The winter is coming !

allez juste pour dire qu’on est pas mourru, que le winter, il coming grave et qu’on était déjà a fond et malgré tout, on accélère encore un peu, pour au moins, fermer la maison.

donc mille excuse pour ce retard de post, vous allez être bon pour vous cogner, une nouvelle fois, un interminable post qui vous fera penser très fort : mais il va pas fermer sa mouille, celui la !

allez, le post qui ferait passer l’intégrale d’Émile Zola pour la lettre d’information du club de bridge local, pour ce week end ? haaaa, je vous sens fébrile, impatient, tous les sens en alerte… ou pas.

Là-bas si j’y suis, c’est fini ?

quelques soit nos opinions politiques, et même si elle ne plait pas a tout le monde car elle  penche gravement a gauche de l’échiquier politique, Là-bas si j’y suis est une vrai bonne émission de radio, comme elle devrait toute l’être et ce qui est loin d’être le cas.

elle m’a appris a voir les choses différemment et a avoir le réflexe de faire un pas de coté pour observer sous un autre angle, ce que l’on voit ou entend. en gros, elle apprend juste le sens critique.

ça reste la seule émission qui ne caquète pas avec toutes les autres, en rabâchant la doctrine libérale. ( la prise en otage des gentils usagers de la sncf par les méchants gréviste de l’ultra super hyper gauche radicale, le foot, le tennis, le tour de france etc… cot cot cot… )

si vous n’avez jamais écouté, allez sur le site la bas.org ou l’on peut réécouter toutes les émissions et cherchez, par exemple la série sur le rwanda ou sur les poilus ( gaffe, ça prend juste aux tripes et fout les larmes au yeux… et puis de toutes façons, faut tout écouter 🙂 ) et vous aurez dans les oreilles une vrai bonne émission de radio qui rend moins con.

tout ça pour dire qu’il y a une pétition contre sa suppression, qui tourne. comme d’hab’, je crois moyen a l’efficacité des pétitions mais bon, on sait jamais.

donc pour garder la dernière émission donnant un point de vue différent, signez ça coute rien.

et a la fin, c’est nous qu’on va gagner !

Une odieuse propagande crypto-écologiste a l’encontre de nos chères têtes blonde ! ou pas.

comme plein de djeun’s aujourd’hui, ma nièce passe son brevet des collèges ( go, lucie, go ! ) et le sujet de mathématique sur lequel, elle a du travailler, est… comment dire… inattendu, incongru, what the fuck ! queuwôôôaaa !

je vous laisse lire l’énoncé 🙂

j’aimerais bien rencontrer le gars qui a pondu ce sujet, car ça serait avec plaisir que je lui payerais une bière ! voir un p’tit bisou ?

j’imagine les gamins en train de lire le sujet… une toiture en paille, gné ???

en tout cas, c’est une bonne nouvelle car au lieu du traditionnel train qui part de la gare et qui s’arrête 14 fois en ayant fait le moitié des kilomètres reliant paris a bordeaux en marche arrière, on parle de la paille et pas comme un déchet qu’on donne aux bestiaux.

donc, chapeau aux décideurs des sujets du brevet des collèges. comme dirait l’autre  » j’vous aime putain !

Guide de survie en milieu histérofootballistique

en ce jour de match de foot et pour changer du tour de france, je ne peux que vous faire profiter de ce petit tableau plein de bon conseil.

vivement qu’ils arrivent a la dernière case 🙂

PS: « qu’ils » arrivent a la dernière case et non pas « qu’on » arrivent, c’est pas moi qui joue au foot, je leur ai rien demandé. c’est juste une bande de petit c… arrogant, pété de thune, complètement coupé des réalités, qui sont payé des sommes astronomiques pour jouer a la baballe, dans un pays ravagé par la pauvreté et qui sont censé représenter la « Frââânce » et tous ces citoyens ( même ceux qui en ont rien a carrer ).

