Un coup de main ? mais bien volontiers !

ça y est, on est dans les starting block !

le chantier est fin prêt, les premiers arrivages de bois, le groupe électrogène et la livraison de matériau pointe le bout de leur nez, vendredi si tout va bien.

on commence par les poutres en I, ça me laisse quelques jours pour en faire le max avant l’arrivée de la charpente.

donc, si vous avez que ça, a faire, on aura du boulot pour toutes les âmes de bonne volontés.

au programme, poutre en I, rabotage, ponçage, taille de botte de paille etc…

le tout sur 3 semaines, a partir de vendredi.

début juin, nicolas vient nous filer un coup de main pendant deux semaines mais plus on est de fou…

voila, voila. on passe aussi en mode abandon de blog. le résultat des courses pour le 15 juin.

Et maintenant une page de pub ! PROTOOL, c’est trop de la balle !

bin, oui, c’est franchement pas une habitude mais…

faut que je vous cause de mon nouveau jouet.

rhhâââ, vindieu de vindieu ! ça, c’est du matos !

pour rappel, j’avais eu quelques soucis ( pléonasme ) avec ma visseuse makita MXT que j’avais payé un bras.  et je parle pas de la disqueuse makita qui a battu le record de durée de non travail  ( 10 mn avant de cramer… )

donc, fallait que je repasse a la caisse car une visseuse, c’est l’outil indispensable.

après avoir écumé les sites internet des fabricants et les vendeurs du coin, il en ressortait que possédant deja une bonne perceuse ( bosch bleu ) la fonction perceuse ne m’était pas indispensable et plusieurs vendeurs m’ont orienté vers les visseuses a choc.

c’est pas très connu car ça coûte très cher et ça ne fait que visseuse…

le principe est le même que les boulonneuses des marchands de pneu, c’est un marteau qui « tape » sur le mandrin dans le mécanisme interne et qui visse donc par a coup et non en force. ça rentre quasiment tout et sans faire forcer le moteur.  c’est les « chocs » qui travaille a la place du moteur. par contre pour le perçage… pas sur que ça le fasse.

donc, un bon « mono » produit mais qui tape dans les 500 €…

puis je suis tomber la dessus: http://www.bosch-pt.fr/boptocs2-fr/Artisanat/Industrie/Outils/FR/fr/gw/Visseuses+%C3%A0+chocs+sans+fil/104636/GDR+10%2C8-LI/24265/index.htm

même principe mais en moins puissant que les machine a 500 €. on les trouve dans les 200 € avec une visseuse classique supplémentaire. et vous remarquerez qu’avec un si petit machin, c’est deux fois plus puissant qu’une visseuse pro en 14.4 v.

donc je me tâtais sur ces produits entre les différentes marques.

bosch bleu: garantie 3 ans mais pas les batteries

dewalt: excellente réputation mais garantie 1 an… et pas les batteries non plus

et le challenger: metabo. garantie 3 ans visseuse et batterie

bon, makita… heuu comment dire… hors concours ! 🙂

et puis par le hasard de mes errances sur le net, je suis tombé sur une promo PROTOOL. et la, de suite, ça m’a parlé !

PROTOOL, c’est la gamme charpente de festool.

étant plus que satisfait de ma scie circulaire plongeante festool, je me suis penché sur les caractéristiques du bestiau et la, j’ai cru qu’il l’avait fait rien que pour moi.

ils se sont dit: l’autoconstructeur jurassien a sûrement besoin, d’une perceuse, d’une visseuse et d’une visseuse a choc si ca suffit pas. et pourquoi faire deux machines quand on peut tout faire avec la même. hein, pourquoi donc ?

bah, voila, c’est la différence avec les autre marques et qui fait que c’est du vrai matos de pro.

