Thomas, ( liens a droite ) me faisait remarquer ( a juste titre ) que j’avais oublié un paramètre, quelque peu négligeable mais quand même assez contraignant, a la longue.
Bin, oui, les dimensions de l’escalier, je t’avais fait ça, a la va comme j’te pousse, sans réfléchir ( non !?! toi ? ) un tant soit peu et si eu’l gars thomas réfléchissait pas a ma place, on se serait retrouvé avec un magnifique escalier pour personne a déficience de croissance chronique… pour nain, quoi 🙂 . Alors, il est vrai qu’on est pas des grandes targettes dans la famille mais ça risquait d’être, a la longue, irritant pour les genoux de monter a quatre pattes 🙂
Alors, voila, c’est rectifié.
On a raboté un bout de salle de bain et pris les dimensions standard d’un escalier quart tournant haut, pour avoir des cotes précise et revoir la trémie adequate qui évitera qu’on s’éclate la tronche a chaque fois qu’on montera ou descendra de l’étage. Ça bouge finalement pas des masses. Juste quelques rectifications de bon sens que j’avais oublié. On se retrouve aussi avec un méga dressing placard terrain de foot dans notre chambre mais bon, des placards, on en a jamais assez.
Enfin, voila, n’hésitez pas a me mettre le nez dans mes âneries, une fois de plus.
On cause pas beaucoup en ce moment mais c’est parce qu’on se repose, ce qui est déjà tout un programme.
On ne sait pas si c’est le contrecoup du travail non stop et l’accumulation de fatigue mais on est comme deux grosses bouses :-). La grosse flemme et un coup de barre quasi automatique en fin de soirée. On a du mal a bouger et l’hiver aidant, on glande, on flemmarde, on pantoufle, on se coince la bulle etc… etc….
Bon, sinon, notre mur extérieur a remarqué un certain laissé aller, quand a la fréquence de nos travaux et il a donc décidé de remédier a cet état de déchéance avancé en s’écroulant en partie… sympa, de penser a nous… l’enfoiré…
V’la le désastre…
C’est vrai qu’il faisait déjà méchamment le ventre depuis un moment mais la, il s’est laissé aller, le fourbe ! A ce rythme la, entre ça et les abrutis qui ratent leur virage pour nous flinguer notre portillon, va pas rester grand chose du mur avant la fin du chantier.
Donc, va falloir remonter tout ça, avant que la seconde partie ne tombe. ça va être un grand moment… Vu qu’a l’intérieur, c’est essentiellement du sable.
Je me demande bien comment, je vais remonter le tout. S’il y a des connaisseurs, je suis preneur de toutes infos ou techniques.
Et pour finir, les nouveaux plans… Et oui, encore… Mais heeuuu, c’est pas de notre faute cette fois ci !
Bin, oui, faire les plans sur un logiciel fait pour des maisons en parpaing diffère légèrement des maisons a ossature bois. Et c’est seulement quand j’ai attaqué les plans techniques de la dite, charpente, que je me suis aperçu, d’un tout petit détail, insignifiant de prime abord mais qui a sont importance quand a la futur réalisation de notre maison. Pour faire simple, une fenêtre devant un poteau d’ossature, ça le fait pas trop. Autant pour ouvrir la fenêtre qu’au niveau de l’esthétique 🙂
Et selon la théorie de l’effet papillon, ce petit détail nous a amené a modifer pas mal de chose.
Résumons. La fenêtre du RDC coté sud ouest avait été placé au milieu du mur, dans un souci d’harmonie mais pas de chance, j’ai un poteau d’ossature en plein dedans… sur le logiciel, ça ne posait pas de problème, vu que sur un mur en parpaing, la fenêtre, tu la mets ou tu veux. En ossature bois, faut respecter un minimum de critère.
Bon, c’est pas bien grave, on va la déplacer cette fenêtre. Oui, mais du coup, notre escalier ne passe plus, a moins de le mettre aussi devant la fenêtre. ha… pas glop… Soit ! On va déplacer l’escalier. Seul endroit de dispo, contre le mur capteur. Mais bon, déjà, que l’ensoleillement ne va pas être fabuleux, avec l’escalier devant, le mur capteur va plus servir a grand chose… heeuu, re-pas glop…
Pour finir, on a modifié le hall, le cellier, notre chambre, la salle de bain, tout ça, pour une petite erreur de positionnement de fenêtre. On y est pas en plein dedans, l’effet papillon ?
