Problème de plomberie…

L’hiver étant propice a prendre des kilos, a coup de tartiflette et de raclette, agrémenté de charcuterie diététique, ma plomberie a décidé de me faire faire, un peu de sport…

Donc, la semaine dernière, en début d’après midi, grosse chute de pression au robinet.

Estelle téléphone a Veolia, pour savoir s’il y avait des travaux et non, rien de prévu… Mais il nous envoie un technicien, quand même.

Le gars passe vers 18 h, en même temps que je rentre du boulot. Il ouvre le regard d’arrivée qui s’est transformé en piscine.

Bon, bin, y a comme une fuite ! Après divers test, on s’aperçoit que c’est le tuyau ou était branché les tuyaux d’arrosage qui s’est déboité. Bon, bin, voila, on a trouvé la fuite. C’est deja pas mal, ça aurait pu être un tuyau explosé avec obligation de creuser jusqu’à le trouver. Donc, on s’en sort pas trop mal… mais ça a fuité au taquet pendant toute l’après midi… belle facture en perspective…

Le lendemain, Estelle creuse donc pour que je puisse réparer la fuite en rentrant du boulot.

Jusqu’à trouver le coupable…

Je répare la fuite en m’explosant le dos car le trou est petit, la réparation a faire, en bas et le bonhomme pas vraiment fluet 🙂 Et ça tient… 1 jour…

Le matin suivant, j’ouvre et a nouveau, baisse de pression au robinet.. Et merd… Je vais voir avant de partir au boulot et re-piscine. Rognutudgu !!! Ça a du se re déboiter dans la nuit. Et, allez, une facture encore plus épaisse…

Bon, la, ça m’a cagué, alors exit le regard de 20, qui ne sert finalement a rien, a part constater la fuite mais qui ne te laisse aucune possibilité d’intervention. Samedi matin, j’ai donc creusé un vrai regard de 1.20 m x 1.20 m. dont 20 cm de terre bien gelé qu’il a fallu débiter a la pioche. Une fois passé, cette couche de glace, bonnard, la terre étant gorgé de flotte, ça a facilité l’histoire. Mais alors, les 20 premiers centimètres… L’enfoiré… La terre gelé, c’est costaud ! Vrai de vrai !

Je le maçonnerais a coup de parpaing des que les températures le permettront. Comme ça, si çà veut a nouveau jouer a la pataugeoire, je peux intervenir de suite. Non mais !

Le regard fini, l’ouvrier en vrac.

Vous le saurez, le parpaing agresse le fondement quand on s’assoit dessus. je déconseille 🙂

Les nouveaux raccords, avé robinet de purge pour le tuyau d’arrosage. Purge qui permet de vider le tuyau, donc d’éviter de geler et d’exploser le tuyau.

Et le résultat.

Et un vieux matelas mousse comme isolation, le temps que je maçonne tout ça et lui fasse un beau couvercle isolé

Allez, je retourne a ma tartiflette de régime 🙂

Les premiers plans de charpentes

Tout d’abord, meilleurs vœux a tous !

Même si on en rame pas une ( bande de fainéant ! ), ça m’empêche pas de me faire péter le citron sur les plans de charpentes. Je dessine, vérifie, re- vérifie , re-re- vérifie , me demande, si j’ai rien oublié, re-re-re-re vérifie etc… Tout ça, pour n’avoir qu’a tracer et couper au moment stratégique de la découpe de l’ossature, sans avoir le doute de m’être gouré ou d’avoir oublié quelque chose. Bon, je doute pas un instant que malgré toutes ces précautions, je vais bien me planter quelque part ou oublier un ch’tio détail bien casse roubignoles mais on va quand même essayer de limiter la casse. Hein ?… c’est une bonne idée, non ?

Alors, voila la première ferme qui sera reproduite en 4 exemplaire. J’en ai une autre quasiment identique a réaliser mais avec 66 cm de large en plus. Celle du milieu, a l’angle de la maison. C’est pas grand chose, 66 cm mais je suis bon pour refaire les plans de cette ferme du début a la fin… m’enfin… on fera avec…

Avec les cotations intérieurs

Toujours, la même, mais avec tous les noms des pièces, version jargon du métier, a la con qui va falloir connaitre par coeur 🙂 .