donc, grâce a ce sélecteur:

on passe du vissage avec débrayage automatique pour les vissages fin, a la fonction perceuse et pour finir a la visseuse a choc de bourrin qui dépote ! 200 Nm !  ( 50-60 Nm de moyenne pour une visseuse classique pro ). le tout garantie 3 ans machine et batterie incluse. et la garantie festool, c’est le top du top ! en cas de problème, ( quoi ça ??? ) ça retourne direct chez festool, pas chez un sous traitant qui s’occupe de 50 marques et qui regardera votre machine quand il aura le temps…

le petit plus, protool-festool, le mandrin centrotec qui permet de passer rapidement du porte embout,  au mandrin, en passant par le renvoie d’angle. tres pratique dans le feu de l’action. par contre, le prix des accessoires te font réfléchir a deux fois si t’en a vraiment besoin 🙂

bon, je l’ai essayé tout a l’heure et y a pas photo ! les tires fonds et les vis de 180… comme dans du beurre ! par contre, ca fait du barrouf’ ! en utilisation prolongé, fonction visseuse a choc, il vaut mieux porter un casque anti bruit !

enfin voila, c’est vraiment de l’excellent matos ! c’est plus cher ( hors promotion ) mais ca les vaut largement et finalement pas tant que ca, car vous avez l’equivalent de deux machines qui couterait dans les 700 €.

alors vu que je suis sympa comme gars, voila le lien ou je l’ai acheté : http://outilmania.fr/perceuse-visseuse-batterie-li-ion/4380-perceuse-visseuse-a-chocs-protool-idc-15-2-tec-li.html.

310 €, c’est même plus un bon prix ! c’est du pousse a la consommation !

c’est la première fois que je commande chez eux mais ils sont super sérieux. reçu en 48 h et frais de port gratuit.

c’est de la vente flash, donc, je suppose qu’il ne faut pas trop traîner.

kit de déplacement machine a bois

ça se vend dans le commerce ces bêtes la, mais ça coûte un bras ( 160 € de moyenne… ) ça fait une peu cher pour bouger sa machine…

donc, super bricolo bill est reviendu et en s’inspirant des kit commerciaux, il a pondu ça.

une premières version avec roue caoutchouc a foiré, le poids de la machine écrasant complètement le caoutchouc, donc roue polyamide spechiole charge lourde.

de l’autre coté, le bitonio qui sert de support de levier fabriqué avec deux renfort d’angle de volet. c’est juste, juste mais ça tiens le coup…

et la canne qui sert de levier. c’est pareil, l’angle coudé demanderais a être renforcé pour éviter qu’il ne faiblisse.

ça se bouge pas avec deux doigt mais plutôt a deux personnes. un qui dirige et l’autre qui fait bouger la baleine morte. c’est que ça pèse une machine a bois… et j’ai viré tout ce qui peut être viré pour gagner du poids. m’enfin, ça marche et ça m’est revenu a 50 € max.

pour la sortir, il va falloir faire une rampe nickel, sinon, ça m’étonnerais que je puisse lui faire prendre l’air. il me faut au moins la sortir de l’atelier, après je peux la choper a la grue.

Aire de fabrication de poutre en I

Vu qu’on va se lancer dans une quasi production industriel de poutre en I, je me suis dit qu’un endroit spechiole fait pour, serait plus pratique et ferait gagner un peu de temps.

j’ai commencer par ratisser l’endroit choisi en fonction de la place disponible et surtout du passage de bulldozer qui m’a  méchamment mâché le travail. ( et je l’en remercie grandement… )

puis quelques brouettes de sable pour essayer de mettre  a niveau l’ensemble.

et enfin, palletisation en règle ! on a 9.60 ml, ce qui devrait amplement suffire.

ensuite, vissage de liteau pour assembler le tout mais surtout le rigidifier et finir de mettre l’ensemble de niveau.

si tout va bien, y a de quoi en faire 6 d’un coup. bonnard, non ?

reste a décider si je bricole un système de serre joint a base de tige fileté pour mettre les poutres en légère compression le temps du séchage.

