La cabane au fond du jardin. enfin… la… plutôt les…

Notre ancienne caravane servant de cabane de jardin ayant rendu l’âme, madame s’en est offerte une nouvelle, plus sérieuse.

ça tombe bien, elle a un mari bricoleur… point de bijoux, de parfum qui pue et qui coute un bras, fais moi donc un abri de jardin, mon roudoudou d’amour. qui ça ? moi ? mais heuuu…

on a commencé par dépiauter la caravane qui aura, ma foi, plutôt bien résistée au temps et aux hivers jurassien mais bon, la, on allait pas tarder a traverser le plancher, en rentrant dedans.

souvenir, souvenir du premier hiver et été passé dedans, avec Julie qui avait dans les 2 ou 3 ans…

mine de rien, elle s’est pas laisser faire. pas tout ça de démonter le bouzin, on a fait quelques voyages a la déchetterie aussi…

puis on est passé aux fondations, en pieds de poteau isolé.

et une fois sec, fixation des pieds de poteaux

bon, bin, charpente alors ?

au détour d’une question posée sur ce marvelous blog, on a fait la rencontre de Prisca et Adrien, futur autoconstructeur. hé mais, dit donc, je commence une petite charpente, ça vous dit de voir a quoi ça ressemble et de vous faire les pognes ? hôôô que oui !

après réalisation du plan avec sketchup et de la commande de bois

j’ai commencé a tracer toutes les découpes zé entailles a réaliser

Prisca et adrien, dans le feu de l’action.

ma môman c’est la plus forte !

c’est pas tout, on va peut être vérifier si on a bien bossé.

puis préparation avant levage

et hô hisse !

et pour finir, ça tient tout seul debout ? on est bon !

va pour les chevrons alors ?

puis pose d’un restant de pare pluie

litelage

et pose de bac acier de recup’

enchanté, moi, c’est gribouille, l’inspecteur des travaux fini. ma foi, le bois brut permet une bonne accroche pour mes griffes, des coins et recoins a visiter, de potentiel lieu, de futur nid de souris a dévorer, je valide !

mise en place de l’ossature

puis habillage en planche de sapin

mis en place du plancher intérieur, histoire de pas perdre le « grenier » qui va accueillir l’échafaudage


le bon coin étant toujours mon ami, j’avais trouvé pas mal de mètre carré de pavé autobloquant qui devait servir a faire une allée et qui s’est transformé en dalle d’abri de jardin.

et pour finir, les portes ( les fenêtres, on verra plus tard )

voila de quoi ranger pas mal de bordel.

mais dit donc, il me reste encore un peu de bois… et des tuiles… gogo fabrication abri moto !

Puis le copain Gerald, par l’odeur du bois fraichement découpé, attiré, venant a passer par la, en sifflotant… puis d’un air détaché… mais dit donc, je sens que tu t’ennuie, tu viendrais pas me faire un abri a voiture chez moi ? hein, dit, hein ? hein ? dit ? hein ? hein ? qui ça ? moi ? mais heuuu !

bon, bin… belote et rebolote !

vous avez demandé patrice, ne quittez pas, vous avez demandé….

Week-end ensoleillé, on va pouvoir se baign… je voulais dire bosser…

car en effet, mon esprit aspire a une baignade dans l’Ain mais notre désir de rentrer dans notre maison étant plus balèze qu’un side kick de chuck, donc on patientera encore un peu pour aller barboter dans une eau certes, propre et naturelle mais frisant quand même des températures assez sibérienne en ce mois d’avril. en gros, on évite la pneumonie et on avance sur notre chantier. décidément l’autoconstruction n’a que des avantages…

samedi, j’ai traité mon problème de poteau.

un copain m’ayant prêté deux étais de maçon, j’avais dans l’idée, finalement, de changer mon pied de poteau.

j’étais parti pour étayer le bouzin, scier la partie qui agace mes nuits et mon niveau de stress et remettre un poteau tout neuf.

bien tenté mais raté. connaissez vous le syndrome de la grue qui fait HIIIISBLAAAAFF !!!! WOOOPUTAINJ’YCROISPAS ! non ? nous, si. et au moins, ça nous aura servi de leçon et nous mettons dorénavant, toujours et inconditionnellement en pratique la maxime qui dit : dans le doute, abstient toi.

donc, on a mis en place les étais tout bien, tout bien…

mais… ne serait ce qu’en les mettant en pression a l’aide du système de vissage prévu a cet effet, premièrement, on soulevait queud’ et en plus j’avais comme l’impression qu’il faisait la gueule. donc, stop. halte a la connerie. de plus, j’ai aucune idée de combien ça supporte, un étai et plus, encore du poids qu’il se serait pris dans les chicots. charpente+poutre en I+paille+tuile… ça doit peser une chouille.

on est donc revenu sur la version toto la bricole, soit assurage du coup avec du bois par en dessous. ach’t moins risqué.

