dire ce que je pense après la lecture de cet article violerait définitivement les règles de la bienséance et pourrait faire l’objet d’une fiche wikipedia a moi tout seul sur l’utilisation de gros mot très très vulgaire en situation de dégoût profond.
bon, finalement, je m’énerve, mais est ce qu’il y a de quoi être vraiment étonné ? c’est leur fond de commerce, après tout…
après la meilleure diffusion possible de cet article pourra, peut être réduire considérablement leur liste de client pigeon potentiel. bien que mon coté cynique m’en fasse grandement douter… ( vous savez le quart d’heure de gloire façon warhol )
bon, et sinon, ça va vous ? non, parce que nous, on glande grave velu, que c’en est une honte, ma bonne dame. oui, oui, électricités, tout ça, tout ça… j’y pense… ( et puis j’oublie, c’est la, c’est la vie 🙂 )
J’ai beaucoup fait partie de bénévoles dans le batiment. Nous n’avions pas la mème optique, mais pourtant j’aurais révé d’en faire autant. Mais nous revenions souvent sur les chantiers pour voir ce que devenaient les habitants.
Nous n’avions pas les épaules pour faire ça, dommage :
http://www.bastamag.net/L-ecovillage-bati-a-l-envers-qui