On a rapidement huilé la fenêtre pour la protéger et éviter qu’elle ne bouge.
On a utilisé de l’huile de lin, car pas trop cher et facilement trouvable.
Sur les conseil de mon formateur, on a passé une première couche dilué a 75 % avec de l’essence de térébenthine, la deuxième pareil mais dilué a 50 % et la dernière pure. Les différentes dilutions permettent de bien imprégner le bois, au plus profond, dans le cœur de la meule, quoi…
Théoriquement, avec ce traitement de choc, elle devrait pas s’abimer.
Ce week end, Estelle a fait fumer la bêche et la binette. Elle a commencé a mettre en forme, le futur jardin d’ornement, dans le seul endroit ou il ne risque pas de passer une pelleteuse ou un camion.
allez quelques photos:
Maintenant, il ne reste plus qu’a planter de zoulis fleurs et autres joyeusetés du même tonneau, qui sentent bon et sont agréable a l’oeil et espérer que ça ne va pas pas servir de casse croute aux limaces.
Ce week end ( en fait, 3 jours ), j’ai fait une formation sur la fabrication de fenêtre double vitrage et triple vitrage. Finalement, la différence est une moulure qui soit, est a l’intérieur des ouvrants pour les doubles vitrages, soit une moulure a recouvrement, pour les triple vitrages. La différence est minime et le principe de construction identique. Au final, c’est « relativement simple » ( tout est relatif… ) et si tu suis bien les étapes, en réfléchissant un tant soit peu ( en fait, beaucoup dans mon cas ), ça va tout seul. La difficulté résidé principalement, a ne pas se planter, au regard du nombre de profil, contre profil, rainurage etc… sur chaque morceaux de bois. Donc, si tu te plante, bin tu recommence tout… Et vas y que je démonte le porte outil, que je lève les tables, que je rabote, que je redémonte, etc… etc… Donc on réfléchit, on réfléchit, voir même qu’on réfléchit encore un peu, pour être sur, avant de commencer a poser le bout de bois sur la table de la bécane. Il faut, bien sur, être précis comme jamais, mais encore une fois, mon formateur m’a donné tout les « trucs » pour éviter de me planter. Si l’idée vous vient de faire pareil, le stage est indispensable. Sans une formation, c’est même pas la peine de tenter le coup, vu le nombre d’étapes et leur ordre a respecter, c’est pas le plan fourni dans le coffret de fer qui va vous aider… On a fait un petit calcul rapide pour nos fenêtres, on devrait économiser a la louche, dans les 7000 €. Valable, non? En plus, ne serait ce qu’en double vitrage, y a pas photo entre la fenêtre qu’on a fait et les fenêtres que j’ai acheté pour l’atelier chez Lapeyre. En gros, la différence entre une twingo et une ferrari. Le bois a été choisi avec amour ( normal, c’est moi qui l’a choisi 🙂 ), sec tout bien, comme il faut, en vrai bois d’arbre du coin ( la foret amazonienne nous remercie ), les ferrures et la quincaillerie ressemblent a quelques choses et non pas a des bitoniaux, de rien du tout, que tu tourne pour les régler et qui sont mort, au bout de trois fois ( je parle d’expérience… ). Enfin, une fenêtre de qualité, quoi… Vraiment, c’est incomparable.
Allez, les photos :
Un ouvrant de fenêtre se cache dans cette photo. Sauras tu le retrouver ?
Une des astuces du formateur, une fois mouluré les différentes formes, on coupe des tranches qui nous permettent de mieux visualiser les sens de passage ou d’assemblages.
Collage du premier ouvrant.