Et pourquoi que tu nous montre tout ça ? Bin, pour vous vendre mon logiciel gratos du moment, QCAD ( dans les liens a droite ) .

Pour faire ses plans de charpentes, y a pas mieux. C’est un peu long quand on débute, il faut être soigneux dans ces réalisations mais quand on l’a bien en main, c’est un vrai bonheur a utiliser. Le système de calque permettant de découper entierement sa charpente, morceaux par morceaux, de les coter, d’imprimer juste le morceaux qui vous intéresse ou la totalité etc. Enfin, une fois votre plan tracé correctement, vous en faites ce que vous voulez. Quelques exemples du découpage, morceaux par morceaux. Ca vient toujours du même plan.

Et tout ça, sans débourser un centime. C’est pas beau ça ? On dit merci qui ? Merci les logiciels libres ! Vous les avez toujours pas essayés ? Rahlala, faut tout vous dire… la, a droite, dans les liens, Linux et les logiciels libres. Si, si, allez jeter un coup d’œil ! Vous le regrettez pas!

Enfin, voila, l’essayer, c’est l’adopter. Allez hop, au boulot !

Estelle et patrice, passeur de pommade professionnel quand ça le mérite 🙂

Les re-re-nouveau-nouveau plan version 547.0

Thomas, ( liens a droite ) me faisait remarquer ( a juste titre ) que j’avais oublié un paramètre, quelque peu négligeable mais quand même assez contraignant, a la longue.

Bin, oui, les dimensions de l’escalier, je t’avais fait ça, a la va comme j’te pousse, sans réfléchir ( non !?! toi ? ) un tant soit peu et si eu’l gars thomas réfléchissait pas a ma place, on se serait retrouvé avec un magnifique escalier pour personne a déficience de croissance chronique… pour nain, quoi 🙂 . Alors, il est vrai qu’on est pas des grandes targettes dans la famille mais ça risquait d’être, a la longue, irritant pour les genoux de monter a quatre pattes 🙂

Alors, voila, c’est rectifié.

On a raboté un bout de salle de bain et pris les dimensions standard d’un escalier quart tournant haut, pour avoir des cotes précise et revoir la trémie adequate qui évitera qu’on s’éclate la tronche a chaque fois qu’on montera ou descendra de l’étage. Ça bouge finalement pas des masses. Juste quelques rectifications de bon sens que j’avais oublié. On se retrouve aussi avec un méga dressing placard terrain de foot dans notre chambre mais bon, des placards, on en a jamais assez.

plan-maison-etage.jpg

Enfin, voila, n’hésitez pas a me mettre le nez dans mes âneries, une fois de plus.

Et encore merci a Thomas pour le coup d’œil 😉

Des nouvelles, les re-re-nouveau-nouveau plan et une nouvelle tuile…

Nous re v’la !

On cause pas beaucoup en ce moment mais c’est parce qu’on se repose, ce qui est déjà tout un programme.

On ne sait pas si c’est le contrecoup du travail non stop et l’accumulation de fatigue mais on est comme deux grosses bouses :-). La grosse flemme et un coup de barre quasi automatique en fin de soirée. On a du mal a bouger et l’hiver aidant, on glande, on flemmarde, on pantoufle, on se coince la bulle etc… etc….

Bon, sinon, notre mur extérieur a remarqué un certain laissé aller, quand a la fréquence de nos travaux et il a donc décidé de remédier a cet état de déchéance avancé en s’écroulant en partie… sympa, de penser a nous… l’enfoiré…

V’la le désastre…

C’est vrai qu’il faisait déjà méchamment le ventre depuis un moment mais la, il s’est laissé aller, le fourbe ! A ce rythme la, entre ça et les abrutis qui ratent leur virage pour nous flinguer notre portillon, va pas rester grand chose du mur avant la fin du chantier.

