Un vrai week end de détente.

Ce week end, nous nous sommes offert le luxe de monter voir, des copains en Bretagne.
Beaucoup de kilomètre mais pinaise, ça fait du bien de complétement zapper le chantier.
On a participé a une rencontre de luthier amateur que l’ont fait ( presque ) tous les ans.
C’est tous les participants ou presque d’un forum de lutherie ( https://www.forum-lutherie.org/template.php?pid=main.php ) qui se réunissent en amenant leurs instrus.
Ca joue de la musique de partout, ça rigole, ça picole ( dans les limites de l’acceptable, bien sur 😉 ). Enfin, une vrai fête.

Quelques photos:

On peut voir des œuvres d’arts:

Ça, c’est Christophe Grellier. luthier aussi pro que sympa. Son site? Mais bien sur ! http://grellier.fr/fr/ ou direct dans les liens a droite.

Y a pas idée de fabriquer des beautés pareilles

Ça pique les yeux, n’est t’il point ?

M’en fout, moi, j’ai pu en jouer et mes splong shplong habituel se sont transformé en solo de pat metheny ou bireli Lagrene.

Une autre? Ça, c’est notre hôte qui la commit. Son site ? a droite dans les liens ou https://www.cherubin-luthier.fr/

Une autre en cours, qui va déchirer sa môman…

Le maitre au travail…

Encore ? bon d’accord. une basse de l’ami Wolfgang ! Son site ? comme d’hab’ : https://guitar-hospital.com/

En pleine action avec son pôpa 🙂

Dans un autre style mais encore plus fou au niveau de la réalisation… Ze machin a plein de corde ou archiluth, si je me rappelle bien, de Jean Paul ! Oyé Oyé damoiselle et damoiseau, le ménestrel va entrer en scène !

Bon, ça, c’est le coté classe de la lutherie.
Maintenant, passons du coté obscur de la lutherie.

Ceci est une guitare. Oouuuiii Mmôôôôsiiieur. Il est vrai qu’au premier abord, cela peut prêter a confusion mais après analyse poussé, nous pouvons affirmer que ceci est bien une guitare… Heeuu, enfin presque… Bon, allez, ça a un manche, des cordes et puis… c’est l’intention qui compte 🙂

Et ça, bien sur, une contrebasse !!! Bin, voyons, ça crève les yeux !
Le pire, c’est qu’elle sonne terrible. Un vrai son de contrebasse, c’en est a faire faire une dépression, a un luthier quatuor 🙂
On a trouvé le nouveau maitre és lutherie sauvage. Prosternons nous, devant son génie créatif mais très très bizarre 🙂

Voila, un vrai week end de détente qui nous a regonflé et va nous permettre de rattaquer dans la joie et la bonne humeur.

Un chemin d’accès jusqu’à l’atelier

Estelle a aussi profité du beau temps, pour creuser une allée du portillon, a l’atelier.
Un gros boulot, tout a la main. Alors on applaudit ! clap, clap, clap 🙂
Elle a creusée, pelletée, tassée, ratissée pour nous faire une zouli allée, avé des vrai bout de pierre dedans.
Y a juste qu’elle est tombé en panne de pierre donc, elle finira un peu plus tard quand le stock se sera reconstitué avec les fondations de la maison.

Alors, elle est pas belle, cette allée pas finite ?

Un peu d’électricité

Ce week end, une bonne grosse flemme m’a obligé a ne faire, qu’un peu d’électricité.
Le minimum syndical, soit une partie des prises électriques, histoire qu’on vire le tas de rallonge qui n’était pas vraiment top, question securité et surtout, ça faisait un tantinet bordélique 🙂
Pour tout ce qui est des prises et interrupteur et n’ayant pas eu le temps de réfléchir ou ils atterriraient avant de faire les enduits, on a décidé de les mettre en applique sur les poteaux.
J’ai donc réalisé les moulures dans laquelle, l’interrupteur vient se ficher et le tout, fixer aux poteaux avec des vis.
Nous, on aime bien et ça m’a pas mal simplifié la tache.