eul’ tho me dit que c’est pas nécessaire car le pouvoir fascinant de la colle P.U travaille pour toi mais par acquit de conscience… puis, ça aurait aussi le mérite de maintenir l’ensemble en évitant que ça se casse la gueule au premier coup de vent.

enfin, voila, niveau préparation de chantier, on est tout bon et même en avance dit donc ! chose très très exceptionnel pour nous…

maintenant, je dois reflexionner intensivement sur la façon de sortir ma machine a bois de l’atelier tout en pouvant la rentrer facilement en cas d’orage, le tout pour me permettre de raboter ma charpente avec une aisance certaine. non, parce que le rabot électrique de touriste, suivi d’un quart d’heure de ponçage pour rattraper les traces de rabotage, je suis pas rendu, moi… alors qu’avec la robland qui va bien, en un passage, c’est fait et bien fait.

et le premier qui me dit que maffel ou protool vendent de magnifique rabot de charpente d’un largeur suffisante pour ne faire qu’un passage, je lui répondrais qu’avec la grue et son groupe électrogène, mon budget gros outillage est mouru et enterré 256 pieds sous terre. et puis j’ai un combiné a bois a rentabiliser, moi !

Préparation de la grue finie.

Ce week-end,  j’ai fini de préparer la mémère pour un dépliage rapide et une utilisation dans les plus bref délais.

il restait a finir de remplir les lests et la badigeonner de graisse dans tous les coins.

pour le remplissage, il a fallu monter d’un étage… et le roi de la palette a encore frappé.

quelques palettes, une planche de coffrage, le tout saupoudré d’une bonne transpirée et roule !

le premier coté. la pente est rude…

et le deuze, avec une pente tout aussi rude mais avec un facteur « bonhomme fatigué » qui augmente proportionnellement la pente…

même avec de l’élan… rognutudgu de rognutudgu!

j’ai aussi graissé a peu prés tout ce qui coulisse, il y en avait besoin.

et pour finir, le groupe électrogène arrive le 15 mai si tout va bien et donc, dépliage dans la foulée.

Mon troisieme bras bionique est arrivé !

j’avais pensé a louer chuck norris pour le montage de mon ossature mais il peut pas, il a sauvetage de monde le mercredi aprém’ et pétage de gueule en tout genre le reste de la semaine.vendredi après midi,  j’ai donc eu droit a un cours de pliage et dépliage de mémère, ce qui s’est avéré très très utile.

mine de rien, y a pas mal de chose a savoir, de sécurité, de truc et astuce a connaitre. donc merci a mon vendeur d’avoir pris le temps de tout m’expliquer.

j’ai d’ailleurs fait dans la foulée un petit fichier récapitulatif avec photo pour le futur heureux acheteur de notre grue.

samedi, je suis monté dans le haut jura la récupérer avec mon transporteur et son porte char.

ce fut un petit peu rocambolesque car même avec un porte char surbaissé, on était a 5.1 m de haut, ce qui est bien trop haut pour la majorité des ponts. ( 4.5 m en moyenne )

il a déjà fallu soulever quelques câbles téléphonique pour sortir du village et une bonne connaissance des hauteurs de pont du jura a permis au chauffeur de faire quelques détours pour éviter les plus bas de plafond.

mais il a fallu que l’avant dernier pont nous embête… on a dut dégonfler les pneus de la grue et même comme ca, une des poulie a frotté un poil le pont.

pas de dégât mais j’ai méchamment serré les fesses 🙂

en gros deux bonnes heures de stress pour moi…

m’enfin, elle est dans le terrain, en place et a l’endroit voulu pil poil. et vu la taille de la grue et la place de disponible, c’était pas gagné.

bon, c’est pas tout ca, il faut la caler et surtout la lester…

un niveau a bulle et bonne dose d’huile de coude.

et ensuite une bonne transpirée…

un lit de caillou qu’on avait sorti des fondations et le reste de notre sable a béton feront le lest. entre les aller retour avec la brouette et le chargement en hauteur, ca fait les bras…

j’ai remplie la moitié avant de rendre les armes.

j’ai fini la journée en graissage divers et varié des roulement, poulie etc… c’est quand même une vielle dame et il faut en prendre soin.

j’ai plus qu’a trouver un groupe électrogène qui va bien et on passera au dépliage de la bête.

