bin… heuuu… ha oui ! attend, écoute bien ma puce, atententend, t’vas voir !

JULIE, FILE DANS TA CHAMBRE ! maintenant que t’en a une !

rhôôô, comment c’est trop bien de pouvoir dire ça !

a moi, a moi !

mais après vous, madame !

RENAUD FILE AUSSI DANS TA CHAMBRE !

rhôôô, ouais t’as raison, ça déchire !

bon, allez viens Renaud, on laisse les gamins faire mumuse…

ha oui, j’oubliais.. elle a pris cher ! 🙂