c’était un message du front de libération des médias hystérique qui n’ont pas grand chose a dire, des qu’il y a un évènement sportif télévisuel a fort potentiel de racketage publicitaire

et oui, vive le sport ! mais pas celui ci. celui des petits club de foot ou autres, sans le sou, par exemple.

bon allez BÛÛÛÛTTT !!! et m…, je me suis fait avoir ! 🙂

Fenêtre part troize : tu profile ou tu colle, cong ?

avec mes bôôô bout de bois, tout bien raboté comme il faut, j’ai attaqué les différents passage a la toupie qui font une belle fenêtre.

après m’être échauffer le fessier, par des mouvements de contraction décontraction rapide, afin d’éviter le claquage résultant d’un serrage de fesse un peu trop intense avant chaque passage d’un bout de bois dans la machine ( le doute… toujours le doute. mesure deux fois, coupe une fois, qu’y disait les anciens ), j’ai envoyé du bois… arf !

ze feurst ouane operéchionne consiste a déterminer les différentes longueurs des ouvrants. car on commence par eux.

donc, pour une fenêtre de 120 x 120, on enlève l’épaisseur des dormants, plus les différents jeux, ( 2 mn sur les cotées et en haut et 3 mn en bas pour un bon fonctionnement de la fenêtre), l’épaisseur de la gueule de loup ( partie centrale qui fait la jonction des deux ouvrants ) et son jeu de 2 mn aussi, on obtient une mesure pour les montants et une autre, a diviser par deux pour les traverses des ouvrants. bah oui, deux ouvrants, donc…

puis on trace. le trait extérieur est le trait de coupe et l’intérieur sert de repère pour le passage a la toupie, soit 52 mn de profondeur.

puis on reporte le trait intérieur sur les autres faces, toujours pour la toupie.

y a plus qu’a mettre en place l’empilement de fraise de la mort qui tue. vrai de vrai, ça fout les jetons. ça fait un bruit… et ça souffle d’un force… mieux qu’un ventilateur ! tiens, une petite vidéo, pour prouver que la contraction fessière n’est pas exagéré.

donc, on règle la hauteur, et on fait un passage dans le martyr sans pièce de bois. ça nous donne le trait de coupe.

puis, en plusieurs passages, on passe sa pièce ( en serrant les fesses, hein… ) jusqu’au trait intérieur qu’on a tracé tout a l’heure.

et, tadâââmm ! un profil bien propre et pile poil a la bonne profondeur.

et on fait de même avec toutes les traverses.

puis on passe aux montants et son empilement de fraises toujours dangereux pour des doigts aventureux mais moins impressionnant quand même, car plus léger.

même technique, réglage de la hauteur, un coup dans le martyr et plusieurs passes jusqu’à arriver au trait.

il faut ensuite passer au profilage des pare closes en montant les fers adéquate.

ils profilent la pare close fixe et la mobile qu’il faudra faire sauter d’un coup de scie.

on met en place tout le bazar protège doigt et en avant.

j’ai oublié de préciser qu’avant chaque opération, je me règle sur ma fenêtre martyr en sapin. même assemblage et épaisseur, y a que la taille générale qui change ( 60 x 60 ).

ça me permet de me détendre le croupion avant chaque passage des morceaux de chêne. mon petit cul de danseuse étoile m’en remercie 🙂 quewoâââ ! mon gros cul de bucheron du grand nord ? z’êtes impitoyable ! bon, allez, un fois de plus, mont d’or patate, savagnin, tout ça, tout ça, quoi… 🙂

et on vérifie l’équerrage, les dimensions etc, avant de passer le chêne. ( sans oublier l’imitation de louis de funes )

le petit chcrochrogno qu’on voit sur la gauche de la pièce vient du fait, que l’outil est prévue pour une épaisseur de 50 mn et ma pièce en fait, 52. il faut que je repasse un coup avec le fer qui va bien pour le faire sauter. et la question que vous vous posez est… bin pourquoi donc que t’as pas fait en 50, bougre d’âne ? et bien… parce que ! 2 mn, c’est psychologique et ça sera plus costaud. des études mené par le professeur dugenou de la motte du pré, ont prouvé piffométriquement parlant que ça va faire toute la différence et puis c’est tout !