 

Positionnement des pieds de poteaux.

et on dit merci a mon angle bâtard !

deux après midi passé dessus… et que je te mesure, re mesure, mince, ca va pas, on recommence. et on re mesure et on recommence etc… etc…

on est parti sur la ferme du milieu. on l’a centré et commencé a mesurer. oui, mais 2 cm de décalage sur 9 mètre de long, ca fait vite un gros écart…

et le pire, c’est qu’il faut tout recommencer a chaque fois. on trace d’un coté, ca tombe pas trop mal mais arrivé de l’autre coté, raté… un pied de poteau trop excentré. bon, raté, alors on re décale la ferme du milieu en prenant en compte l’écart. et jusqu’à tomber au bon endroit.

de quoi mettre a rude épreuve ma patience légendaire  🙂

au final, 2 fois 3 heures de boulot et d’innombrable allée retour dans les fondations.

bon, allez, c’est fait. c’est pas impeccablement centré mais c’est pas trop dégueulasse. puis on ajustera au mieux au montage.

au rayon, mauvaise nouvelle. le planning. celui la, avec mon angle bâtard vont être inscrit sur ma top list des enquiquineurs de premières.

le bois devrait être livré pil poil pour mes vacances donc, ca va être rikrak mais mon souci actuel, c’est l’OSB 4.

sur les trois fournisseurs contacté, pas un n’en stocke et surtout, il m’ont tous dit qu’il aurait du mal en avoir car le fournisseur cague dans la colle sur l’approvisionnement. et c’est du 4 qu’il me faut pour les poutre en I… ( spécial fait pour )

donc, pour l’ossature, ca devrait le faire mais les poutres en  I, pas sur que je sois livré a temps pour faire la toiture pendant mes seules et uniques vacances de l’année ( particularité de ma boite… on pose les vacances trois mois avant et après on touche plus a rien avant octobre. t’as pas intérêt a te louper ! ).

voila, voila, on croise les doigts…

Allez pour finir, un petit site qui m’a bien fait marrer: http://thereifixedit.failblog.org/

des fois je me trouve limite sur la sécurité de mon chantier, bin, la, je suis rassuré 🙂

un ou deux exemples:

un de mes disciples qui a oublié de réfléchir 🙂

et une bonne bricole pas très élégante mais astucieuse. le mitigeur de la mort qui tue !

Plans finis et devis partis !

ca y est, fini. plein le dos quand même…

en suivant les conseils de jon ( jon et flo dans les liens ), j’ai mis a jour mes plans de charpente en utilisant le système de calque de sketchup.

alors si le coté « rétroactif » des calques sketchup a été un vrai plus pour moi car ca m’a évité de me retaper le dessin au complet, ( on sélectionne une pièce ou un ensemble et on l’attribue a un calque, au contraire de qcad ou il faut se mettre sur le bon calque avant de dessiner ), je persiste a dire que c’est pas super au point.

alors, est ce du a la 3D ou a une mauvaise utilisation de ma part mais, les différentes attributions de calques, ou simplement le dessin de nouvelles formes provoquent des fusions de calques qui font apparaitre des nouvelles formes qu’il faut a nouveau attribuer au bon calque etc…  ca m’a fait beugler quelques fois 🙂

bon, je vais pas faire mon casse pied, ca reste un super outil gratuit pour les autoconstucteurs. et le coté 3D apporte un vrai plus.

le résultat en copie d’écran :

vous pouvez télécharger les plans originaux sketchup  dans la page  » les plans techniques » a droite ou  ici : http://autoconstruction-ecologique.fr/les-plans-techniques/

si ca peut aider quelqu’un… et ca vous permettra de mieux comprendre notre type de construction en paille qui n’est pas courant.