V’la, le résultat:
Mr erreur 404, dieu des pages internet qui plantent, m’informe que malgré des recherches poussées, ces fichiers se sont perdus irrémédiablement dans les tréfonds du cyberespace de l’internet 2.0. Avec mes excuses.
J’ai fait une nouvelle rubrique sur la droite, en haut ou je vais mettre tous les plans technique que je suis en train de dessiner.
Bon, bin, voila, a venir, le conduit de cheminée et toujours mon deuxième volet.
Ça y est, on a rangé les truelles, malaxeur, seau, gant etc… et c’est pas trop tôt. on a juste mis un an, pour finir 🙂 Bin, oui, on a quand même commencé l’année dernière, a la même époque. Qu’est ce vous voulez, on est des lents 🙂
En attendant, vu que je joue actuellement a dédé l’bucheron, c’est Estelle qui s’est cogné la fin des enduits. Je l’ai lâchement abandonné pour transformer mes épaules et bras, en une grosse courbature 🙂 .
Au final, on est satisfait du résultat, mais un peu déçu de la couleur. On repassera surement une couche au printemps, la, ça fait vraiment clair. Mais bon, ça le fait quand même. Et puis, c’est vraiment la fin de l’atelier ( enfin, presque, j’ai toujours un volet a poser ) et maintenant, des que j’ai fini l’affouage, ça sera vraiment repos, jusqu’au printemps.
Et le résultat en photo.
Madame en pleine action. Va falloir penser a nettoyer la vitre…
Allez avec moi OOOooOOoo !!! AAAaaaAAAaaaAAAaa !!!
On voit encore les liteaux et c’est un des détails qui nous chagrine le plus. Mais ce qui est fait est fait, tant pis pour nous, on avait qu’a réfléchir avant d’agir…
Allez, plus qu’un coté, a torcher et on en aura fini des enduits.
C’est Estelle qui va s’y coller demain car moi j’attaque l’affouage que je dois finir avant la fin de l’année soit un délai avec 3 mois de moins, que l’année dernière… Va pas falloir faire se la couler douce.
Sinon, au rayon des conneries que si je m’étais abstenu, je m’en serais porté achement mieux, j’ai eu l’idée lumineuse de repasser une couche de badigeon tant que l’échafaudage était monté.
Bin, oui mais non, fallait pas… Car j’ai quasiment enlevé la couche précédente… Les bonnes grosses baboules, quoi…
C’est parfaitement visible sur cette photo. on avait passé le badigeon, sur les deux coté et une fois que j’ai fait le pignon, la semaine suivante, j’ai repassé une couche sur les deux cotés, et le résultat…
Mieux que pire, la face arrière ( heureusement que c’est l’arrière… )
Sinon, quand j’ai pas d’idée aussi lumineuse que foireuse, ça donne un bon résultat.
Maintenant, on y touche plus et on repassera une couche, au printemps.
Ça y est, ça sent la fin. Enfin… Pas trop tôt… On a failli attendre…
J’ai réussi a finir la façade arrière pendant qu’Estelle s’occupait, de celle de devant.
Au menu, couche de finition et badigeon dans la foulée pour qu’il soit « a fresco ». C’est mieux, a ce qu’il parait. Ça permet une meilleur carbonatation ( processus interne a la chaux qui permet son séchage et sa tenue mais ne me demandez surtout pas comment ça marche. Ça carbonate. Point barre 🙂 )
Cette fois ci, les enduits sont fait sur la base de la même recette que la semaine dernière mais nuance, le sable est tamisé. Ce qui permet d’obtenir un enduit beaucoup plus fin et moins brut de décoffrage.
On le pose toujours a la main ou a la truelle selon la convenance de chacun, en le « tirant » au maximum et cela autant pour économiser la chaux que pour éviter les fissures. Puis après, on le lisse avec une taloche éponge mouillé. Ce qui gomme toutes les aspérités et les coups de truelle. Ça permet d’obtenir une belle surface bien lisse.
Puis le badigeon. La recette ? Bon d’accord.
