Isolation et mise en beauté des rampants.

En ce début d’année 2019, on a enfin pris le temps de s’occuper des rampants.

Car mine de rien, par grand vent, la toiture était le point faible de l’hiver, a cause des courants d’air qui se faufilaient sur une belle surface. Le parepluie, la paille et les planches en dessous était tout sauf étanche a l’air.

Nous voila donc, parti pour la pose d’une membrane anti ours blanc 🙂

Le tout agrafé et accompagné d’un petit filet de silicone spécial, pour coller et renforcer l’étanchéité du bouzin.

Allez, dit le, que tu as une envie irrépressible de lustrer ce magnifique crane dégarni ! dis le ! avoue !!!!

Et pour parfaire le tout, une bout de scotch qui va bien pour finir de refermer le tout correctement et de tendre vaillamment un majeur rageur au courant d’air ! non mais hô ! ça caille l’hiver !

Voila… la, c’était fastoche…

Une minute… je vais revêtir mon magnifique collant de super héros elastique et utiliser ma souplesse légendaire pour poser ce foutu pare vent dans les endroit les plus incongrus.

Pendant que je faisais le zouave en altitude et en équilibre précaire, madame s’occupait de reboucher les jonctions avec la charpente, qui elle aussi, provoquait des courants d’air, du a la rétractation de la terre en séchant.

Un petit coup de grattoir pour agrandir et permettre une meilleure pénétration de la terre dans les fentes.

et re-bourre pifs aux courants d’air !

une minute a nouveau, s’il vous plait… j’enfile mon costume de l’incroyable équilibriste et monte mon échafaudage avec l’aide de Julie, pour accéder aux parties les plus rigolote de la maison.

alors pour cette partie et pour m’éviter de la manutention d’échafaudage inutile, j’ai posé le pare vent et le lambris de finition dans la foulée. des fois, je réfléchis…

Bon… et ainsi de suite, vous avez compris le principe. pour qu’au final, ça donne ça.

allez avec moi ! hôôôô ! haââââ ! c’est bôôôô !

Enfin voila. deux mois de boulot mais ça fait classe. et surtout le probleme des courants d’air est réglé. il en reste surement quelques uns dans des endroit inaccessible mais dans l’ensemble, on a ressenti la différence rapidement.

Le secret, c’est supprimer les ponts thermiques.

et avec ma ligne de paille qui avait pourri, j’en avais un tout petit de 50 cm par 7 mètres de long. une paille, quoi… ( police de la vanne pourrie ! attention, alerte jeu de mot foireux, flashé a 8/10 sur l’échelle roucassienne )

donc, le challenge consistait a remettre des bottes de pailles par en dessous et en remontant alors qu’elle ont été mise par le dessus et en descendant. ( oui, j’adore me faire ch… sinon, c’est pas drôle, voyons… )

j’ai commencé par découper les flancs des poutres en I afin de pouvoir insérer la botte

puis a l’aide de sangle et de mes poulies préférées, on a tiré les bottes par le bas. enfin tiré… on s’est pété les bras, oui ! une fois dedans, ça pouvait aller mais l’insertion… sportif !

et une fois arrivé en bout de poulie, on finissait au persuadeur ( lourd, le persuadeur… )

on en a profité pour insérer des réservations pour passer les tuyaux des futurs éventuels capteur solaire, que j’avais complètement zappé au moment de la toiture.

et le résultat…

puis j’ai remis les flancs précédemment découpé avec une chouille de colle et quelques vis.

restera plus qu’a rhabiller les rampants proprement mais ça, on verra plus tard…

vendredi, je me suis aussi remis sur mes poutres en I du plancher et j’ai poncé les excès de colle pour pouvoir mettre mes fonds osb.

pour finir, mon pied de poteau abîmé. suite a vos conseils et surtout a l’aide de toto la bricole ( comme d’hab’, quoi ! ) je ne devrais rien toucher. je vais quand même consolider par en dessous avec du bois ( reste a trouver la meilleur technique ) pour être sur du coup, mais je vais m’épargner le remplacement du poteau abîmé qui s’avérait bien compliqué.

le futur me dira, si je me goure mais ça devrait le faire.

plus qu’a espérer que ce n’étais qu’un accident de début de saison et que les emmerdes ne vont pas, a nouveau s’accumuler a un rythme aussi soutenu que des dons de vielle dame très riche a des hommes politiques.

i’m singing in the rain ( m’en fout maintenant, j’ai une toiture ) i’m singing in the rain, i’m sing…

hééé oui, on y croyait plus, c’était quasiment de la science fiction mais on est hors d’eau !

