Une pincée de toiture agrémenté d’un soupçon de plancher.

Profitant de l’échafaudage posé au bon endroit, on a fini de poser le rampant coté nord.

finalement, ça va assez vite. Estelle me passait les planches et je les faisais ensuite glisser sur les pannes, deux clous en haut et en bas, et roule. je clouerais la panne du milieu, plus tard.

il y a bien quelques léger jours mais avec le toit par dessus, ils seront moins visible.

après démontage de l’échafaudage, on a ensuite attaqué le solivage du milieu. et ses sympathiques découpes en angles…

j’ai relevé toutes les longueurs avec mon télémètre laser ( bien pratique, cette bête la ) en me basant sur les solives déjà posé. histoire qu’elle se suivent d’une ferme a l’autre.

le premier qui dit que j’ai une tronche d’abruti sur cette photo, ça va tataner grave sa gueule 🙂

ensuite découpe. une découpe a 90° d’un coté et une autre en biseau de l’autre coté. c’est pas trop compliqué mais plus long a réaliser.

les trois premières sont foiré et je pige pas pourquoi. les cotes sont bonne et pourtant, j’ai un jour ( en bas, a gauche sur la photo )

je mettrais une cale plus tard.

il a fallu faire une petite découpe pour passer le boulon de charpente qui tombait en plein dans la solive… ça fragilise carrément l’ensemble mais par chance, c’est la solive du milieu que j’ai doublé en réduisant l’entraxe a 15 cm au lieu de 30 cm. et puis il n’y a pas de poids fixe dessus. ça sera le couloir.

j’avais doublé celle solive car dans la chambre des p’tiot, c’est a cet endroit qu’on montera la cloison entre les deux chambre.

on est ensuite passé au plancher.

on s’est finalement rangé a l’avis général et on va faire péter une isolation phonique a l’étage.

on a donc commencé a poser les mêmes planches que pour le toit.

27 mn d’épais cloué sur les solives. on posera sûrement des lambourdes, par la suite, une isolation phonique qui va bien entre lambourde et le plancher massif en frêne par dessus. ça devrait faire l’affaire.

un autre avantage, c’est d’avoir un plancher pour se déplacer a l’étage en toute sécurité. les palettes, ça va bien en provisoire mais c’est bien casse gueule. il faut toujours être attentif ou on met les pieds et un accident est vite arrivé.

sans compter le coté peu pratique pour bouger l’échafaudage. il faut le démonter complètement, bouger les palettes et le remonter…

avec un vrai plancher, tu démonte juste ce qu’il faut pour pouvoir le soulever et le déplacer. un gain de temps non négligeable.

pis, ça permet aussi,  a madame de faire sa maline!  genre, j’ai peur de rien, le vide et moi, on fait deux, j’suis une malade ! ou est le premier pont que je fasse mon baptême de saut a l’élastique ! ou ? ou ? même pas peur !

c’est quand même mieux, non ?

deux clous a chaque extrémité ainsi qu’au milieu et ensuite un clou sur deux sur chaque solive. avec ça, ça bouge plus.

Alors d’un coup d’ massette… Bien placé entre les deux yeux… estelle éclate la tête, du Petit clou de mes deux!
Faut pas gonfler estelle monvel… Quand elle cloue son plancher !
C’est la morale de ma chanson
Moi j’la trouve chouette
Pas vous ? ah bon…

tatatzin ! 🙂

voila, voila. au menu de cette semaine, finir le solivage du milieu ainsi que l’intégralité du plancher afin de pouvoir monter l’échafaudage et s’attaquer dans la joie et la bonne humeur a mes pannes anguleusement contrariante.

allez, faut qu’on s’énerve, l’hiver arrive a grand pas…

PS: donne trois chatons. deux tigrés marron et noir et un tigré gris

contre bon soin, bien sur et t’as plutôt intérêt, y a la tante par alliance ( avec pour petit nom: castagne )  qui veille au grain et elle, faut pas lui hérisser le poil pour rien…

you talking to me ? 🙂

PS 2 : est ce quelqu’un aurait dans sa bibliothèque personnelle, le livre de jean louis beaumier : l’isolation phonique écologique ?

soit pour un prêt, soit a vendre, c’est vous qui voyez. merci d’avance !

 

2 commentaires sur « Une pincée de toiture agrémenté d’un soupçon de plancher. »

  1. Hello le montagnard !

    Ben je vois que l’hivernage arrivera un peu plus tard que l’année passée… Bonne nouvelle ! 😉

    Pour l’isolation phonique, il faut aussi désolidariser ton lambourdage de tes planches avec des bandelettes de fibres de bois par exemple. Et il ne faut pas clouer les lambourdes sur les planches non plus. Tu fait une espèce de plancher flottant mais massif. Euh, je sais pas si je suis clair là…
    En fait il faut imaginer ca comme un radeau. C’est ton parquet qui tient l’écartement des lambourdes et tout ce bloc là (le radeau) est posée sur des bandelettes de fibre de bois qui reposent sur le plancher.

    Pour le bouquin, je l’ai pas désolé.

    Biz.
    Jon

    PS : Je trouve que t’as une tête d’abruti sur la 3ème photo…
    😉

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