V’la le résultat:

Par contre, quelle galère a passer les fils ( surtout en 2.5 ², pas obligatoire mais quand même nécessaire pour la future utilisation en atelier, avec de possibles grosses machines, branchées dessus ).
C’est tout un art de faire rentrer autant de fils dans si peu de place…

Qui a dit qu’une truie, n’y retrouverais pas, ces petits ?

Mais bon, j’y suis arrivé et le plus dur reste a venir avec les interrupteurs et ses va et vient.
Un vrai moment de bonheur en perspective.

Huilage de la fenêtre

On a rapidement huilé la fenêtre pour la protéger et éviter qu’elle ne bouge.

On a utilisé de l’huile de lin, car pas trop cher et facilement trouvable.

Sur les conseil de mon formateur, on a passé une première couche dilué a 75 % avec de l’essence de térébenthine, la deuxième pareil mais dilué a 50 % et la dernière pure. Les différentes dilutions permettent de bien imprégner le bois, au plus profond, dans le cœur de la meule, quoi…

Théoriquement, avec ce traitement de choc, elle devrait pas s’abimer.

Première ébauche du jardin

Ce week end, Estelle a fait fumer la bêche et la binette.
Elle a commencé a mettre en forme, le futur jardin d’ornement, dans le seul endroit ou il ne risque pas de passer une pelleteuse ou un camion.

allez quelques photos:

Maintenant, il ne reste plus qu’a planter de zoulis fleurs et autres joyeusetés du même tonneau, qui sentent bon et sont agréable a l’oeil et espérer que ça ne va pas pas servir de casse croute aux limaces.

Stage a domicile sur la fabrication de fenêtre triple vitrage

Ce week end ( en fait, 3 jours ), j’ai fait une formation sur la fabrication de fenêtre double vitrage et triple vitrage.
Finalement, la différence est une moulure qui soit, est a l’intérieur des ouvrants pour les doubles vitrages, soit une moulure a recouvrement, pour les triple vitrages.
La différence est minime et le principe de construction identique.
Au final, c’est « relativement simple » ( tout est relatif… ) et si tu suis bien les étapes, en réfléchissant un tant soit peu ( en fait, beaucoup dans mon cas ), ça va tout seul.
La difficulté résidé principalement, a ne pas se planter, au regard du nombre de profil, contre profil, rainurage etc… sur chaque morceaux de bois. Donc, si tu te plante, bin tu recommence tout… Et vas y que je démonte le porte outil, que je lève les tables, que je rabote, que je redémonte, etc… etc… Donc on réfléchit, on réfléchit, voir même qu’on réfléchit encore un peu, pour être sur, avant de commencer a poser le bout de bois sur la table de la bécane.
Il faut, bien sur, être précis comme jamais, mais encore une fois, mon formateur m’a donné tout les « trucs » pour éviter de me planter.
Si l’idée vous vient de faire pareil, le stage est indispensable. Sans une formation, c’est même pas la peine de tenter le coup, vu le nombre d’étapes et leur ordre a respecter, c’est pas le plan fourni dans le coffret de fer qui va vous aider…
On a fait un petit calcul rapide pour nos fenêtres, on devrait économiser a la louche, dans les 7000 €. Valable, non?
En plus, ne serait ce qu’en double vitrage, y a pas photo entre la fenêtre qu’on a fait et les fenêtres que j’ai acheté pour l’atelier chez Lapeyre. En gros, la différence entre une twingo et une ferrari.
Le bois a été choisi avec amour ( normal, c’est moi qui l’a choisi 🙂 ), sec tout bien, comme il faut, en vrai bois d’arbre du coin ( la foret amazonienne nous remercie ), les ferrures et la quincaillerie ressemblent a quelques choses et non pas a des bitoniaux, de rien du tout, que tu tourne pour les régler et qui sont mort, au bout de trois fois ( je parle d’expérience… ).
Enfin, une fenêtre de qualité, quoi… Vraiment, c’est incomparable.