Le mieux, c’est d’acheter de la chaux en pâte. Ça, c’est le mieux. Mais c’est pas le moins cher. Sinon, vous prenez un sac de chaux aérienne que vous mélangez avec de l’eau et uniquement de l’eau et vous touillez jusqu’à obtenir de la crème mont blanc ( oui, je fais une fixation 🙂 ). Vous recouvrez d’eau (une dizaine de centimètre ) et vous laissez reposer autant de temps que vous voulez. Plus vous laissez reposer, mieux c’est. Il faut juste veiller a ce que la chaux soit toujours recouverte d’eau ( la chaux aérienne fait sa prise avec de l’air donc pas d’air, pas de prise. Logique, non? ).
Mais revenons a nos moutons. De la chaux en pâte ou de la chaux préparé a l’avance grâce a la recette susmentionné ( Comment j’cause bien 🙂 ).
Pour 20 kg de patte, on rajoute 40 litres d’eau. Ça peut paraitre beaucoup mais c’est bien les proportions. Avec ça, on peut théoriquement couvrir 80 a 100 m² en 3 couches.
Après, il n’y a qu’a rajouter les pigments, si besoin est. Le tout, s’applique a la brosse plastique.
Surtout ne pas oublier de faire participer les p’tiots, ils adorent ça. Gaffe quand même avec la chaux…
Si on veut un surface uniforme, on lisse toujours dans le même sens et si on préfère une version plus bordélique, on zigzag, tournoie, virevolte avec la brosse. Nous, on préfère la version bordélique et en plus, c’est moins casse pied a réaliser.
Et la fin de la journée, quasiment en nocturne.
Le travail de madame.
La couleur devrait s’éclaircir ( un des défaut de la chaux ). On espère que ça va pas erre trop clair. Sinon, on repassera une couche de plus.
Voila, le week end prochain, on torche le deuxième pignon, histoire de ranger l’échafaudage. On commence a en avoir marre de le voir, celui la…
Samedi, Isabelle, Nicolas ainsi qu’Angela, dans la catégorie des moins d’un mètre, sont venus nous filer un coup de main.
Et c’est fou ce que ça avance plus vite a quatre. j’ai même cru manquer de chaux tellement ça a dépoté !
Résultat des courses, il ne reste plus que le haut du mur coté route. Ce qui devrait être torché samedi prochain et nous permettra d’attaquer la couche finale, qui se fait sérieusement désirer… pas qu’on en ait marre mais presque 🙂
Isabelle, technique a la truelle :
Et Nicolas, version projeté, écrasé.
Pour le malaxeur, c’est achement mieux d’être deux. Les petits au malaxage et les grands au pelletage avec inversion des rôles a intervalles régulier. Nos dos nous disent merci !
On nourrit tellement bien nos ouvriers de passage qu’ils se mettent a porter les brouettes, en épaulé jeté que scharzennegger y ferait pas mieux 🙂
Voila, une bonne journée fatigante mais sympa. C’est toujours plus agréable de se taper du boulot pas drôle, en bonne compagnie, le temps passe plus vite. Et le travail aussi.
Encore merci a Isabelle et Nicolas pour ce coup de main qui tombait a pic.
PS: Dimanche soir, on entend les chats se fritter dehors. On jette un coup d’œil et surprise, il ne se battait pas ! Il était juste comme deux rond de flan devant un squatteur piquant. Et oui, les hérissons apprécient les croquettes a chats mais les chats, eux, apprécient moyennement de se faire chourer leur gamelles 🙂 L’autre tranquille, se la ramène, se roule en boule dés qu’un chat tente le coup de patte et une fois qu’il a en a marre de se piquer les coussinets, le hérisson repart tranquille en direction de la gamelle 🙂 . A mon avis, on va le voir souvent celui la…
J’ai enfin pris le temps de tracer les diagrammes solaires qui vont nous permettre d’estimer l’ensoleillement de notre serre et capteur solaire.
Ça donne ça :
J’ai dessiné les arbres, avec feuillage estivale, mais il y aura du soleil qui passera tout de même quand il n’y aura plus de feuille. C’était plus simple que de dessiner toutes les branches. Les « poteaux » dessinés sur la ligne d’horizon sont une rangée de peuplier et autres arbres a tronc haut mais fin et feuille caduque.
Résultat des courses: mieux que je pensais.