Le regretté site grapheine permettant de réaliser des montage idiot mais tellement drôle sur des vielles vidéos bollywood ou le kitsch se disputait avec le bon gout et l’extravagance qui caractérise ce style cinématographique n’est malheureusement plus en ligne ( une vrai perte pour l’humanité )

cette semaine, c’est Pierre-louis qui est venu nous prêter main forte et on l’en remercie grandement !

on a commencé par poser les poutres du toit nord. bon, comme d’hab’, hein ?

puis après avoir poser toutes les poutres juste avant l’angle, on est passé de l’autre coté pour finir de liteler partiellement.

et nous voila, fin prêt pour pailler le bouzin…

on a fait la trémie pour poser le velux. en passant, soit je suis pas fûfûte, ( a envisager… ) soit la doc de montage des velux est digne du meilleur plan de montage de l’aglaglagluk d’ikea.

c’est tout sauf clair, pas une ligne d’explication, que des dessins et avec leur référence a la c… ( GGL BGL LLGB ) t’envrave queud’ de quoi qui cause. je me serais cru devant un schéma électrique… gné ?  🙂

la difficulté étant d’arriver a caser le velux entre les pannes, a une hauteur acceptable ( surtout pour des personnes a croissance réduite comme nous ) et en visant le bon rang de tuile pour que ça colle. pas simple tout ça.

bon, après une bonne heure de mesure dans tous les sens, j’espère avoir piger et ne pas m’être planter. on verra bien…

puis j’ai agrafé du pare-vapeur pour fermer la pointe de l’angle du velux ( pour le dégagement intérieur ) et isolé le tout a la ouate de cellulose.

pour le bas, je ferais un coffrage classique.

une fois fini, on est passé a la pose des poutres de l’angle et de la centrale pour commencer.

puis on est passé au découpe d’angle… et ce fut plus compliqué que pour l’autre coté.

car si je me suis planté dans mes mesures pour le toit sud, un coup de scie a réglé le problème facilement mais la, pas d’erreur de possible car il faut faire une découpe particulière en bas de la poutre. donc, le rattrapage au branche a coup de scie ne marche pas.

on a donc pris les cotes en se basant sur la planche de rive ou sera fixé la gouttière et de mon coté en faisant une projection de l’angle.

et ça c’est pas trop mal passé. c’est pas nickel, mais je m’attendais a pire et c’est en tout cas, largement suffisant.

et la dernière de posée ! yes !!!

c’était aussi la fin du coup de main de Pierre-louis. encore un grand merci a lui pour son aide

et hier on est passé au remplissage des angles.

cette fois ci, c’est par en dessous qu’il a fallu rentrer les bottes… on avait prévu le coup en rajoutant 1 cm supplémentaire d’entraxe entre les poutre en I pour faciliter le passage des bottes mais malgré ça, il a fallu écarter les poutres avec un serre joint pour faciliter la montée.

même comme ça, ce fut sportif et j’avais qu’une crainte, c’était que mon support de poulie situé juste au dessus de moi, ne lâche et que je me le prenne en pleine tronche ( avec élan ) mais il a tenu le coup, pépére. il en aura tiré du poids ce bouzin !