découpe a la scie sabre des bouts en trop…

ma douce me dit que ça se voit pas…

le premier qui rigole, j’vas tout dire a chuck et tartagueule a la récré !

du chêne, bien sec, en bois de bout et taillé assez précisément afin de rentrer sous le poteau en y tapant juste assez fort sur la tronche pour que ça mette l’ensemble en pression.

et ça donne ça…

maintenant advienne que pourra, le futur nous dira, si ça suffit a régler le problème…

et aujourd’hui, mis en place des poutres pour le plancher coté cuisine

puis, on a refait des poutres en z’i. mais sauras tu, trouver le petit détail qui change tout sur cette photo ?

non ? pas d’idée. et bien, c’est peut être un détail pour vous mais pour nous… non mais pour nous… t’imagine pas… et bien la, comme tu vois sur cette photo, oui, c’est tellement incroyable que tu peux commencer a t’accrocher a ton slip, il nous reste… pas 10, naaann, même pas 5 ! que dis je 3 ! mais non, nous n’en revenons pas nous même…  UNE !!! fucking bullshit poutre en I a faire. non mais dit moi quand même pas que c’est pas vrai qu’on a plus qu’une poutre a coller ! si ! alors champagne ! enfin, non, c’est dégueulasse ! une blanche des plateaux de notre brasserie préféré ! c’est quasiment jour de folie et demain on l’on va coller la dernière ( tout le village est convié a l’événement ) nous pourrons ressentir la même sensation que neil amstrong quand il a posé le pied sur la lune, a savoir la concrétisation de quelque chose qui paraissait impossible mais qui se réalise tout de même sous nos yeux ébahi et remplie d’étoiles.

j’appelle l’AFP demain pour informer la France entière de cet événement.

sinon, j’ai presque fini la remorque. manque quelques vrais planches que j’ai remplacé par des lattes de palettes, le temps que j’en trouve des plus propres. reste a faire les gardes boues et l’éclairage mais on tient le bon bout.

Bon, allez, a demain pour la retransmission interplanétaire du moment ou je donnerais le dernier coup de clé pour la mise en presse de la der des der des poutres en I.

Un problème de charpente.

je me suis remis sur mon plancher et ses poutre en I et par hasard, j’ai remarqué un petit problème qui m’inquiète vach’t très beaucoup…

le pied de poteau ci dessous a morflé. il s’est « écrasé » et le centre s’est enfoncé dans le centre du poteau. de pas grand chose mais suffisamment pour que ce soit visible a l’œil nu

c’est un des trois pieds de poteau regroupés dans la noue.

d’où ça vient ? je soupçonne le premier hiver ou l’on a bâché la charpente et ou il y a eu du ruissèlement sur les poteaux et dans mes souvenirs, celui la particulièrement.

est ce que le bois, a force d’être mouillé a perdu de sa résistance et a permit cet enfoncement ? ça doit être ça… mais ça ne me rassure pas.

je sais pas trop quoi faire… est que je bricole un pied de poteau supplémentaire autour de l’ancien pour renforcer le bouzin ? ou est ce que je dois étayer pour refaire une partie de mon pied de poteau pour jouer la sécurité ? ( cas extrême, j’espère… )

le coté rassurant, c’est que le poteau, n’est pas mouillé au touché et ça ne doit donc plus bouger. maintenant, est ce que c’est sain…

surtout, qu’une fois que mon plancher sera en place, je n’y aurais plus accès. donc, faut que je traite le problème rapidement.

voila, voila, un souci de plus, pour bien commencer la saison.

Vous avez demandé la famille Monvel, ne quittez pas… vous avez demandé la famille Monvel…

et pourtant, c’etait pas gagné !

voila. on rentre en hibernation. le toit est couvert et il peut pleuvoir, neiger, rien a péter !

ce fut une année éprouvante, tant par le boulot que par les z’événements désastreux qui nous sont tombés sur le coin du museau avec la régularité d’un coucou suisse.

et encore, on a eu de la chance d’avoir une superbe arrière saison, sinon, c’etait cuit et la charpente passait un hiver a tout vent. ( et j’avais, le dit hiver pour faire ma dépression 🙂 )

mais grâce aux coup de main de david, seb, niko, patrick, julien, laurent, isabelle, mon pôpa, bernard etc…  ( j’espère que j’oublie personne… ) et tout vos encouragements, on y est arrivé ! alors, un grand merci a tous !

allez la fin de l’histoire pour cette année.

on en été resté au toit sud bâché.

après avoir  re-déplacé l’échafaudage, on a pu finir de fermer le toit nord.

pas grand chose a faire, beaucoup de découpe et la découverte d’un autre aspect de mon angle, pour le moins assez fourbe. ( ‘culé, va ! 🙂 )

et oui, même avec l’échelle de toit accroché au plus prés, il me reste encore une distance entre l’échelle et l’arête du toit largement assez suffisante pour m’enquiquiner. et comment que je les cloue mes planches en bas ? gag ! gogo gadget aux bras a rallonge ?