On voit qu’au pied de la serre, la ou nous n’avons pas besoin de soleil, on ne perdra deja pas trop de rayonnement. Seul la periode entre novembre et janvier sera pas top mais de tout façon, les rayons n’aurait pas suffi a chauffer le tout donc pas de regret. Le poêle de masse rentrera en action.
Par contre, pour les intersaisons, on s’aperçoit qu’on aura juste ce qu’il faut de soleil, tout au long de l’hiver, pour taper dans la dalle et le mur capteur. Donc, la serre devrait remplir sont office et c’est tout ce qu’on lui demande.
Pour les capteurs, la, pas de soucis, ils devraient être ensoleillé toute l’année.
Voila, ça reste bien sur, de l’estimation. Je suis en train de bricoler un tableau représentant les différents point de passage du soleil qui nous intéresse, par tranche de 15 jours et on va essayer de penser a faire ce relevé régulier tout au long de l’hiver, pour voir réellement si nos calculs sont bon. Résultat en mai, de l’année prochaine.
Tous ces calculs ne sont pas indispensables mais pour nous, avec un plein sud pas super optimal, on préfère vérifier le bien fondé de l’intérêt de la serre. ça serait dommage de construire une serre qui ne serait pas correctement ensoleillé. Ca serait ballot, non?
Je me suis attaqué au pignon arrière pendant que madame s’occupait des cotés de la maison.
Bbon, alors dans l’encyclopédie des conneries a ne pas refaire, je peux rajouter un chapitre de plus.
Les murs en paille, qu’ils soit pas droit, cela a un charme certain mais faut quand même pas pousser mémé dans les orties.
Nous, c’est pas qu’ils soit pas droit, noooonnn, c’est juste qu’on a voulu les faire ressembler a la mer de la tranquillités… Oui, c’est ça, sur la lune… vous savez, la ou y a tout plein de cratère et de bosse… et qui dit cratère et bosse, dit va falloir reboucher tout ce bordel, nom de dieu ! et c’est long… trééés long… Et on gagne pas de temps… Ni d’argent…
Bien fait pour ma gueule ! J’avais qu’a faire attention.
On en est deja a 150 kg de chaux aérienne. Juste la chaux, sans le sable, ni l’eau… ha bah ça en fait de l’enduit a étaler… Et surtout a fabriquer… Et on a pas fini…
En passant, vu qu’on a dit que c’était moi qui faisait les conneries pour vous éviter de les faire vous même, je m’en va vous narrer la recette de l’enduit de rebouchage colmatage a la chaux aérienne. Ça peut toujours servir et on commence a connaitre les justes proportions qui donne un enduit ‘ al dente » onctueux a souhait qui colle tout seul.
Les ingredients: chaux aérienne en 25 kg, eau, sable, deux grosse poubelles plastique de 100 L et un malaxeur.
D’abord partager la chaux en deux dans les deux poubelles, soit 12.5 kg de chaux, si vous avez écouté vos cours de math quand vous étiez plus jeune.
Par poubelle, verser un seau de 10 L de flotte et touiller le tout, jusqu’à obtention de l’équivalent d’une crème mont blanc qui est tout sauf bonne pour votre régime.
Rajouter ensuite 4 seau de 10 L ou 8 grosses pelletées de sable. Re-touiller le tout et c’est maintenant que tout se joue. Pour obtenir le mélange adéquate, il faut rajouter juste ce qu’il faut d’eau. En fonction de s’il a plu récemment sur votre sable ou pas. Ça se joue au litre prés. Au pif, avec un sable pas trop mouillé, c’est environ deux litres. Le mieux, c’est d’y aller litres par litres, parce que si c’est trop liquide, c’est pas glop et difficilement rattrapable.
Il faut obtenir un enduit qui se transforme facilement en boule dans la main mais qui dégouline pas et qui n’est pas trop ferme. Une véritable alchimie…
Vous verrez de suite la différence entre le bon et le mauvais enduit. Garantie !
Après avoir essayer différent dosage et ordre de preparation, c’est celle la, qui est la plus mieux bien, pour nous. Donc, a vous de jouer !
Sinon, pour finir quelques photos.
Le travail de monsieur… mouais… bôf…
le travail de madame… c’est beaucoup mieux, de suite, non?