Allez, les photos :

Un ouvrant de fenêtre se cache dans cette photo. Sauras tu le retrouver ?

Une des astuces du formateur, une fois mouluré les différentes formes, on coupe des tranches qui nous permettent de mieux visualiser les sens de passage ou d’assemblages.

Collage du premier ouvrant.

La petite traverse pour régler l’équerrage du bouzin et avoir une fenêtre qui pourrait servir d’équerre, a un écolier lambda ( mais très musclé )

Les deux ouvrant, la gueule de loup ( pièce centrale ) et le début des traverses du bâti

La, opération tees délicate qui consiste a moulurer l’intérieur des ouvrants. Il faut être super stable pour ne pas faire dévier le tout et flinguer son boulot, en moins de temps qu’il n,e faut, pour le dire ( y a qu’a voir la tronche de constipé que je fais, pour évaluer le niveau de concentration intense. Faut pas que j’la foire, faut pas que j’la foire 🙂  ). Et la, on était deux… Alors tout seul, j’ai pas fini de serrer les fesses 🙂

C’est celle la, qui faut pas merder… tu me diras les autres aussi mais celle la, encore plus.

Le collage du bâti.

Réalisation de la goutte d’eau. Ça, c’est une des pièces que j’ai foiré. A la dernière étape, j’ai mal réglé la profondeur d’un outil et je lui ai mangé 2 mn de trop… poubelle… Et vas y, que je recommence toutes les étapes de rabotages, dégauchissage, toupillage pour un morceau de 50 cm de long… Grouummmpffff !!!

Taaddammm !!! Haaa, il est content nono !

La bête, de plus prés.

Au final, bien content de cette formation. Outre le fait d’apprendre a faire la fenêtre, j’ai appris pas mal de petit truc qui permette de se servir de sa toupie plus confortablement et avec plus de securité.
Maintenant, un petite pub pour mon formateur.
C’est Éric Graffin, connu comme le loup blanc dans le monde des machines a bois. En plus d’être un bon formateur, il se déplace chez les gens pour les former sur leur bécanes. Il se débrouille tout seul, vu qu’il débarque en camping car, de la mort qui tue.
donc, que des avantages, on a pas a se déplacer et en plus, il est autonome chez toi.
Niveau prix, c’est 150 € / jour de formation, ce qui est plus que raisonnable, surtout pour la commodité que ça t’apporte.
Vu qu’il tourne sur toute la France pour ces formations, son coffre de camping car ( car est une vrai caverne d’ali baba ) permet d’acheter des outils qui coutent la peau du fondement, quasiment moitié prix.
Bonnard, quoi.
Ces coordonnées: Top démo machines a bois 17 rue des rechevres 28000 Chartres
tel: 02.37.36.23.45 ou 06.98.94.49.78 ( N’hésitez pas a laisser un message )
Page de pub terminée.
Quand je m’y remettrais, je ferais un reportage étapes par tapes pour ceux que ça intéresse, la, j’ai pas eu le temps.

Les nouveaux plans de la maison

Après quelque chose, comme une bonne quinzaine de versions, nous en sommes arrivées a ces plans.
En gros, plus de sobriété, une meilleur étude du rapport cout / efficacité ( et oui, l’argent, toujours l’argent … ). Plus réaliste, en somme.
Au regard des anciens plans, on se dit qu’on y était allé un peu fort.
On s’était fixer la fameuse limite des 170 m² ( limite a ne pas dépasser pour ne pas être obligé de prendre un architecte ) et finalement, on avait prévu plein de pièces qui ne servirait pas forcement ( on leur aurait bien trouver une utilisation mais bon ) , pièces qui aurait eu un cout a la construction et aussi un niveau des impôts, des factures de chauffage etc…
On a donc toujours nos trois chambre, notre cellier et un grand salon cuisine.