HÔÔÔ…

HISSE !

on en a bavé mais c’est rentré. on se demandait comment ça allait se goupiller cette affaire. si ça le faisait pas, on allait devoir isoler l’ensemble en ouate de cellulose et ça risquait de faire du volume…

cette fois ci, on s’est pas faire suer a faire des bottes en pointe pour rentrer le plus loin possible dans l’angle comme pour l’autre coté, on a isolé les pointes en ouate de cellulose. acht’ plus simple.

puis on est descendu tranquillement…

on a bloqué les bottes avec du feuillard. c’était plus simple et en lui tirant sur la gueule avec une vis, ça finissait de comprimer la dernière botte.

pour finir l’angle, on a fait un coffrage en pare vapeur

et le tout rempli en ouate.

et… et… et…TADÂÂÂÂM !!!

hors d’eau ! bordel ! c’est un grand pas qu’on vient de faire !

allez cette semaine, litelage, pose du velux et du conduit de cheminée et tuilage en fin de semaine si tout va bien !

Reste 2/4 d’angle de toit…

suite et fin du toit sud avant tuilage

même technique que les autres, on change pas une équipe qui gagne.

par contre, encore une truc qui m’échappe… autant de l’autre coté, les poutres arrivaient pil poil au niveau de la centrale autant de ce coté, j’ai deux centimètre de décalage en hauteur… pourquoi ? bin… heuuu…

m’enfin, bon, c’est posé. on verra bien a la pose des liteaux si ça pose problème. va sûrement falloir tricher une chouille.

on a ensuite mis la paille. ce fut bien plus pratique car les échelles de toit était de l’autre coté du toit avec l’échafaudage en dessous. j’ai pu mettre les bottes sans me transformer en contorsionniste du cirque bouglionne.

puis pare pluie et nous v’la avec un toit sud étanche. ( enfin… )

allez, je suis en vacances deux semaines et ma mission si je l’accepte est de finir cette…

Reste 3/4 d’angle de toit.

on a enfin attaqué l’angle de la toiture… trois jours de beau de prévu, une RTT sous le coude nous donne un quart d’angle de toiture de fait.

on a commencé a poser la poutre centrale. bizarrement… ça s’est passé comme sur des roulettes ! les angles de découpe sont bon, la hauteur aussi ( alors, la, mystère, j’étais persuadé de m’être planté… ) et mis a part l’inconfort de la pente en angle, tout s’est bien passé ! What The Fuck ! ( ou dans sa variante canadienne: ouate de phoque )

je suis passé ensuite a la découpe en angle des bout de poutres. et j’ai épuisé mon stock de chute de poutre en i crash test pour tenter de trouver la bonne méthode.

juste 6 essais avant de trouver une découpe, a peu prés potable, pas parfaite mais ça fera l’affaire.

finalement, on a posé la première poutre. et si l’angle est pas trop dégeu…

je m’ai gourré sur la longueur… arghhh ! bin, y a plus qu’a couper ce qui dépasse et le tout dans une position très confortable.

la première poutre, je l’avais mesuré avec mon télémètre laser et faut croire que c’était pas une bonne idée. pour les suivantes, j’ai donc fait une cale, de la largeur de l’entraxe des poutres et qui m’a servi de base pour mes mesures.

et pour les suivantes, il n’y pas eu d’autre erreur de longueur.( il progresse tous les jours le gars… )

j’ai ensuite découpé en angle quelque botte afin de mettre le plus possible de paille dans les angles

et y avait plus qu’a monter la paille. mais la, pas pareil…

pour rappel, pour les pans de toit droit, on posait les poutres d’un coté et on passait de l’autre pour y glisser la paille en étant en face des poutres. mais la, point d’échafaudage de l’autre coté pour monter les bottes de paille car on l’utilise pour monter les poutres en i et encore moins d’échelle de toit comme point d’appui.

donc, il a fallu opérer en mode acrobate. et j’en ai grave ch… se tenir soi même, en même temps que la botte tout en essayant de l’enfiler dans les poutres et le tout en équilibre très précaire, ça use grave.

en fait, j’en ai vraiment bavé pour les premières. ensuite, madame a réfléchit a ma place 🙂 et avec l’échelle de toit entre les poutres, ça serait pas mieux ?

en effet, c’est vachement plus facile. toujours rock n’roll une fois, en haut mais pour la montée, c’est ach’ mieux.