avant

après. des broutilles que je vous dit !

puis montage de lame de scie pour un « finish him » de la pare close.

avant

après…

puis réalisation du « flottage » et de la rainure sur les traverses basses qui serviront a coller le jet d’eau.

et l’ensemble rangé par fenêtre avec ses pare closes respectives.

pendant ce temps la… feignasse est le terme qui me vient de suite a l’esprit… ça va qu’il est sympa comme chat, sinon, il prendrait mon pied dans le fondement pour lui apprendre a pioncer, au lieu d’aller chasser de la souris.

j’ai ensuite stocké les fenêtres en attente de collage a l’étage et en veillant a les poser sur les pare closes pour faire une circulation d’air. le copain toto ( secondé par senseî caribou ) m’ayant conseillé de faire comme ça pour éviter par les chaleurs excessives qui courent en ce moment, de transformer mes bouts de bois en grand huit de fête foraine.

après encollage, a la spatule, ( ça va, vrai bien et c’est bien plus pratique que le pinceau au regard des faibles épaisseurs des tenons ), on met en place dans les serres joint dormant en prenant la précaution de mettre un petit bout de papier kraft ( ou autre choses ) pour éviter que la fenêtre colle au serre joint et que la magnifique couleur verte des dormants ne marque les fenêtres.

puis on équerre avec une pige préparé préalablement qui permet de mettre en place le tout.

la pige devrait normalement suffire mais je préfère fignoler avec une bête équerre. car une fois qu’on met les serres joint supérieur, on ne peut plus mettre la pige et on ne peut donc plus vérifier l’équerrage…

une fois, sur de son coup, on serre sans trop forcer et roule.

mon marchand de colle m’annonce un temps de serrage de 20 mn… ce qui me parait peu donc, j’ai pris la fourchette haute, a savoir 3 heures mini pour de la colle prise lente.

a ce rythme, je peux faire 4 collage par jour, en attendant les nouveaux serres joint dormant que j’ai commandé pour pourvoir en faire le double.

j’ai ensuite mis en place les modification décidé dernièrement. a savoir, la baie vitrée, au lieu d’avoir trois morceaux de 2.5 m de haut par 1 m de large, prévue initialement, on est passé a trois morceaux de 1.6 m de haut et une fenêtre ouvrant en partie basse de 70  de haut.

c’est mon vendeur de bois qui me l’a conseillé car selon lui, une fenêtre de 2.5 m de haut risquait d’être limite. et finalement, c’est plus joli et plus pratique. ça nous permettra de faire une ventilation naturelle pour rafraichir les chaudes nuits d’été.

il a donc fallu que je mette un refend  pour faire cette séparation. pour faire discret et propre, j’ai assemblé avec des équerres de chaise mais planqué et qui devrait se retrouver sous le dormant de la fenêtre, donc invisible.

j’ai donc fait des rainures a la festool powwââââ, version défonceuse, pour intégrer les équerres dans les cadres.

ce qui nous donne…

et avec les équerres et vis…

et ce qui nous donne au final…

bon, les montants jointent pas nickel, nickel et il faudra boucher tout ça mais dans l’ensemble, c’est pas trop mal et devrait être invisible.

j’ai aussi stocké mes futurs dormants sur épingle, soit une lame d’air entre chaque rang et toujours sur les conseils du toto et du caribou.

pendant ce temps la, madame donnait pas sa part au chien !

au menu, toujours de la cloison.

pour la préparation du torchis, voila, comment elle procède.

une vielle baignoire, une couche de paille, en vrac. tartiné d’un couche de barbotine.

premier mélange a la fourche a foin…

puis une nouvelle couche de paille et de barbotine. et on retouille a la fourche.

et y a plus qu’a…

pendant ce temps la, julie s’occupe de la décoration intérieur de sa chambre et décide de l’emplacement de son lit. notez le soucis du détail, même son « maôuu » est bien en place sur l’oreiller 🙂

et pour finir, c’est quoi donc, a votre avis ?