en passant, je vous ai parlé de mon troisième bras ? un outil qu’il est bien ? c’est tout con mais l’encoche aimantée qui tient le clou, c’est bigrement pratique. on peut aller planter des clous assez loin et facilement. et ça m’a rendu bien des services.

bon, bin, on va passer par l’intérieur le plus possible et on avisera pour ce qui reste.

et finalement, en jouant au contorsionniste, j’ai pu en clouer juste assez pour pouvoir m’appuyer sur échafaudage et finir par l’extérieur. ça va être simple pour mettre les poutre en I…

et bâchage.

et d’ailleurs, si je connaissais le gars qui a mesuré les longueurs de laie… no comment, hein ? va falloir prévoir un très grand recouvrement de l’autre coté…

puis démontage d’échafaudage et rebelote pour l’autre coté.

au passage, j’ai du refaire mes pattes d’attaches de l’échelle de toit. faut croire que les crochet pour accrocher les vélos dans le garage ne sont pas fait pour 🙂

l’une d’elle a carrément cassé. elle s’est ouverte au niveau du trou pour le boulon de fixation et crac ! heureusement, je m’en suis aperçu avant de monter sur l’échelle. c’est quand même mieux, non ?

bon, ok, alors, on va prendre un porte vélo de bagnole 🙂 oui, mais en vrai ferraille épaisse. la, ça craint pas du tout. j’aurais du y penser avant.

au passage, j’en ai profité pour rajouter une petite roulette sur le coté de l’échelle pour faciliter la montée et la descente de l’échelle qui pèse un âne mort. et puis ça permet d’éviter de déchirer le pare pluie a la descente.

z’avez vu, je progresse ! j’ai réfléchis ! vindieu, va pleuvoir des vaches ! 🙂

et voila, c’est fini pour cette année! le toit nord bâché dans son ensemble.

comment puis je exprimer mes sentiments tourmentées, mon soulagement, ma joie, mes pensées qui vogue déjà vers des siestes quotidiennes, des possibilités de remettre a demain ce que je n’ai pas envie de faire le jour même…. comment ?!? comment ??? bin, comme ça !

bon, on va se calmer niveau boulot mais on en a encore un peu sous le coude pour cet hiver. le ponçage de la charpente bien propre, la découpe des poutre en I déjà fabriqué, le reflexionnage sur ou qu’elles vont passer les gaines électrique, la plomberie, la VMC etc…

mais la priorité, ça va être de s’occuper un des p’tiots, se reposer et autres activités dans le même genre.

allez au printemps prochain !

Toiture sud terminée et bâchée de surcroît.

et oui… ça se précise mais c’est pas encore fini.

ce week end, on a fini la toiture sud.

on a déjà commencé par poser les « supports » d’angles pour les voliges.

c’est quoi t’est, ce c’te bête la ? Patrick me posait la question dans un précédent commentaire sur ce détail car en effet pour faire rejoindre les planches dans l’angle, il leur faut un support sinon seul david copperfield peut faire quelque chose en les faisant léviter par la force de son mental de titane.

mais bon, faut le garder a la maison, le loger, le nourrir et ça bouffe un magicien ! le budget lapin, chapeau, demoiselle coupé en deux etc… etc…

donc, pour respecter un tant soit peu notre budget, on s’est rabattu sur des bastaings en épicéa, bien propre, bien blanc que j’ai fixé au ras des pannes pour pouvoir faire rejoindre mes planches.

et une pelletée d’angle bâtard pour le 15 ! pour que ça fasse joli, il fallait que ça épouse la forme des pannes donc… rigole un coup avec la fausse équerre !

la fausse équerre ? un outil top marrant qui te permet de relever des angles trop drôle et de les reporter sans te tromper et avec le sourire! car, oui, le but du jeu est de ne pas se tromper. saura tu relever le défi sachant que t’es aussi doué qu’une pelle a tarte ? rhhôôô, oui… bien sur… tu pars avec un handicap – 257 en gourrage répété mais on y croit !

et de l’autre coté…

c’etait le plus casse pied. les autres se sont pas trop mal passé.

et l’autre coté…

et on a fini de poser les planches. Estelle a la circulaire et votre serviteur a la pose.

et une fois fini… moi, ça me plaît !

après on est passé au pare pluie. on a finalement décidé de le poser dans les règles de l’art.

après avoir mis en place l’échelle de toit, on a posé les laies roulées et toutes ensembles. puis je les déroulais au fur et a mesure.