La petite traverse pour régler l’équerrage du bouzin et avoir une fenêtre qui pourrait servir d’équerre, a un écolier lambda ( mais très musclé )
Les deux ouvrant, la gueule de loup ( pièce centrale ) et le début des traverses du bâti
La, opération tees délicate qui consiste a moulurer l’intérieur des ouvrants. Il faut être super stable pour ne pas faire dévier le tout et flinguer son boulot, en moins de temps qu’il n,e faut, pour le dire ( y a qu’a voir la tronche de constipé que je fais, pour évaluer le niveau de concentration intense. Faut pas que j’la foire, faut pas que j’la foire 🙂 ). Et la, on était deux… Alors tout seul, j’ai pas fini de serrer les fesses 🙂
C’est celle la, qui faut pas merder… tu me diras les autres aussi mais celle la, encore plus.
Le collage du bâti.
Réalisation de la goutte d’eau. Ça, c’est une des pièces que j’ai foiré. A la dernière étape, j’ai mal réglé la profondeur d’un outil et je lui ai mangé 2 mn de trop… poubelle… Et vas y, que je recommence toutes les étapes de rabotages, dégauchissage, toupillage pour un morceau de 50 cm de long… Grouummmpffff !!!
Taaddammm !!! Haaa, il est content nono !
La bête, de plus prés.
Au final, bien content de cette formation. Outre le fait d’apprendre a faire la fenêtre, j’ai appris pas mal de petit truc qui permette de se servir de sa toupie plus confortablement et avec plus de securité. Maintenant, un petite pub pour mon formateur. C’est Éric Graffin, connu comme le loup blanc dans le monde des machines a bois. En plus d’être un bon formateur, il se déplace chez les gens pour les former sur leur bécanes. Il se débrouille tout seul, vu qu’il débarque en camping car, de la mort qui tue. donc, que des avantages, on a pas a se déplacer et en plus, il est autonome chez toi. Niveau prix, c’est 150 € / jour de formation, ce qui est plus que raisonnable, surtout pour la commodité que ça t’apporte. Vu qu’il tourne sur toute la France pour ces formations, son coffre de camping car ( car est une vrai caverne d’ali baba ) permet d’acheter des outils qui coutent la peau du fondement, quasiment moitié prix. Bonnard, quoi. Ces coordonnées: Top démo machines a bois 17 rue des rechevres 28000 Chartres tel: 02.37.36.23.45 ou 06.98.94.49.78 ( N’hésitez pas a laisser un message ) Page de pub terminée. Quand je m’y remettrais, je ferais un reportage étapes par tapes pour ceux que ça intéresse, la, j’ai pas eu le temps.
Après quelque chose, comme une bonne quinzaine de versions, nous en sommes arrivées a ces plans. En gros, plus de sobriété, une meilleur étude du rapport cout / efficacité ( et oui, l’argent, toujours l’argent … ). Plus réaliste, en somme. Au regard des anciens plans, on se dit qu’on y était allé un peu fort. On s’était fixer la fameuse limite des 170 m² ( limite a ne pas dépasser pour ne pas être obligé de prendre un architecte ) et finalement, on avait prévu plein de pièces qui ne servirait pas forcement ( on leur aurait bien trouver une utilisation mais bon ) , pièces qui aurait eu un cout a la construction et aussi un niveau des impôts, des factures de chauffage etc… On a donc toujours nos trois chambre, notre cellier et un grand salon cuisine.