Donc, va falloir remonter tout ça, avant que la seconde partie ne tombe. ça va être un grand moment… Vu qu’a l’intérieur, c’est essentiellement du sable.

Je me demande bien comment, je vais remonter le tout. S’il y a des connaisseurs, je suis preneur de toutes infos ou techniques.

Et pour finir, les nouveaux plans… Et oui, encore… Mais heeuuu, c’est pas de notre faute cette fois ci !

Bin, oui, faire les plans sur un logiciel fait pour des maisons en parpaing diffère légèrement des maisons a ossature bois. Et c’est seulement quand j’ai attaqué les plans techniques de la dite, charpente, que je me suis aperçu, d’un tout petit détail, insignifiant de prime abord mais qui a sont importance quand a la futur réalisation de notre maison. Pour faire simple, une fenêtre devant un poteau d’ossature, ça le fait pas trop. Autant pour ouvrir la fenêtre qu’au niveau de l’esthétique 🙂

Et selon la théorie de l’effet papillon, ce petit détail nous a amené a modifer pas mal de chose.

Résumons. La fenêtre du RDC coté sud ouest avait été placé au milieu du mur, dans un souci d’harmonie mais pas de chance, j’ai un poteau d’ossature en plein dedans… sur le logiciel, ça ne posait pas de problème, vu que sur un mur en parpaing, la fenêtre, tu la mets ou tu veux. En ossature bois, faut respecter un minimum de critère.

Bon, c’est pas bien grave, on va la déplacer cette fenêtre. Oui, mais du coup, notre escalier ne passe plus, a moins de le mettre aussi devant la fenêtre. ha… pas glop…  Soit ! On va déplacer l’escalier. Seul endroit de dispo, contre le mur capteur. Mais bon, déjà, que l’ensoleillement ne va pas être fabuleux, avec l’escalier devant, le mur capteur va plus servir a grand chose… heeuu, re-pas glop…

Pour finir, on a modifié le hall, le cellier, notre chambre, la salle de bain, tout ça, pour une petite erreur de positionnement de fenêtre. On y est pas en plein dedans, l’effet papillon ?

V’la, le résultat:

Mr erreur 404, dieu des pages internet qui plantent, m’informe que malgré des recherches poussées, ces fichiers se sont perdus irrémédiablement dans les tréfonds du cyberespace de l’internet 2.0. Avec mes excuses.

J’ai fait une nouvelle rubrique sur la droite, en haut ou je vais mettre tous les plans technique que je suis en train de dessiner.

Bon, bin, voila, a venir, le conduit de cheminée et toujours mon deuxième volet.

Fin des enduits, madame a eu le dernier mot !

Ça y est, on a rangé les truelles, malaxeur, seau, gant etc… et c’est pas trop tôt. on a juste mis un an, pour finir 🙂 Bin, oui, on a quand même commencé l’année dernière, a la même époque. Qu’est ce vous voulez, on est des lents 🙂

En attendant, vu que je joue actuellement a dédé l’bucheron, c’est Estelle qui s’est cogné la fin des enduits. Je l’ai lâchement abandonné pour transformer mes épaules et bras, en une grosse courbature 🙂 .

Au final, on est satisfait du résultat, mais un peu déçu de la couleur. On repassera surement une couche au printemps, la, ça fait vraiment clair. Mais bon, ça le fait quand même. Et puis, c’est vraiment la fin de l’atelier ( enfin, presque, j’ai toujours un volet a poser ) et maintenant, des que j’ai fini l’affouage, ça sera vraiment repos, jusqu’au printemps.

Et le résultat en photo.

Madame en pleine action. Va falloir penser a nettoyer la vitre…

Allez avec moi OOOooOOoo !!! AAAaaaAAAaaaAAAaa !!!

On voit encore les liteaux et c’est un des détails qui nous chagrine le plus. Mais ce qui est fait est fait, tant pis pour nous, on avait qu’a réfléchir avant d’agir…

Presque fin des enduits…

Allez, plus qu’un coté, a torcher et on en aura fini des enduits.