j’ai merdouillé la première botte en angle. j’ai oublié de faire la rainure sur les angles et je l’ai un peu trop tassé. résultat, la poutre centrale qui fait la gueule…

j’ai bien essayé de remonter la botte mais j’ai abandonné tellement elle était écroulé de rire en me voyant pousser, taper, pied de bicher… queud’ ! une fois dedans, c’est plié, ça bouge plus. j’ai réussi a rattraper le coup au serre joint et mis un bout de feuillard pour bloquer le tout.

pour cette angle la, on a fait un coffrage en pare vapeur car il dépassait de la toiture et n’avait pas de volige dessous. et on l’a ensuite remplie de ouate de cellulose.

puis on a enquillé les autres bottes.

rempli les angles avec de la ouate de cellulose.

pour finir par un litelage en règle. on va pouvoir attaquer l’autre coté.

allez, ça sent la fin. y a encore du boulot mais on y croit !

et pendant ce temps la… ‘tain… une vie de chat… ça doit vraiment être terrible

‘garde donc !

tu vois, non ? t’y a compris le coup ? non mais vas z’y, regarde bien ! tou pige ?

mais oui, en effet ! comme tu es perspicace ! quel fin observateur, tu fais !

les premières lais de parepluie sont fini de dérouler !

et ? et ? et ? ça sent le début de la fin de cette fucking bullshit de toiture !!!

et a la fin, c’est nous qu’on va gagner !

la suite demain. c’était juste, que… il fallait que ça sorte, ça m’a presque fait pleurer les yeux tellement j’étais émotionné devant un tel spectacle qui signifie que je vais bientôt pouvoir ranger les échelles et le harnais. et ça… franchement… tiens, allez, ce soir je me saoule la gueule au champomy !

Paille dans le toit, deuxième round !

Bon, j’ai pas inventé l’eau chaude mais généralement, quand je fais une ânerie, j’essaye de pas la reproduire. hein, un minimum, quand même.

Donc, j’ai commencé par clouer mes liteaux pour compenser la hauteur manquante.

Avec l’aide de beau papa, on a retaillé une fois de plus, les bottes.

Z’avez vu le regard suspicieux de beau papa? 🙂 mais si, mais si,  je sais ce que je fais ! 🙂

Pause syndicale !

Pour rentrer les bottes, ze technique:

Tu pose délicatement la botte

Et tu lui saute a pied joint sur le coin de la figure

Et pour bien lui faire comprendre, qui c’est le boss, la meilleur technique, c’est de lui maraver la tronche avec une fourche pour qu’elle épouse parfaitement le fond du coffre.

Ça use physiquement mais on avance quand même…

Et vu qu’on s’y est pris tôt, on a pu poser le parepluie

réflechissement jean pierre …

Et le résultat…

Et on a bâché le faitage par sécurité

Et ça sera tout pour aujourd’hui…

Pose du pare pluie sur le premier pan et ânerie ( une de plus…)

Avec une météo trééés taquine, j’avais moyennement confiance dans mon bâchage provisoire, j’ai donc décidé de poser le pare pluie sur ce pan de toit.

Et les âneries venant toujours par deux, je commence a poser mes panneaux et… je trouvais que le pare pluie gondolait un poil… mais étant le nez dessus, je n’ai pas vu l’ampleur de la catastrophe…

Même syndrome que pour l’espacement des chevrons, les bottes de paille dépassaient très légèrement des chevrons mais sur la hauteur. Et dans mon idée, je m’étais dit qu’en vissant le pare pluie, bah, la paille allait s’écraser… c’est c’la, ouuuiii

MMoouuaAAAhhaaaaa. compte la dessus et boit de l’eau !

Donc, en descendant de mon toit, j’ai vu que mon toit formait une magnifique vague, très joli, au demeurant mais pas génial pour poser des tuiles droite…

Eeettt mmeeerdddee…. ( pardon pour la grossièreté mais elle cadre parfaitement avec la situation 🙂 )

Alors, kekil a fallu faire ? hein ? et bien dévisser toutes les vis par rangée a l’aplomb des chevrons, pour pouvoir glisser un liteau sans démonter tous les panneaux. heureusement que je les ai pas cloué, sinon, j’étais mal…

Ce fut rock n’roll mais ça m’apprendra !