ça fait un peu bordélique mais c’est pas simple de dérouler celui du bas avec les autres au dessus. mais bon, ça c’est pas trop mal passé.

quelques petit ventres mais rien de grave et le recouvrement de 10 cm préconisé a été a peu prés respecté.

un effet d’optique ? oui mais pas tant que ça… c’est pentu, grave velu ! et il est bien sur déconseillé, même attaché de rater la marche. comme toboggan, ça doit être top mais l’atterrissage… donc prudence a chaque mouvement.

puis on a posé des liteaux dans le sens de la pente pour finir de fixer le tout et permettre a l’ensemble de résister au vent.

même punition pour l’autre coté mais en mieux. avec des rouleaux plus serré, ça suivait mieux et ça avait moins tendance a se mélanger.

arrivé en bout, j’ai posé un liteau dans l’angle pour bien plaquer le tout

et le résultat !

vous remarquerez que pour une fois, on a eu un temps superbe. je me suis pris un bon coup de chaud doublé d’une séance de bronzage grâce au soleil qui se réfléchissait méchamment sur le pare pluie. lunette de soleil obligatoire… le 13 novembre… y a plus d’saison ma bonne dame !

finalement, c’etait long, pas très pratique de faire le zouave sur une échelle mais ça c’est plutôt bien passé. un soucis de moins pour la suite.

et pour bien finir une journée déjà fatigante ? échafaudage ! celui en bon vieux acier des familles ! celui qui a été pensé pour les grands ! ( non, je suis pas petit :-))

démontage et remontage pour finir le toit nord.

voila, le temps devrait se maintenir jusqu’à la semaine prochaine donc pas d’excuse pour finir !  ( hôôô oui… finir… pourvu qu’on finisse rapidement, j’en ai maaaaaaare !!! 🙂 )

Un toit sur la tête pour éviter les coups de soleil sur mon crane dégarni.

ça y est, les vacances sont cramées. va falloir attendre l’année prochaine pour se reposer se remettre au boulot sur le chantier a plein temps.

bon, c’est pas tout a fait fini… ça a pris une bonne gifle mais il reste une vingtaine de planche a poser, faire les découpes d’angle ( rhâââ lovely ) et poser le pare pluie provisoire. si les vents sont favorables et les dieux du ciel clément, cela devrait être terminé pour la fin du week end a rallonge prochain.

alors pourquoi qu’on a pas fini ? premièrement, le dieu météo France a décidé de nous les briser a partir de jeudi dernier et nous a servi un temps tout poucrave qui rend les planches de bois glissante et n’invite pas a faire le mariole sur une toit a 45 °.

j’aurais bien sur, pu bosser jusqu’à, avant jeudi mais c’etait sans compter sur la confrérie des scieurs qui a pour principe de ne jamais tenir aucun engagement de délais. y en a qui se font un devoir de faire du bon boulot, de respecter leurs engagements, de satisfaire le client, tout ça, tout ça…

et bien, la charte qui régie la confrérie des scieurs ( qui est elle même une variante de celle, des marchands de matériaux de construction ) se fait un devoir d’assurer a leur client une date de livraison et de tout faire pour ne pas la respecter. les planches que je devrais avoir pour la fin de semaine dernière, avant le début de mes vacances, j’ai récupéré la dernière fournée ce vendredi…

ça mérite des baffes bien sur mais c’est comme ça… et la dernière semaine de vacance qu’il me restait et que j’ai posé pour finir ce toit a été perdu en parti a cause de ça.

bôaf… on commence a être rodé et on vous cache pas qu’on attend 2012 avec impatience. 2011 commence vraiment a me sortir par les trous de nez ! le premier qui dans deux mois me souhaite une année aussi bonne pour notre chantier que 2011, j’y fait manger les chutes de notre charpente ! 🙂 ( un bon mètre cube quand même…)

bon, sinon, cette fois ci, rien de bien compliqué. monter les planches et les clouer.

c’est juste long et fatiguant.

on a profité de l’échafaudage en place sur le pignon pour poser les premières planches sur le débord de toit. c’est un peu moins impressionnant avec l’échafaudage en dessous.

pour l’autre pignon, pas pareil. pas d’échafaudage et pas trop envie de le monter pour clouer une dizaine de planches. donc test en situation de mon échelle de toit customisé.

j’ai rajouté des pattes métallique, boulonné, sur une échelle classique pour pouvoir la crocheter au faîtage. et ça marche du tonnerre.

ça tient bien, mais même avec le baudrier, j’ai relancé la production d’huile a pression musculaire. 🙂 c’est carrément impressionnant et j’avais vraiment les jetons.

c’est le première qui est dur a poser. complètement dans le vide, c’est la que tu te dis que le vertige n’est pas une notion abstraite. ensuite, il suffit de pousser les planches suivante contre la première et roule.

ensuite, l’échelle posé contre la faîtière avec Estelle qui me passait les planches,  c’etait bonnard.

et le premier coté sans les découpes d’angles.

puis l’autre coté…

et notre chambre…

et pour la mezzanine, changement de technique. pas de plancher donc impossibilité de poser l’échelle contre la faîtière.

on a donc posé le début de plancher pour pouvoir accéder a la mezzanine facilement.

puis avec l’aide de ma deuxième échelle de toit customisé

j’ai posé le premier rang ( 6 m de long avec des planches de 4 m, soit un rang de 2 m et un de 4 m. )

ensuite j’ai posé la grande échelle direct sur le toit pour l’étage supérieur et j’ai joué a spiderman. ça me fait un entraînement pour le pare pluie…