C’est Estelle qui va s’y coller demain car moi j’attaque l’affouage que je dois finir avant la fin de l’année soit un délai avec 3 mois de moins, que l’année dernière… Va pas falloir faire se la couler douce.

Sinon, au rayon des conneries que si je m’étais abstenu, je m’en serais porté achement mieux, j’ai eu l’idée lumineuse de repasser une couche de badigeon tant que l’échafaudage était monté.

Bin, oui mais non, fallait pas… Car j’ai quasiment enlevé la couche précédente… Les bonnes grosses baboules, quoi…

C’est parfaitement visible sur cette photo. on avait passé le badigeon, sur les deux coté et une fois que j’ai fait le pignon, la semaine suivante, j’ai repassé une couche sur les deux cotés, et le résultat…

Mieux que pire, la face arrière ( heureusement que c’est l’arrière… )

Sinon, quand j’ai pas d’idée aussi lumineuse que foireuse, ça donne un bon résultat.

Maintenant, on y touche plus et on repassera une couche, au printemps.

Un peu de couleur sur ces enduits, que diable !

Ça y est, ça sent la fin. Enfin… Pas trop tôt… On a failli attendre…

J’ai réussi a finir la façade arrière pendant qu’Estelle s’occupait, de celle de devant.

Au menu, couche de finition et badigeon dans la foulée pour qu’il soit « a fresco ». C’est mieux, a ce qu’il parait. Ça permet une meilleur carbonatation ( processus interne a la chaux qui permet son séchage et sa tenue mais ne me demandez surtout pas comment ça marche. Ça carbonate. Point barre 🙂 )

Cette fois ci, les enduits sont fait sur la base de la même recette que la semaine dernière mais nuance, le sable est tamisé. Ce qui permet d’obtenir un enduit beaucoup plus fin et moins brut de décoffrage.

On le pose toujours a la main ou a la truelle selon la convenance de chacun, en le « tirant » au maximum et cela autant pour économiser la chaux que pour éviter les fissures. Puis après, on le lisse avec une taloche éponge mouillé. Ce qui gomme toutes les aspérités et les coups de truelle. Ça permet d’obtenir une belle surface bien lisse.

Puis le badigeon. La recette ? Bon d’accord.

Le mieux, c’est d’acheter de la chaux en pâte. Ça, c’est le mieux. Mais c’est pas le moins cher. Sinon, vous prenez un sac de chaux aérienne que vous mélangez avec de l’eau et uniquement de l’eau et vous touillez jusqu’à obtenir de la crème mont blanc ( oui, je fais une fixation 🙂 ). Vous recouvrez d’eau (une dizaine de centimètre ) et vous laissez reposer autant de temps que vous voulez. Plus vous laissez reposer, mieux c’est. Il faut juste veiller a ce que la chaux soit toujours recouverte d’eau ( la chaux aérienne fait sa prise avec de l’air donc pas d’air, pas de prise. Logique, non? ).

Mais revenons a nos moutons. De la chaux en pâte ou de la chaux préparé a l’avance grâce a la recette susmentionné ( Comment j’cause bien 🙂 ).

Pour 20 kg de patte, on rajoute 40 litres d’eau. Ça peut paraitre beaucoup mais c’est bien les proportions. Avec ça, on peut théoriquement couvrir 80 a 100 m² en 3 couches.

Après, il n’y a qu’a rajouter les pigments, si besoin est. Le tout, s’applique a la brosse plastique.

Surtout ne pas oublier de faire participer les p’tiots, ils adorent ça. Gaffe quand même avec la chaux…

Si on veut un surface uniforme, on lisse toujours dans le même sens et si on préfère une version plus bordélique, on zigzag, tournoie, virevolte avec la brosse. Nous, on préfère la version bordélique et en plus, c’est moins casse pied a réaliser.

Et la fin de la journée, quasiment en nocturne.

Le travail de madame.

La couleur devrait s’éclaircir ( un des défaut de la chaux ). On espère que ça va pas erre trop clair. Sinon, on repassera une couche de plus.