c’est juste une barrière anti hirondelle, aussi têtue que bornée. pendant trois jours, on a eu la visite d’un couple d’hirondelle qui venait tester nos solives dans le but non avoué de finir squatteur et de faire leur nid. la première fois, c’est crôôô mignon, mais quand elle passe une bonne dizaine de fois par jour… bin heuuu… même en leur gueulant dessus pour les effrayer, bin, compte la dessus et boit de l’eau.

alors qu’on soit bien, d’accord, j’adore les hirondelles, c’est même le plus bel oiseau qui existe selon moi et on serait ravi qu’elle viennent squatter nos rampants mais l’intérieur de la maison, niet ! ça me fendrait le cœur de devoir casser le nid si on les avait laisser faire. donc, apparemment c’est efficace et elle ont du trouver un autre endroit. pas trop loin, j’espère…

ps: ‘tain, j’ai même pas dit du mal du tour de france… bon, allez pour la forme, vive le tour de france ! aux états unis ! ça, ça serait original, que diable !

Ma meuf, ma douce, mon aimée.

une fois n’est pas coutume, en ce jour anniversaire des 0.10392361111111 baktun ( en calendrier maya, je vous laisse chercher, hein ? : -) ) d’estelle, alias, madame, alias dame estelle, nous allons causer de la condition féminine en milieu autoconstructible a tendance boueuse.

car, en effet, si c’est moi qui cause dans le poste, si c’est souvent ma gueule qu’on voit sur les photos, il ne faut pas oublier dame estelle, qui envoie grave du pâté , sans trop se faire remarquer.

donc, ce petit message, juste pour lui souhaiter un bon anniversaire et puis rappeler que je suis pas tout seul a bosser et que sans elle, j’aurais pas fait grand chose.

entre gérer nos petit trésor, adorable au possible, mais qui peuvent comme tout enfant qui se respectent, se transformer très rapidement en trolls des montagnes miniatures, avec tout ce qu’implique l’attention que demande ces même enfants, la fatigue accumulée, la gestion de la maisonnée qui lui incombe majoritairement, ( oui, j’ai honte, même si je fais de mon mieux pour l’aider ), sa faculté surhumaine a me supporter, moi, mon langage fleuri et ma mauvaise habitude consistant a monter dans les tours, dés que quelque chose me les brisent menu menu ( c’est peut être bien le plus gros boulot… les feuilles d’arbres tremblent, les limaces se planquent, les insectes vont se suicider dans le bec des hirondelles, a la seule évocation de la grue et de son découpage avant récupération par le ferrailleur ) et bien, y a juste a l’applaudir et s’incliner bien bas.

donc, voila, c’est ma meuf, mon doux amour, mon aimée.

De tout et de rien en attendant de jouer de la minipelle

j’étais parti pour m’octroyer généreusement une recréation menuiserie mais les journées n’étant point assez longue, ça sera pour une autre fois.

car anéfé, le tout a l’égout est pour dans 15 jours et me lancer dans une rambarde de mezzanine, un escalier ou bien une porte d’entrée sans être sur de pouvoir la finir, c’est la plantade assuré, si je suis obligé de mettre de coté le boulot commencé et de le reprendre plus tard. je commence a me connaitre et je préfère passer mon tour.

donc, en attendant, on prépare le chantier pour que je puisse faire mon kéké avec ma mini pelle toutes options ( et gyrophare sur le toit, s’il vous plait ).

maintenant que j’ai un beau compteur électrique, on a modifié l’alimentation générale électrique et supprimé le coffret de chantier intermédiaire ( en vente sur le bon coin 😉 ) qu’on avait posé au départ.