Estelle, une fois de plus, me passait les planches par en dessous.

voila, donc, il reste le coté mezzanine a finir ( une vingtaine de planche ) et les découpes d’angles. puis le pare pluie.

on a finalement opté pour du pare pluie premier prix ( de la bâche renforcé avec un treillis ). ça a l’avantage de me faire une entraînement pour le pare pluie final et surtout de se transformer en superbe bâche a bois de chauffage de compét’ quand on l’enlèvera au printemps. pas de gaspillage et un coup très raisonnable chez brico dep’.

reste a le poser et la… je reflexionne dur pour trouver la bonne methode… même avec mon échelle de toit, ça fait une sacré pente…

en gros, soit la methode traditionnelle conseillée: en long et les laies de pare pluie perpendiculaire a la pente, soit la solution de facilité a savoir les laies en hauteur dans le sens de la pente, a cheval sur le faîtage. je me dis que pour un truc provisoire, c’est peut être suffisant. en prenant plus de marge sur le recouvrement, y a pas de raison que ça fuite.

je me tâte…

enfin, bon, allez ! bientôt les vacances !

Charpente finie !

ça y est, les dernières pannes sont posées ainsi que leur liens.

pour résumer:

j’te proute ! saleté d’angle !

rhôôôô, ça fait un bien fou et ça vient du cœur !

bon allez, que je vous narre l’histoire de la victoire de l’humble apprenti charpentier contre le vilain angle qui pue qui fouette qui sent des couettes.

on en était resté a la découverte de la bonne methode pour la découpe des pannes en angles avec julien.

j’ai mis en place des cales pour compenser l’angle et que le bout de la panne repose bien sur une surface plane et non pas sur l’arête de l’arbalétrier

puis présentation de la première panne et hô joie, hô bonheur, ça tombe au poil. ouf !

puis mis en place de la deuze :

et c’est carrément la fête du slip ! ça tombe au poil une nouvelle fois. punaise pour une fois que tout va bien…

j’ai coupé a ras les cales qui, du coup, ne se voit quasiment plus.

ensuite, le week end suivant, patrick est revenu me filer un coup de main pour mettre en place les plus grandes pannes.

même technique que l’autre coté. on monte la panne.

une fois en haut, je bloque avec des serres joints et trace.

on redescend le tout

et y a plus qu’a scier.

ça, c’est quand tout se passe bien car il est vraiment temps que je me repose parce que les conneries s’accumulent…

comment j’ai pu me planter… ( une fois de plus…) va savoir…  je cherche même plus.

j’ai du prendre le mauvais trait et couper 5 cm trop court. de quoi, bien faire monter l’énervement de la colère qui contrarie très fort.

alors, vu que je n’avais pas de surplus de panne, ça sera cale. ça, je sais faire… un orfèvre en la matière. ça va devenir une charpente monté sur cale 🙂

ça va peut être suffire rayon connerie, non ? pensez vous, rien ne m’arrête ! on mesure avec Patrick. on coupe et je les repère avec des chiffres. et je trouve le moyen de me planter en ne prenant pas la bonne. voila, voila, voila…

j’ai donc du moiser une paire de panne en urgence avec des restants de solives. pas de soucis pour la solidité mais ça se voit. heureusement, c’est dans la salle de bain et notre placard. on limite les dégâts.

on le voit mieux sur cette photo. c’est vraiment la loose. chiader l’ensemble de la charpente pour faire un truc propre et se vautrer a la fin pour des fautes d’inattention, ça fout les boules graves. m’enfin, ce qui est fait est fait.

pour finir, j’ai découpé les echantigolles de façon a ce qu’il épouse les pannes

j’ai pris les angles a la fausse équerre comme sur la photo précédente et adapté la scie radiale pour réaliser les découpes qui vont bien.

et mise en place

et le résultat final ! malgré mes conneries, c’est quand même classieux ! on est vraiment content du résultat et encore plus d’en avoir fini!

pour finir, un grand merci a patrick pour ces coups de main successif ! vraiment sympa de ta part !

maintenant, j’attaque ma dernière semaine de vacances de l’année pour finir de couvrir ce toit. lundi soir prochain, ça doit être couvert et bâché et puis c’est tout !

et après… vacances ! enfin… repos !  pause hivernale, quoi !

Faîtière posé et plancher torché !