La différence vient de la technique d’application. Môssieur a pour mentor, jean claude vandamme et donc balance l’enduit a grand coup de truelle sur le mur puis l’écrase impitoyablement sur le mur. Forcement, ça laisse des traces.
Madame dépose délicatement l’enduit a la main et le caresse dans le sens du poil pour lui donner un zouli aspect bien lisse comme il faut. Et la différence se voit, non?
Bon, puisque madame sait y faire, je vais peut être la laisser finir toute seule ? Hein? Oui, ma puce ? Ta main dans ma gueule ? Bin pourquoi ?!? Me casser les deux genoux ? Wooaa comme t’y vas, ho ! Oui, bon d’accord, j’y retourne…
Et ça, c’est mon calvaire personnel, rien qu’a moi tout seul… le malaxeur et sa fonction première: te ruiner les bras, le dos, les reins et le reste aussi… l’enfoiré… ça use c’te saleté… vrai de vrai. Tu les sens, bin les 1700 W…
Et pour finir, une devinette. c’est quoi t’est ce, que ces traces sur mon enduit tout frais, tout beau?
Sachant que je passe rarement par la fenêtre pour rentrer dans la maison et après enquête rapide, il se pourrait qu’une représentante noir et blanche de la race féline, se fasse botter le cul rapidement si elle persiste a squatter mon rebord de fenêtre et donc dégueulasser mes enduits. Non mais !
Vu que le week end dernier, on a glandouillé sévère, on s’est dit qu’il faudrait penser a bosser quand même un peu. Et vu qu’on a toujours nos enduits a finir sur l’atelier, bin, fallait s’y coller.
Et ta projeteuse de la mort qui tue, me direz vous ? Et bien, je vous répondrais qu’on ne parle pas des choses qui fâche ! Cette garce est en panne et on a du mal a trouver la panne. Donc, vu qu’on a assez perdu de temps, comme ça l’attendre, bin, on va se les cogner a l’ancienne…
Donc ce week end, égalisations et lissages, des plus grosse bosses et rebouchage des cratères les plus prononcés.
Estelle en bas
Et moi, sur le pignon, a faire l’acrobate sur l’escabeau ( mais avec mon fidèle baudrier et ma corde attaché au faitage. grande idée que j’ai eu, ( oui, je sais, je suis modeste 🙂 ) d’avoir laissé un point d’accroche, la haut, pour les interventions ultérieurs ).
Voila, y a encore du boulot… Je pensais que ça serait la dernière couche mais il faudra un dernière couche bien propre avant le badigeon car il y a des endroit ou c’est vraiment pas droit.
En passant, si vous avez rien a faire les week end prochains, et que vous voulez faire un peu d’enduit avec nous, vous savez comment nous joindre 😉 ( Non ? alors agad’ en haut a droite, rubrique: pour nous contacter )
Bon, sinon, je sens qu’une question vous taraude ! Si, si, je le sais ! Mon deuxième volet ? Biiinnn, heeeuu, il est bien. a sa place. Dans l’atelier, en attente de finition. Quand je le pose ? Heuu… quand j’aurais le temps ? Tout n’est qu’une question de priorité !
Et la priorité avec les enduits, c’est d’installer cette foutue cuisinière a bois. Enfin, elle, elle y est pour rien, c’est plutôt le conduit de fumée qui m’emmerde prodigieusement ( désolé, pour la grossièreté mais c’est vraiment ce que je ressens et des fois, faut que ça sorte, ça fait du bien, comme lâcher une caisse en loucedé, ça détend 🙂 mais je m’égare ).
Alors résumons. deux solutions. Soit conduit tout inox isolé qui passe par la porte de garage et remonte le long du mur. La traversé de toit ne pose pas de problème car il y a juste le pare pluie a découper. Mais… ça coute la peau du fondement et des bijoux de familles. Estimation a la louche, mini 500€ mais plus vers les 800 €. Ce qui vous en conviendrez, n’est pas du tout, mais alors pas du tout raisonnable. L’occaz est jouable mais rarement en dessous de 500 €.