au début du chantier, on avait aussi posé une belle gaine avec 35 mètre de câble dans les règles de l’art, fil et gaine de bonne section, et tout et tout mais si la gaine va rester, le fil est bon a vendre. on dit merci ERDF qui m’a dit que mon fil, je pouvais me le mettre ou je pense ( les intestins humains sont très long, ça devrait passer ) et qu’au moment du raccordement définitif, ils utiliseraient bien ma gaine mais qu’ils mettraient leur câble a eux, le même que j’ai posé, hein, sinon, c’est pas drôle mais en noir très foncé alors que le mien n’est que noir et qu’il n’y a pas marqué ERDF dessus et que l’électricité qu’il transporte me coutera moins cher. non, j’deconne. . et si ça, ça fait pas la différence…

bon, sans vouloir chipoter, cette bonne blague devrait quand même, nous couter dans les 1500 boules. bon, certes, c’est du travail de professionnel mais ça fait un peu mal au fondement…

du coup, on a sorti notre câble et on l’a repassé dans une gaine provisoire pour pouvoir le bouger et me faciliter les déplacements avec la mini pelle sans lui rouler sur la tronche. a défaut, j’espère pourvoir le revendre donc autant ne pas l’abimer.

on a fait pareil pour l’alim’ de l’atelier qui arrive désormais au compteur dans la maison

je me suis aussi remis a la plomberie et ces évacuations.

rien de bien intéressant, donc, juste quelques photos.

pendant ce temps, dame Estelle a envoyé un grand coup de ménage pour nettoyer les résidus de chantier électrique et y avait de quoi. j’en avais mis de partout, un vrai sagouin !

puis elle a repris au scotch alu, tous les boitiers électriques dont le scotch s’est déchiré, lors de la pose, le serrage des boitiers etc…

et entre deux bricolages, je me suis mis au plan de la rambarde de la mezzanine et de l’escalier.

pour la mezzanine, on a enfin trouvé une forme définitive. on a fait plein de versions différentes, classique, croix de st andré, moderne etc… mais on voulait un truc original. donc après maintes essais, on s’est arrêté, la dessus. le tout, en frêne des familles.

pour ce qui est de l’escalier, pas pareil. aïe, aïe, j’y voyais plus simple… ça va être coton a réaliser.

c’est un premier jet et il faut que je vérifie toutes mes cotes mais ça devrait ressembler a ça.

en fait, c’est ce foutu angle a 45 ° qui me met dedans. tout les escaliers du commerce, en dimensions standard n’ont pas d’arrivée pour le quart tournant en 45°. c’est droit ou 90 °.

et les plans que j’ai pu trouver n’ont pas cet angle a 45°. du coup, j’ai triché en utilisant un escalier dispo sur la banque d’image de sketchup ( merci a « lolomilastef » ) que j’ai adapté a ma sauce.

la dessus, on rajoute un poteau, pas super bien placé, une hauteur sous entrait de 1.9 m ( bon, avec mes origines de vikings qui a oublié de grandir, j’y passe dessous, les bras levé ) mais c’est limite, limite et faudra que je fasse gaffe quand je porterais mes plateform boots de dragqueen ( oui, moi aussi, je veux faire des paniers de basket sans devoir prendre un escabeau et non, c’est pas de la triche, c’est une variante de la théorie de l’évolution )

le week end prochain, normalement, on coule la dalle de poêle de masse. ( enfin. )

après moult recherches, on s’est arrêté sur du liège pour isoler la périphérie et béton de vermiculite armé pour remplir le bouzin.

on était parti pour un béton de liège ou de chanvre mais on arrive pas a trouver de donnée précise sur la résistance de ces bétons ( ou je les comprend pas… ) et même si c’est pas pour tout de suite, le poêle de masse est toujours d’actualité et la dalle devra donc supporter son poids.