Les nouveaux et les anciens plans:
Le rez de chaussé:
L’étage :
Pour faire simple, on a viré la partie garage qui après réflexion n’avait pas grand intérêt ( on a les combles de l’atelier pour stocker du bazar ) et surtout la pièce du dessus, qui en avait encore moins. La serre bioclimatique a malheureusement aussi disparu car notre exposition n’est pas aussi optimale que prévu, elle aurait bien été, plein sud mais en hiver, le soleil ne l’aurait pas assez chatouillé. Donc, au prix que cela nous aurait couté et de l’efficacité quand on en aurait retiré, on a préféré faire une croix dessus. On a donc complétement recentré le poêle de masse qui devient notre principale moyen de chauffage. On va le dimensionner en conséquence. Il aura des formes plus douces et arrondi que ce qu’il y a de dessiné sur le plan ( le logiciel ne sait pas dessiner les courbes ou alors très mal 🙂 ). On a abandonné la forme de poêle de masse escalier car on arrivait pas faire coïncider les deux, au bon endroit. ( position centrale du poêle et arrivée de l’escalier qui nous bouffait, soit une chambre, soit la salle de bain ). Donc, on est revenu au bon vieux escalier en bois d’arbre dans un angle, ce qui devrait pas trop nous gêner. Je vous cache pas que je me faisais du soucis pour la conception de notre poêle de masse escalier, je me disais que j’avais pas finis de me faire fumer les boyaux de la tête. On a mis le cellier sur la face nord pour servir d’espace tampon sans fenêtre et on a toujours notre cuisine ouverte avec le salon dans la même pièce mais quand même différencié par l’angle. La salle de bain est passé a l’étage. Le conduit de fumée passe dedans, ce qui devrait la chauffer en plus, du fait que le poêle de masse sera dessous. La mezzanine n’a pas bougé et se récupère deux grande fenêtres fixe qui devrait nous apporter beaucoup de lumière.
Voila, théoriquement, l’argent économisé d’un coté devrait être réinvesti dans du photovoltaïque. Ce n’est pas aussi bien que le projet prévu mais beaucoup de contrainte nous ont obligé a révisé nos prétentions. Et puis, il est idiot de dépenser des sommes considérables dans des équipements qui ne fonctionnerait pas au top. On aurait gagné a l’euro million, ça serait jouable mais on y joue pas et on a donc pas pu y gagner 🙂
Et c’est pas trop tôt. J’en ai plein le fondement… Vrai de vrai !
Comme Franck disait, dans un des commentaires : Le bois, ça chauffe 5 fois, quand tu le coupe, quand tu le met dans la remorque, quand tu le sors de la remorque et que tu le range, quand tu le recoupe parce que tu t’aperçois que tu l’a fait trop gros ou trop long pour ton poêle et enfin quand tu le brûle… C’est, on ne peut plus vrai. M’enfin, si le poêle de masse brule ces 5 a 8 stéres par an, comme prévu, on en a déjà pour 3 ou 4 ans d’avance. Ça laisse le temps de voir venir. Demain, repos et un peu de plan a dessiner mais sinon repos.
Alors petit, en suède, on dresse les castors pour faire le boulot a notre place pendant qu’on se biture a l’alcool de sapin. C’est un peu plus long mais tellement moins fatiguant 🙂
Bon, vu que j’ai pas grand chose a raconter en ce moment, je m’en va vous faire un cour de bucheronnage appliqué. Des fois que ça intéresse quelqu’un, un jardinier qui a un arbre, a abattre, un militant des casseurs de pub avec un panneau de pub géant qui pourrit le paysage ( faut juste préférer la meuleuse mais la technique doit être la même, grossomodo )
Alors, tout d’abord choisir un arbre pour sa beauté majestueuse, son orientation, sa prestance incomparable dans la foret et surtout parce que le garde forestier, il a dit que c’était celui la qu’il fallait couper et pas un autre.
Bon, la technique, en gros, c’est de réaliser une encoche de direction qui va donner ( si tout va bien ) la direction ou que l’arbre, il va se vautrer. Elle doit être d’environ un tiers du diametre de l’arbre. Après, il suffit de passer de l’autre coté et de réaliser un trait de scie légèrement au dessus ( 2, 3 cm ). Comme ça:
Après, on positionne le coin ( pour les petit diamètres, normalement, ça tombe tout seul, pas besoin de coin ), et on l’enfonce a la masse. Le coin doit être en plastique pour pouvoir remettre un coup de tronçonneuse sans risque de flinguer le super affutage sur lequel t’as passé une bonne heure. Si la chaine bouffe le plastique, c’est moins grave, n’est t’il point ?