Pas trop le temps de s’occuper du blog car on envoie sévère pour finir rapido presto.

on tape déjà du – 1° au petit matin, il faut donc pas chômer.

on a fini de poser les solives en angle. une découpe un peu plus pénible a réaliser mais avec la super scie radiale de mon pôpa, elle moufte pas. c’est bruyant comme bécane mais ça dépote grave.

même système de pose que les autre grâce a un taquet sauf pour les cinq suivantes.

j’ai mis l’entrait dans le mauvais sens. enfin, l’autre coté m’aurait évité ce problème.

vous le voyiez le problème ?

et oui, le bois qui n’est pas d’équerre et donc l’impossibilité de continuer de fixer mon tasseau…

donc, on triche ! un équerre intégré a la solive pour qu’elle ne se voit pas trop et roule !

et une fois posé, ça ne se voit presque pas.

puis on a posé le reste en pensant a la trémie. c’est mieux non ?

et on trouve que par en dessous, c’est pas dégueulasse du tout. encore une fois, je maudis toujours mon angle pour ces difficultés de conception mais d’un coté, c’est vraiment classieux.

le petit décrochement pour la trémie. ça ne portera pas de poids mais on va blinder en grosse équerre. au cas z’ou…

pour l’instant, j’y ai mis ce que j’avais, de simple équerre de chaise. mais par la suite, de bonne grosse équerre me permettront de pourvoir y danser le casatchock, si l’envie m’en prend. ( j’ai des passions secrète inavouable dont le souhait de savoir danser le casatchock sur un décrochement de trémie, la, et pas ailleurs. je sais, c’est fou mais j’y arriverais, un jour… )

le petit décrochement de mezzanine pour pouvoir utiliser la future fenêtre facilement s’en avoir a s’encorder et se la faire en varappe.

solivage ? fini ! ce fût long et je dirais pas que ce fut bon… 70 solive a couper d’équerre puis a entailler pour le taquet, suivi de leur pose en équilibre sur deux échelles avec l’aide d’Estelle, c’a n’aura pas été la partie la plus passionnante de cette charpente. mais bon, maintenant on a un beau plancher.

le plancher… pas des plus passionnant aussi :-). avec Estelle, on avait hâte d’en finir.

15 kg de clou, environ 5 mn de genoux en moins, dut a la position très confortable du quatre patte et un bras accompagné de son épaule, en vrac, a force de taper au marteau. on a bien essayé a la façon dark vador mais même avec le coté obscur de la force, ça marche pas. le clou ne rentre pas tout seul. c’est très surfait, le coté obscur de la force.

on a préféré faire continuer le plancher, par dessus la trémie. on a pas encore besoin de passer par la, pour monter a l’étage et c’est quand même plus sécurisant de ne pas avoir de trou dans le plancher. suffira juste de mettre un coup de magic festool pour faire sauter le surplus, le moment voulu. on a quand même dessiné au sol, le trou. on peut marcher dessus sans problème mais si on peut éviter…

il ne nous reste plus que notre chambre a poser. ça sera fini, cette semaine.

et ce week end, julien s’est gentiment proposé pour venir me filer un coup de main pour mes pannes de la mort qui pue.

le gars est charpentier ET spécialiste de la voltige. pendant que d’autre joue au carte le week end, lui, fait le zouave a escalader les montagnes ou les murs d’escalades. donc mes huit mètres de hauteur, même pas peur !

on s’est donc mis sur les faîtières.

première découpe, tout bien comme il faut. et la deuxième, ça faisait longtemps… conneries. je me suis gourré sur la longueur.

espèce de sacré con ! et en plus, sur la seul ou je n’avais pas de marge, les faîtières étant plus haute de 5 cm que les intermédiaires…

bon, y a plus qu’a rattraper mes âneries…

de la charpente pas conventionnelle du tout, limite rattrapage au branche.

on a prit un bout de panne intermediaire et on a collé par dessus le  » chapeau  » en pointe dont les 5 cm supplémentaire était prévue pour faire cette découpe. c’est moche mais ça ne se verra pas. j’ai bon ? utshimata force 5 dans mes chicots ? bon d’accord.

allez, y a plus qu’a monter.

moi, sur le semi plancher des vaches et julien accroché au poincon. je vous cache pas que j’étais bien content qu’il ait insisté pour jouer a spiderman 🙂

même pas peur !

la manip’ s’est plutôt bien passé. a part, un lien qui était un poil trop court et qui a demandé une petite cale pour bien le positionner, l’ensemble s’est bien emboîté, comme il faut. perçage, chevillage et on a maintenant une belle faîtière complète.

pendant que je m’occupais du chevillage, julien s’est proposé pour aller me clouer la volige a la panne intermediaire que je n’avais pas eu le temps de faire.

un encordage en règle et une bonne rigolade pour lui. cela n’aurait pas été la même histoire pour moi…

et pour finir, on s’est attaqué au panne intermediaire et leur jonction en angle. ( qui pue, qui fouette, qui décale les couettes )

après maintes réflexion et calculs dans tous les sens et des résultats peu concluant, on a décidé de monter les pannes a leur place respectives et de les tracer en situation. et grand bien, nous a prit, c’est tout simplement la meilleure solution.

c’est la plus longue car il faut monter et descendre la panne deux fois mais au moins, on est sur de ne pas se planter. enfin, j’espère…

mise en place de la panne

puis traçage, en se basant sur l’arbalétrier.