ça devrait être suffisamment isolé pour ne pas faire un beau radiateur froid en plein milieu de la maison.

niveau électricité, j’ai fait mes plans spechiole consuel. j’ai utilisé le logiciel 1.2.3 schéma de hager. même si je l’ai trouvé par terre, dans le caniveau de l’internet mondial, je suppose que mon fournisseur aurait pu me fournir une copie au regard de la facture qu’il m’a donné a régler mais ça reste a prouver. sinon, vous avez qu’a demander a votre tonton d’amerique de vous l’envoyer en VHS betacam 33 tours.

sinon, très bon soft mais réservé au matos hager.

il suffit de placer les références hager des disjoncteurs et inter diff dans l’ordre de son tableau et il te pond tous les schéma demandé. même les étiquettes a coller sous les disjoncteur pour savoir qui fait quoi. c’est t’y pas magique.

voir même qu’il te calcule le pourcentage d’occupation de ton coffret. et la, c’est le drame… les 20 % de réserve obligatoire… et bin, j’en avais royalement 9%. et m…

donc, sur les conseils de la stebanie familly j’ai déporté les deux prises électriques du coffret sur le coté de la GTL pour arriver a 21 %. juste mais suffisant.

ça ressemble a ça.

la dessus, je me suis fait des plans perso que je peux comprendre ( non, parce que le schéma technique, heuuu… écrit en madarin, j’y comprendrais quelque chose alors que la… ) ça me permettra de savoir qui fait quoi et quel prise ou inter est branché sur qui. imprimé et dispo a coté du compteur, ça facilitera les éventuelles intervention futur.

pour finir, j’ai mis a jour la page des chantiers participatifs. cette année va être particulière et compliqué a ce sujet mais je vais pas me répéter et si ça vous intéresse, c’est par ici !

Le meilleur de la télé et de TF1 en particulier.

dire ce que je pense après la lecture de cet article violerait définitivement les règles de la bienséance et pourrait faire l’objet d’une fiche wikipedia a moi tout seul sur l’utilisation de gros mot très très vulgaire en situation de dégoût profond.

bon, finalement, je m’énerve, mais est ce qu’il y a de quoi être vraiment étonné ? c’est leur fond de commerce, après tout…

après la meilleure diffusion possible de cet article pourra, peut être réduire considérablement leur liste de client pigeon potentiel. bien que mon coté cynique m’en fasse grandement douter… ( vous savez le quart d’heure de gloire façon warhol )

bon, et sinon, ça va vous ? non, parce que nous, on glande grave velu, que c’en est une honte, ma bonne dame. oui, oui, électricités, tout ça, tout ça… j’y pense… ( et puis j’oublie, c’est la, c’est la vie 🙂 )

L a maison feuillette, maison en paille depuis 1920 ou comment prouver que la paille est durable.

ce petit post pour relayer l’appel a don pour le rachat de la maison  » feuillette  » qui est, la première maison en paille construite en France par  » l’ingénieur feuillette « , ( j’adore le terme qui fleure bon le début du siècle ) précurseur et visionnaire dans la construction paille.  j’ai d’ailleurs du mal a m’imaginer l’idée qu’on devait avoir de lui, quand on voit que l’on passe toujours en 2013 pour des originaux…

c’est le centre national de la construction paille qui souhaite en faire ces locaux pour la promotion des maisons paille. l’assoc des compaillons est dans le coup, donc, ça ne peut qu’être une bonne idée !

ça se passe ici: http://maisonfeuillette.compaillons.eu/accueil

voila, l’idée est louable même si au regard du prix de vente et des dons déjà reçu, c’est loin d’être gagné. mais on ne sait jamais… un petit don surprise de mamie liliane équivalent a une demi seconde de sa rente journalière et c’est dans la poche !

son prix de vente est d’ailleurs le bémol qui me gêne un peu. il est surement justifié pour une maison, somme toute nickel, en paille, promouvant la paille dans le temps et l’avenir ( si le projet de rachat abouti ), mais avec des prix de grande agglomération pour ne pas dire  » parisien « …. et pour moi, ça revient a cautionner la politique des prix de l’immobilier qui font que tant de personnes ont, soit du mal a se loger soit, doivent s’exiler et se cogner des transports sans fin pour aller bosser. mais je m’égare et cette observation ne changera pas notre beau monde moderne… et je suppose que les proprios, même animés de toutes les bonnes intention du monde esperent surement rentrer dans leur bille.

m’enfin, s’il arrive a leur fin, tant mieux !

a votre bon cœur m’sieur dame !