Les nouveaux et les anciens plans:

Le rez de chaussé:

L’étage :

Pour faire simple, on a viré la partie garage qui après réflexion n’avait pas grand intérêt ( on a les combles de l’atelier  pour stocker du bazar ) et surtout la pièce du dessus, qui en avait encore moins.
La serre bioclimatique a malheureusement aussi disparu car notre exposition n’est pas aussi optimale que prévu, elle aurait bien été, plein sud mais en hiver, le soleil ne l’aurait pas assez chatouillé. Donc, au prix que cela nous aurait couté et de l’efficacité quand on en aurait retiré, on a préféré faire une croix dessus.
On a donc complétement recentré le poêle de masse qui devient notre principale moyen de chauffage. On va le dimensionner en conséquence. Il aura des formes plus douces et arrondi que ce qu’il y a de dessiné sur le plan ( le logiciel ne sait pas dessiner les courbes ou alors très mal 🙂 ).
On a abandonné la forme de poêle de masse escalier car on arrivait pas faire coïncider les deux, au bon endroit. ( position centrale du poêle et arrivée de l’escalier qui nous bouffait, soit une chambre, soit la salle de bain ).
Donc, on est revenu au bon vieux escalier en bois d’arbre dans un angle, ce qui devrait pas trop nous gêner. Je vous cache pas que je me faisais du soucis pour la conception de notre poêle de masse escalier, je me disais que j’avais pas finis de me faire fumer les boyaux de la tête.
On a mis le cellier sur la face nord pour servir d’espace tampon sans fenêtre et on a toujours notre cuisine ouverte avec le salon dans la même pièce mais quand même différencié par l’angle.
La salle de bain est passé a l’étage. Le conduit de fumée passe dedans, ce qui devrait la chauffer en plus, du fait que le poêle de masse sera dessous.
La mezzanine n’a pas bougé et se récupère deux grande fenêtres fixe qui devrait nous apporter beaucoup de lumière.

Voila, théoriquement, l’argent économisé d’un coté devrait être réinvesti dans du photovoltaïque.
Ce n’est pas aussi bien que le projet prévu mais beaucoup de contrainte nous ont obligé a révisé nos prétentions. Et puis, il est idiot de dépenser des sommes considérables dans des équipements qui ne fonctionnerait pas au top.
On aurait gagné a l’euro million, ça serait jouable mais on y joue pas et on a donc pas pu y gagner 🙂


PS: Vos avis nous intéresse !

L’affouage est terminé…

Et c’est pas trop tôt. J’en ai plein le fondement… Vrai de vrai !

Comme Franck disait, dans un des commentaires :
Le bois, ça chauffe 5 fois, quand tu le coupe, quand tu le met dans la remorque, quand tu le sors de la remorque et que tu le range, quand tu le recoupe parce que tu t’aperçois que tu l’a fait trop gros ou trop long pour ton poêle et enfin quand tu le brûle… C’est, on ne peut plus vrai.
M’enfin, si le poêle de masse brule ces 5 a 8 stéres par an, comme prévu, on en a déjà pour 3 ou 4 ans d’avance.
Ça laisse le temps de voir venir.
Demain, repos et un peu de plan a dessiner mais sinon repos.

Dis, tonton Björn, comment qu’on abat un arbre ?

Alors petit, en suède, on dresse les castors pour faire le boulot a notre place pendant qu’on se biture a l’alcool de sapin. C’est un peu plus long mais tellement moins fatiguant 🙂

Bon, vu que j’ai pas grand chose a raconter en ce moment, je m’en va vous faire un cour de bucheronnage appliqué. Des fois que ça intéresse quelqu’un, un jardinier qui a un arbre, a abattre, un militant des casseurs de pub avec un panneau de pub géant qui pourrit le paysage ( faut juste préférer la meuleuse mais la technique doit être la même, grossomodo )

Alors, tout d’abord choisir un arbre pour sa beauté majestueuse, son orientation, sa prestance incomparable dans la foret et surtout parce que le garde forestier, il a dit que c’était celui la qu’il fallait couper et pas un autre.