Quand tout va bien, le coin fait pencher l’arbre du coté qui va tomber et c’est bonnard. Sauf que l’a, pour l’exemple, j’ai choisi un arbre casse c… et que le coin en plastique enfoncé jusqu’au bout, il bronchait pas le fourbe. En fait, il était emmêlé au niveau des branches sur la cime avec ces voisins, qui part solidarité, le retenaient. En plus, le tronc était légèrement courbé dans le sens du coin, donc opposé au sens théorique de la chute. Bin, alors pourquoi, que tu l’as pas fait tomber de ce coté la, bougre d’imbécile ? Et bien car je doute fort que le garde forestier apprécie que je fasse tomber un gros hêtre comme celui ci, sur la foret de sapin, si cher a son cœur ( en plus, c’était le coté opposé a la route, donc encore de grosses buches, très lourdes a transporter avé mes petit bras musclé jusqu’à la remorque ).
Donc, expliquons a ce résidu de fibre végétale qui c’est le boss. Étant beaucoup plus épais, le coin en ferraille a réglé le contentieux.
Les premières fissures augure du meilleur
La, ça sent le sapin 🙂 ( oui, je sais, elle était facile… ) Il a fallu quand même l’enfoncer a la grosse masse de 3 kg…
Et sspllaaffff !!! Comme une grosse bouse, qu’il est tombé ! MMoouuhahahhahha ( rire dément ). Alors, c’est qui la terreur des forets, non mais !
Ceux la, de sapins, ils ont eu chaud aux miches mais c’était calculé, qu’est c’vous croyez !
Eu’l bébé par terre !
Bin, y a plus qu’a ramasser ce bazar maintenant…
Allez, encore un week end de boulot et ça en sera finie du massacre a la tronçonneuse. Car il est vrai que ça commence a me sortir par les trous de nez…
Ce week end, belote et rebelote, affouage, tronçonneuse, ébranchage, tout ça, tout ça. Une bonne transpirée et les épaules en vrac. Le hêtre, je le préfère en chaise qu’en buche, c’est moins lourd. Pfiou, le salopiot… Les plus grosse buche, ( la base de l’arbre ) je suis obligé de le fendre sur place pour pouvoir le remonter. Et ça aussi, ça consomme de la calorie. En photo, ça donne ça:
On commence par une entaille a la tronçonneuse pour faciliter l’enfoncement du coin. Ca guide aussi, l’éclatement du bois.
On tape comme un sourd dessus… Les premières fissures apparaissent.
Quand on commence a entendre des craquements, c’est qu’on tient le bon bout…
La, on peut pas aller plus loin avec le coin. Donc, a moins de me taper sur le doigt afin que ça m’énerve vachement beaucoup, que je commence a devenir tout vert et que mes muscles gonflent en déchirant ma chemise et tout ça, pour finir d’ouvrir la buche, ( Vous conviendrez que ça finit par couter cher en chemise tout ça 🙂 ) Il suffit de…
…coucher la buche et d’y maraver la tronche a coup de merlin, recto et verso.
Bin, voila, c’était pas compliqué… Y a plus qu’a recommencer avec les deux partie obtenues pour en faire quatre et donc diviser aussi le poids par quatre. Même comme ça, elle pèse toujours une vache morte mais c’est transportable ( tout dépens, si c’est le début de la journée ou la fin 🙂 )
C’est pas tout ça, de couper du bois mais faut il, encore le sortir du bois et surtout le ramener a la maison. La remorque avec des vrais bout de caravane dedans, y contribue donc grandement.
On a fait simple, en plateau avec des demi chevrons pour « cercler » le tour. J’avais pensé a rajouter des ridelles mais j’ai point le temps de m’occuper d’idée aussi saugrenue. Les demi chevrons évitent, a ce qui est posé dessus de se faire la malle et quelques sangles viennent compromettre définitivement les envies de ballades de ce qui est posé dessus.
V’la la bête !
Faut pas la charger plus, sinon ça frotte mes magnifiques garde boue. Vous ai je montré mes magnifiques garde boue aérodynamique, étudié en tunnel de soufflerie dans les usines de la NASA ? non ? Alors admirez !