Voila, le week end prochain, on torche le deuxième pignon, histoire de ranger l’échafaudage. On commence a en avoir marre de le voir, celui la…

La cavalerie est arrivée, les enduits ont donc pris une bonne gifle !

Samedi, Isabelle, Nicolas ainsi qu’Angela, dans la catégorie des moins d’un mètre, sont venus nous filer un coup de main.

Et c’est fou ce que ça avance plus vite a quatre. j’ai même cru manquer de chaux tellement ça a dépoté !

Résultat des courses, il ne reste plus que le haut du mur coté route. Ce qui devrait être torché samedi prochain et nous permettra d’attaquer la couche finale, qui se fait sérieusement désirer… pas qu’on en ait marre mais presque 🙂

Isabelle, technique a la truelle :

Et Nicolas, version projeté, écrasé.

Pour le malaxeur, c’est achement mieux d’être deux. Les petits au malaxage et les grands au pelletage avec inversion des rôles a intervalles régulier. Nos dos nous disent merci !

On nourrit tellement bien nos ouvriers de passage qu’ils se mettent a porter les brouettes, en épaulé jeté que scharzennegger y ferait pas mieux 🙂

Voila, une bonne journée fatigante mais sympa. C’est toujours plus agréable de se taper du boulot pas drôle, en bonne compagnie, le temps passe plus vite. Et le travail aussi.

Encore merci a Isabelle et Nicolas pour ce coup de main qui tombait a pic.

PS: Dimanche soir, on entend les chats se fritter dehors. On jette un coup d’œil et surprise, il ne se battait pas ! Il était juste comme deux rond de flan devant un squatteur piquant. Et oui, les hérissons apprécient les croquettes a chats mais les chats, eux, apprécient moyennement de se faire chourer leur gamelles 🙂 L’autre tranquille, se la ramène, se roule en boule dés qu’un chat tente le coup de patte et une fois qu’il a en a marre de se piquer les coussinets, le hérisson repart tranquille en direction de la gamelle 🙂 . A mon avis, on va le voir souvent celui la…

A leurs places, je l’aurais mauvaise 🙂

les diagrammes solaires

J’ai enfin pris le temps de tracer les diagrammes solaires qui vont nous permettre d’estimer l’ensoleillement de notre serre et capteur solaire.

Ça donne ça :

dessolé, j’ai pas retrouvé l’originale, pleine résolution

J’ai dessiné les arbres, avec feuillage estivale, mais il y aura du soleil qui passera tout de même quand il n’y aura plus de feuille. C’était plus simple que de dessiner toutes les branches. Les « poteaux » dessinés sur la ligne d’horizon sont une rangée de peuplier et autres arbres a tronc haut mais fin et feuille caduque.

Résultat des courses: mieux que je pensais.

On voit qu’au pied de la serre, la ou nous n’avons pas besoin de soleil, on ne perdra deja pas trop de rayonnement. Seul la periode entre novembre et janvier sera pas top mais de tout façon, les rayons n’aurait pas suffi a chauffer le tout donc pas de regret. Le poêle de masse rentrera en action.

Par contre, pour les intersaisons, on s’aperçoit qu’on aura juste ce qu’il faut de soleil, tout au long de l’hiver, pour taper dans la dalle et le mur capteur. Donc, la serre devrait remplir sont office et c’est tout ce qu’on lui demande.

Pour les capteurs, la, pas de soucis, ils devraient être ensoleillé toute l’année.

Voila, ça reste bien sur, de l’estimation. Je suis en train de bricoler un tableau représentant les différents point de passage du soleil qui nous intéresse, par tranche de 15 jours et on va essayer de penser a faire ce relevé régulier tout au long de l’hiver, pour voir réellement si nos calculs sont bon. Résultat en mai, de l’année prochaine.

Tous ces calculs ne sont pas indispensables mais pour nous, avec un plein sud pas super optimal, on préfère vérifier le bien fondé de l’intérêt de la serre. ça serait dommage de construire une serre qui ne serait pas correctement ensoleillé. Ca serait ballot, non?