Bon, la technique, en gros, c’est de réaliser une encoche de direction qui va donner ( si tout va bien ) la direction ou que l’arbre, il va se vautrer.
Elle doit être d’environ un tiers du diametre de l’arbre.
Après, il suffit de passer de l’autre coté et de réaliser un trait de scie légèrement au dessus ( 2, 3 cm ).
Comme ça:

Après, on positionne le coin ( pour les petit diamètres, normalement, ça tombe tout seul, pas besoin de coin ), et on l’enfonce a la masse. Le coin doit être en plastique pour pouvoir remettre un coup de tronçonneuse sans risque de flinguer le super affutage sur lequel t’as passé une bonne heure. Si la chaine bouffe le plastique, c’est moins grave, n’est t’il point ?

Quand tout va bien, le coin fait pencher l’arbre du coté qui va tomber et c’est bonnard.
Sauf que l’a, pour l’exemple, j’ai choisi un arbre casse c… et que le coin en plastique enfoncé jusqu’au bout, il bronchait pas le fourbe.
En fait, il était emmêlé au niveau des branches sur la cime avec ces voisins, qui part solidarité, le retenaient.
En plus, le tronc était légèrement courbé dans le sens du coin, donc opposé au sens théorique de la chute.
Bin, alors pourquoi, que tu l’as pas fait tomber de ce coté la, bougre d’imbécile ?
Et bien car je doute fort que le garde forestier apprécie que je fasse tomber un gros hêtre comme celui ci, sur la foret de sapin, si cher a son cœur ( en plus, c’était le coté opposé a la route, donc encore de grosses buches, très lourdes a transporter avé mes petit bras musclé jusqu’à la remorque ).

Donc, expliquons a ce résidu de fibre végétale qui c’est le boss. Étant beaucoup plus épais, le coin en ferraille a réglé le contentieux.

Les premières fissures augure du meilleur

La, ça sent le sapin 🙂 ( oui, je sais, elle était facile… )
Il a fallu quand même l’enfoncer a la grosse masse de 3 kg…

Et sspllaaffff !!! Comme une grosse bouse, qu’il est tombé ! MMoouuhahahhahha ( rire dément ). Alors, c’est qui la terreur des forets, non mais !

Ceux la, de sapins, ils ont eu chaud aux miches mais c’était calculé, qu’est c’vous croyez !

Eu’l bébé par terre !

Bin, y a plus qu’a ramasser ce bazar maintenant…

Allez, encore un week end de boulot et ça en sera finie du massacre a la tronçonneuse.
Car il est vrai que ça commence a me sortir par les trous de nez…

Du bois dont on fait les allumettes

Mais y a un peu de boulot avant …

Ce week end, belote et rebelote, affouage, tronçonneuse, ébranchage, tout ça, tout ça.
Une bonne transpirée et les épaules en vrac.
Le hêtre, je le préfère en chaise qu’en buche, c’est moins lourd. Pfiou, le salopiot…
Les plus grosse buche, ( la base de l’arbre ) je suis obligé de le fendre sur place pour pouvoir le remonter.
Et ça aussi, ça consomme de la calorie.
En photo, ça donne ça:

On commence par une entaille a la tronçonneuse pour faciliter l’enfoncement du coin. Ca guide aussi, l’éclatement du bois.

On tape comme un sourd dessus… Les premières fissures apparaissent.

Quand on commence a entendre des craquements, c’est qu’on tient le bon bout…

La, on peut pas aller plus loin avec le coin.
Donc, a moins de me taper sur le doigt afin que ça m’énerve vachement beaucoup, que je commence a devenir tout vert et que mes muscles gonflent en déchirant ma chemise et tout ça, pour finir d’ouvrir la buche, ( Vous conviendrez que ça finit par couter cher en chemise tout ça 🙂 ) Il suffit de…

…coucher la buche et d’y maraver la tronche a coup de merlin, recto et verso.

Bin, voila, c’était pas compliqué… Y a plus qu’a recommencer avec les deux partie obtenues pour en faire quatre et donc diviser aussi le poids par quatre.
Même comme ça, elle pèse toujours une vache morte mais c’est transportable ( tout dépens, si c’est le début de la journée ou la fin 🙂 )

Haaa… fuck de prout, il en reste encore un peu…