On voit bien, sur cette photo…

Pour finir, la leçon, tu retiendra, jeune padawan autoconstructeur…

En toute fin de journée, je mettais en catastrophe les deux derniers panneaux de pare pluie avant que ça se mette a flotter vraiment, et l’échelle a glissé.

Je suis tombé sur le fondement entre les barreaux de l’échelle et pour fignoler le tout, respectant les lois de la gravité, qui dit que tout panneau de pare pluie non fixé, subit une attraction vers le bas et qu’il vaut mieux pas être sur son chemin… Pas de chance, je l’ai pris dans la courge… sur le haut du pif. Ça va que c’est pas trop lourd et souple. ( Y avait la forme de mon nez dans la languette:-) ) Mais je l’ai bien senti passer. Je m’en tire bien quand même, ça aurait pu être plus grave, deux mètres, c’est pas très haut mais quand tu tombe comme une bouse, sans pouvoir te rattraper, déjà ça peu mal tourner… mais quand tu réalise pas trop se qui vient d’arriver et que tu te prend le deuxième effet kiss cool, a savoir, un panneau pare pluie en pleine poire, ça calme et fait réfléchir…

Résultat, j’ai pris une bonne châtaigne dans la colonne vertébrale et les petites douleurs que j’avais déjà ne se sont pas arrangée.

Çà aussi, ça m’apprendra a faire attention… Vitesse et précipitation sont les faux amis de l’autoconstructeur…

L’isolation du toit

En avant pour la paille !

J’étais parti pour me monter les bottes a l’ancienne avec mon échelle et mes p’tit bras musclé et v’la t’y pas que Michel ( ancien paysan a la retraite ) vient me voir et me dit: j’ai un convoyeur, ça vous dirait que je vous le prête pour monter vos bottes sur le toit?

Heeuuu, oui, mais c’est quoi t’est ce, un convoyeur ? Un espèce de tapis roulant qui sert a monter les bottes de foin au grenier.

Heuuu et bien comment dire… c’est avec plaisir que j’accepte vos offre. Bisoooouuu ! 🙂 Heuuu… bon, on se serre la main, alors ?

Alors, le gars me prête son convoyeur, me fournit le jus car il tourne en triphasé, me bricole une rallonge pour le brancher de chez lui et en plus bricole aussi, un genre d’interrupteur pour l’allumer et l’arrêter a demande.

Il est pas sympa le père Michel ? C’est vraiment agréable d’avoir des voisins sympa, j’vous le dit !

Donc, le bestiau au boulot !

Bon, maintenant, faute avoué est a demi pardonné…

J’ai eu la grande idée du moment en posant mes chevrons…

J’avais prévu un espacement de 40 cm, me disant que les bottes rentreraient, en forçant un peu et ça n’en serait que meilleur. Mouaip… Bin, non, c’était bien 40 cm qu’il fallait, voir même 39 cm.

Impossible de rentrer les bottes avec seulement 1 cm de trop, les premières qu’on a recoupé, on s’est dit qu’il fallait enlever 2 cm a tout péter, bin, non, aussi. C’est bien 40 cm qu’il fallait. Dans tous les cas, il a fallu toutes les reprendre, une par une a la tronçonneuse pour les réduire a 40/41 cm et même comme ça, j’ai souffert pour les rentrer…

Heureusement que Michel et Maurice était encore la, pour me filer la main sinon, j’étais pas arrivé…

Alors, les bottes de pailles se coupent très bien a la tronçonneuse mais, c’est la tronçonneuse qui apprécie moyennement… il faut la débourrer régulièrement. Bon, par contre, ça fouette. Ça libère un délicat parfum d’odeur de moteur deux temps bien prononcé qui n’est pas des plus plaisant mais bon, pas le choix…

C’est pas tout de les couper, faut les poser…

Du coup, on a réussi a finir un pan de toit qu’on a bâché par sécurité

Et le résultat de mes âneries sous forme de « chute » de paille