et le résultat…c’est pas de la découpe bâtarde ? ( qui pue, qui fouette, qui décale les couettes )

on a juste eu le temps de tracer les deux premières.  je les taille et les monte demain. on verra bien, si on s’est planté…

voila, un grand merci a julien pour son coup de main, ces aptitudes de voltigeur et ces connaissances en charpente qui m’ont bien aidé.

encore un personne qui vient filer un coup de main sans rien demander, juste pour le plaisir d’aider. et c’est juste, bien.

encore merci a julien mais aussi a tout ceux qui sont passé sur notre chantier. le monde n’est pas si pourri que ça. ( mode mélo off )

PS: juste pour rigoler, une petite photo du chef de chantier qui surveille son ouvrier. toi groumpff? Agrôôô moi GROUMPPFF !

la grosse loose quand même, je surveille le travail de julien, d’un œil inquisiteur et c’est moi qui fait les conneries…y a des coups de pompes qui se perdent…

Une pincée de toiture agrémenté d’un soupçon de plancher.

Profitant de l’échafaudage posé au bon endroit, on a fini de poser le rampant coté nord.

finalement, ça va assez vite. Estelle me passait les planches et je les faisais ensuite glisser sur les pannes, deux clous en haut et en bas, et roule. je clouerais la panne du milieu, plus tard.

il y a bien quelques léger jours mais avec le toit par dessus, ils seront moins visible.

après démontage de l’échafaudage, on a ensuite attaqué le solivage du milieu. et ses sympathiques découpes en angles…

j’ai relevé toutes les longueurs avec mon télémètre laser ( bien pratique, cette bête la ) en me basant sur les solives déjà posé. histoire qu’elle se suivent d’une ferme a l’autre.

le premier qui dit que j’ai une tronche d’abruti sur cette photo, ça va tataner grave sa gueule 🙂

ensuite découpe. une découpe a 90° d’un coté et une autre en biseau de l’autre coté. c’est pas trop compliqué mais plus long a réaliser.

les trois premières sont foiré et je pige pas pourquoi. les cotes sont bonne et pourtant, j’ai un jour ( en bas, a gauche sur la photo )

je mettrais une cale plus tard.

il a fallu faire une petite découpe pour passer le boulon de charpente qui tombait en plein dans la solive… ça fragilise carrément l’ensemble mais par chance, c’est la solive du milieu que j’ai doublé en réduisant l’entraxe a 15 cm au lieu de 30 cm. et puis il n’y a pas de poids fixe dessus. ça sera le couloir.

j’avais doublé celle solive car dans la chambre des p’tiot, c’est a cet endroit qu’on montera la cloison entre les deux chambre.

on est ensuite passé au plancher.

on s’est finalement rangé a l’avis général et on va faire péter une isolation phonique a l’étage.

on a donc commencé a poser les mêmes planches que pour le toit.

27 mn d’épais cloué sur les solives. on posera sûrement des lambourdes, par la suite, une isolation phonique qui va bien entre lambourde et le plancher massif en frêne par dessus. ça devrait faire l’affaire.

un autre avantage, c’est d’avoir un plancher pour se déplacer a l’étage en toute sécurité. les palettes, ça va bien en provisoire mais c’est bien casse gueule. il faut toujours être attentif ou on met les pieds et un accident est vite arrivé.

sans compter le coté peu pratique pour bouger l’échafaudage. il faut le démonter complètement, bouger les palettes et le remonter…

avec un vrai plancher, tu démonte juste ce qu’il faut pour pouvoir le soulever et le déplacer. un gain de temps non négligeable.

pis, ça permet aussi,  a madame de faire sa maline!  genre, j’ai peur de rien, le vide et moi, on fait deux, j’suis une malade ! ou est le premier pont que je fasse mon baptême de saut a l’élastique ! ou ? ou ? même pas peur !

c’est quand même mieux, non ?

deux clous a chaque extrémité ainsi qu’au milieu et ensuite un clou sur deux sur chaque solive. avec ça, ça bouge plus.

Alors d’un coup d’ massette… Bien placé entre les deux yeux… estelle éclate la tête, du Petit clou de mes deux!
Faut pas gonfler estelle monvel… Quand elle cloue son plancher !
C’est la morale de ma chanson
Moi j’la trouve chouette
Pas vous ? ah bon…

tatatzin ! 🙂

voila, voila. au menu de cette semaine, finir le solivage du milieu ainsi que l’intégralité du plancher afin de pouvoir monter l’échafaudage et s’attaquer dans la joie et la bonne humeur a mes pannes anguleusement contrariante.

allez, faut qu’on s’énerve, l’hiver arrive a grand pas…

PS: donne trois chatons. deux tigrés marron et noir et un tigré gris

contre bon soin, bien sur et t’as plutôt intérêt, y a la tante par alliance ( avec pour petit nom: castagne )  qui veille au grain et elle, faut pas lui hérisser le poil pour rien…

you talking to me ? 🙂

PS 2 : est ce quelqu’un aurait dans sa bibliothèque personnelle, le livre de jean louis beaumier : l’isolation phonique écologique ?

soit pour un prêt, soit a vendre, c’est vous qui voyez. merci d’avance !