pareil pour les devis sur la même page. ca peut donner des idée a ceux qui vont devoir y passer. pas simple de rien oublier…

pour finir, quelques chiffres…

je suis parti pour fabriquer 871 ml de poutre en I, il va falloir bien ranger les 25 mètres cube de bois que la scierie va me livrer ( d’où l’obligation de rentrer la grue avant le bois… ) , je ne compte pas le nombre de trait de scie circulaire pour débiter les panneaux d’OSB et les mètres linéaires de « bastaing » a passer dans la toupie pour faire le sandwich des poutres en I.

mais vous savez quoi, m’en fout ! ca va être le pied ! je vous ai dit que j’aimais le bois et son travail ? 🙂

haaaba, c’est sur qu’on y voit plus clair comme ca !

pour une fois, on a dérogé a notre règle du « faites le vous même »

pour faire place nette pour le début de chantier et l’arrivée de la grue et du bois ( rhâââ lovely ! du bois ! j’en ai le zizi tout dur, rien que d’y penser 🙂 ), il fallait qu’on dégage les tas de terre que j’avais poussé sur les cotés a la mini pelle.

j’avais trouvé un gars qui avait un manitou télescopique pour faire le boulot et du coup, on a eu droit a ca…

mais heuuu… le manitou ? bin, ca ira plus vite avec ca ! haba, c’est sur que vu sous cet angle…

en fait, eu’l fiston, c’est le terrassier du village, le même qui doit me récupérer ma grue. bon, bin, comme ca, la boucle est bouclée !

alors, bien sur, ca n’a pas moufté et en une heure, les différents tas de terre se sont retrouvé au fond du terrain. propre nickel !

et voila le travail ! par contre, j’ai eu un peu peur pour mon puits canadien… vu le poids de l’engin, j’ai cru qu »il allait s’enfoncer dans les tranchées qui était juste tassé avec le poids de la mini pelle. au final, pas trop de dégât. enfin, j’espère…

‘tain, j’en ai bavé pour tout faire a la pelle! escroc ? moi ? bôôôaa, a peine…

finalement, ca fait un gros tas de terre… reste plus qu’a le bâcher pour que la verdure ne repousse pas et qu’il soit fin prêt pour les enduits.

sinon, niveau planning, on est dans les starting block !

j’ai rangé mon atelier ! naaan déconne ! et attend attend… j’ai aussi trié toutes les boites de vis que je balançais en vrac au futur et a mesure de leur non utilisation ! ( méthode  » rangement bibi  » déposé 🙂  ) woow pînaise, va pleuvoir des vaches !

je suis aussi en pleine chasse a la palette pour faire l’aire de fabrication de poutre en I et pour monter les fermes au propre.

enfin, préparation intensive pour une arrivée de grue une semaine plus tôt que prévue et donc pour une fois, on est presque en avance sur notre planning!

non, non, vrai de vrai, même pas un 1er avril en retard.

allez… la pression monte !

Reportage france 5 sur l’autoconstruction. pour une fois qu’on passe pas pour des demeurés…

c’est tellement rare que ça vaut le coup d’y jeter un œil.

c’est ici: http://www.pluzz.fr/la-maison-france-5.html

ça commence vers 10 min.

par contre, je sais pas combien de temps, ça restera en ligne.

allez, même si ça me fait un deuxième trou au fondement de l’avouer, c’est avec des émissions de ce genre, ou on laisse le sensationnel et le voyeurisme de coté que l’autoconstruction pourra progresser.

woaw ! j’ai dis ça, moi ? aïïïeuuuu !!!

vite, vite, écouter ça, vite !!! http://www.deezer.com/fr/#music/eric-toulis/soyons-brefs-256285   ( chanson n° 2: la lucarne a blaireau.  et pis tout le reste du monsieur et de son ancien groupe, « les escrocs ». c’est du tout bon, garantie par ma gueule )

oouuuffff…. ça va mieux…