Deuxième version. le passage intérieur. La, plus besoin de conduit isolé. Bonnard, quoi. Bin non… car la réglementation stipule qu’il faut un écart au feu entre le conduit et la moindre pièce de bois de 16 cm en conduit simple et de 8 cm en conduit isolé. Et pour que ça passe mon plancher, il me manquerait 10 cm ( 5 x 5 cm de chaque coté ) . Pareil pour mon passage de toit… qui lui, en plus est en paille. Ça risque d’être rock n’roll de faire la trémie pour le tuyau… donc a moins de mettre un bout de conduit isolé a ces deux endroit, je l’ai dans l’os. De plus, ça risque de pas casser des briques, esthétiquement parlant. Bon, je préfère avoir chaud plutôt que de trouver ça beau mais quand même.
Ze last chance tient dans une petite annonce que j’ai trouvé ou le gars vend de l’isolant spechiole conduit que tu met autour du tuyau. Ce qui me permettrait de passer les points critiques a 8 cm d’écart au feu. Et le tout pour un prix, pour une fois, très raisonnable. j’attends de ces nouvelles.
Si ca marche pas, ya basta, la cuisinière retourne au local et on continuera a chauffer a l’électrique. Pas glop mais ça arrêtera de me les briser.
donc, voila, le week end prochain, on remet le couvert avec les enduits et vous êtes les bienvenue, si ça vous tente.
Le week end dernier, ça a été, rabotage, ponçage et huilage du premier volet, le second, n’étant pas encore complétement collé.
Et bin, un peu de boulot quand même… virer la colle, raboter bien propre, racler, poncer etc… ça m’a prit une journée…
Après donc, avoir racler, poncer, etc… j’ai fait les petites défonces pour les gonds.
Puis après, pose des gond, ça donne ça.
Plié.
Déplié.
Et puis bon, c’est pas tout ça, mais faut les poser et c’est la, que ça se complique. Car des volets en trois partie, c’est trois bonne raison pour se faire ch… Les gond doivent être pil poil, tous au même endroit sinon, ça modifie l’épaisseur du volet et ce n’est plus plat, une fois déplié. La hauteur des gond est aussi importante, c’est ballot de dire ça mais ça se joue sur des poils de culs qui font que ça colle nickel ou ça frotte. Et moi, ça a plus frotté qu’autre chose…
La, par exemple, ça frotte 🙂 merd…
Une fois, tout mis d’aplomb, il y a encore les arrêts de volets a poser… Et la aussi, pas simple. Après un grattage de l’enduit pour que ça passe et un essai dans ce sens…
Bin, ça sera finalement dans l’autre sens, avec le bouzin vissé directement dans l’appuie de fenêtre. Je suis chez moi, je fais ce qu’il me plait, na ! 🙂
Et pourquoi, que t’as fait comme ça, doudoudidonc ? Car je ne pouvais pas faire de pré-trou a la visseuse ( Trop bas, ça frottait ) et les visser avec un pré-trou, c’est deja du sport ( y en a d’ailleurs un qui a explosé sur un serrage, un peu trop violent ) alors sans pré-trou et sur cinq centimètre, laisse béton. Et puis, j’aime pas faire comme tout le monde 🙂
Et pour finir, vu de l’intérieur:
Vous remarquerez les petits verrous, en bas. C’est le problème des volets en trois partie, c’est vague comme volet, pas clair 🙂 Et cela dénote un certain manque de rigidité, du a la multiplication des points de pivot. Donc, faut bloquer kekpart sinon, ça flotte.
Il manque d’ailleurs sur la photo, une barre amovible qu’on va rajouter en travers sur toute la longueur pour rigidifier le tout car le loquet du milieu, remplie pas vraiment son office. Ça va faire limite, fort knocks mais bon…
Et vu de dehors. Nous, on aime bien le résultat. Pas vraiment conventionnel mais justement ça change. On va d’ailleurs peut être les faire pareil, pour la maison mais pas en trois partie ( Ces deux la, me suffisent comme ça 🙂 )
Voila, pour les temps futurs, outre la pose du deuxième volet, on essaye de trouver un conduit isolé, double paroi pour notre cuisinière a bois a un prix raisonnable ( vous avez un tuyau ? MmOOuuaaaahhahaha, t’as mangé un clown ? 🙂 ), Histoire de se chauffer quasi gratos et ensuite, je me met sur les nouvelles toilettes sèches. Et un peu d’enduit, si le temps est favorable. Et puis… rien, ça suffit comme ça.