Seyant, n’est t’il point ? Et oui, en effet, votre vue ne vous fait pas défaut, c’est bien des vrai demi cuve de brouette ( haermerlin, made in France, oui, je sais, on ne se refuse rien ) en taule galva de premier choix. Des heures de travail, de conception 3d sur des ordinateurs surpuissant, pour finir garde boue sauvage sur une remorque, qui ne l’est pas moins, c’est t’y point désolant, ma bonne dame… M’en fout, ils faisaient pil poil la taille adéquate et ne m’a couté que les rivet pour les poser ( la cuve était un surplus et de toute façon, bien fatiguée, ça n’aime les gros caillou, la tôle fine comme ça )
Cout total de l’opération, 80€ de contreplaqué. Elle est pas belle la vie ?
Hein, que vous vous posez la question ? Bin, nous, on connaissait pas le terme donc y a pas de raison qu’on soit les seuls. Alors, l’affouage, c’est un deal entre l’ ONF et les habitants des petits villages comme le notre. Ils nous désignent des arbres a abattre pour qu’on puissent les transformer en bois de chauffage pour une somme dérisoire ( environ 3 € le stère ) mais un gros boulot quand même, et pour eux, ça leur permet d’avoir une armée de « travailleur forestier » qui entretiennent la foret, coupe les arbres gênant, pas beau, pas droit, difficilement exploitable en scierie, dégage ceux qui font de l’ombre au p’tiot qui pousse et qui ont une plus grande valeur commerciale etc… En gros, tout le monde est gagnant. Bon, c’est quand même un gros boulot et l’investissement en matos ( tronçonneuse, merlin, coin, protection etc… ) n’est pas négligeable mais quasiment remboursé en une saison d’affouage. Je me faisais un peu de soucis, n’ayant jamais coupé d’arbre mais finalement après diverse recherche sur le net et une foule de schéma d’explication absorbé, c’est finalement pas trop dur. Faut juste réfléchir et faire très attention ( les godasses et le futale anti coupure sont aussi la, pour me rassurer, c’est que c’est joueur, une tronçonneuse ! Et ça coupe bien aussi et pas que le bois ). Allez une ch’tiote photo.
Admirez le professionnalisme ! Heeeuuu, bon, il est vrai qu’il est juste tomber du coté opposé a la direction prévue 🙂 mais heeuuu, y avait du vent, de la neige et puis c’est fourbe des gros arbre comme ça. Et puis le principal, c’est que je me le sois pas pris sur la tronche et qu’il soit par terre. Mission accomplie ! Bon, il me reste une tapée de ses copains a faire tomber pour arriver au 20 stères prévue. Pas finie de transpirer moué.
J’ai fait un premier calcul rapide de ce qu’on a déjà dépensé et… paf ! J’avais estimé le coup de l’atelier a environ 15 000 €, sans l’achat des outils et on est a plutôt dans les 20 000 € Au total, on a dépensé 32 400 € avec l’achat des outils et diverse babioles. En détail : Location engins : 568 Gravier, sable + béton : 2137 Matériaux naturel : 1457 Bois charpente, parquet : 2555 Paille : 1019 Machine a bois et accessoire : 4137 Divers : 2549 Veolia raccordement eau : 656 Matériaux ( gros, demi gros ) : 11105 Magasin bricolage ( clou, vis, outils etc… ): 6224
Donc, la facture est un poil plus salée que prévue mais dans ce calcul, il y a vraiment tout. De la machine a bois, en passant par la serre, l’échafaudage etc… On devrait revendre pas mal de choses par la suite mais il est vrai que le budget outil est quand même conséquent.
Bon, pour la maison, on a plus que des matériaux a acheter mais je crois que le solaire photovoltaïque qui était prévu en fonction du budget, va devoir attendre un peu.
Cette semaine, je me penche sur l’estimation de la maison pour lancer les premiers devis. En fonction de ce qui restera, on étudiera le photovoltaïque. Mais au prix que ça coute, j’y crois pas trop…