 

Panne faîtière bloqué et début de toit provisoire.

bah, oui, pas beaucoup de nouvelle car ça avance pas des masses.

de grosses journée de boulot alimentaire n’aide pas a l’avancée des travaux…

m’enfin, on progresse et c’est le principal.

on en était resté au montage de l’échafaudage qui bouffe un temps pas possible. ça fait quasiment une après midi de boulot de montage pour une ou deux heures de travail sur les pannes. rentable, n’est t’il point ?

j’ai commencé par mettre en place la panne faîtière au bon endroit. il y avait 20 bon centimètre a faire ripper.

le pied de biche a réglé le problème assez facilement.

puis montage au grenier, des liens avec ma poulie ( c’est fou ce qu’elle me sert cette bête la ! )

puis mise en place du premier lien extérieur.

la, je me suis bien marré… je l’ai mis en place d’un bras pendant que l’autre bras tirait sur la sangle attaché au pied de biche qui soulevait la panne. le terme exact, c’est: j’en ai chié grave ! 🙂

puis je l’ai assuré avec une sangle pour mettre en place son voisin, histoire qu’en re-soulevant la panne, il ne se déboîte pas.

j’ai fait pareil avec l’autre, ça permet de reposer mes bras le temps de la manip’

et rebelote mais cette fois ci, avec ma poulie, pour soulever la panne . faut toujours tirer comme un âne mais c’est plus simple qu’au pied de biche

et tâââdaâââmmm ! que j’aurais voulu le faire exprès, j’aurais pas fait mieux. ça poutre, non ?

oui… mais… comme son ying doit avoir son yang, ce placement de lien, digne d’un ajustage poildecutesque que même a la NASA, il chiade pas leur assemblage de navette spatiale comme ça, voici la coronès du jour…

y a comme qui dirait un jour… mais heuuu !

et après revérification des plans, de l’ajustage, des niveaux, tout ça, tout ça,  je m’a bêtement gourré de 2 cm ( et oui, encore 2 cm… ) sur tous mes poinçons…

cale ? bin, oui, pas le choix… gifle ? heuu, joker !

ensuite, mise en place du dernier lien.

et la fameuse technique du: je tire et pousse en même temps

sauf que… mon lien était foireux. encore une fois, a cause de mes deux centimètre de décalage.

donc retaillage et remise en place.

il a fallu passer au perçage et a la contraction excessif des muscles fessiers. les perçages sur l’échafaudage, nickel mais celui en bout de panne sur l’escabeau… même attaché, j’en menais pas large. qui a besoin d’huile d’olive ? 🙂

tu l’as vu le niveau scotcher sur la perceuse  a la mack giver, pour percer a peu prés droit ?

voila, tout est bloqué, y a plus qu’a démonter l’échafaudage et le remonter de l’autre coté. et une bonne suée… une !

et même punition, moins le lien a refaire qui allait nickel de ce coté.

juste une petite précaution pour éviter de se faire suer. j’ai cassé le bout des liens pour faciliter leur entrée dans le tenon.

voila, ça bouge un peu moins mais ça reste souple… c’est assez impressionnant la façon dont la charpente bouge quand on se déplace.

david ( paille01 ) m’avait dit que c’était normal mais c’est pas rassurant…

autre chose de pas trop rassurant, c’est ce pied de poteau.

que le bois fende, c’est normal mais celui la est vraiment pas génial. vous en pensez quoi, les spécialistes de la charpente ? il faut que je m’inquiète ?

ce week end, on a commencé a tracer le positionnement des solives de l’angle. et ça va être un grand moment… il m’aura bien cagué cet angle…

après plusieurs essais de traçage divers zé varié, on a pris un cordeau et tiré sur ceux qui était déjà en place. ça sera plus cohérent et c’est surtout nettement plus simple.

puis, on a mis en place les taquets de support de solive.

et pour finir la journée, on a mis a la bonne place et bloqué les pannes intermédiaires et commencé a poser la volige de notre toit provisoire.

t’as vu, ça commence a ressembler a un toit…

voila, voila, cette semaine, je m’attaque au solivage et a ses découpes en travers…

ça va déjà être bien sympa mais j’ai hâte de me faire péter le ciboulot quand je vais m’attaquer a mes pannes intermédiaires et leurs multiples angle bâtard.

en fait, honnêtement, je sais pas comment faire. enfin, si, je vois ce qu’il y a, a faire mais les tailler correctement du premier coup…

plus ça va, plus je m’oriente vers une solution a base d’équerre ou de sabot.

enfin, bon, je suis dessus. c’est le problème du moment.

vais je pouvoir me la péter avec un ajustement qui claque ou vous faire écrouler de rire en voyant le désastre… zatizecouechtionne…