bon c’est pas tout ça d’avoir un puits perdu et de belle gouttière, faudrait peut être qu’il se rencontre un jour et les raccorder ensemble pour que l’un comme l’autre serve a quelque chose, m’voyez…
donc je suis aller chercher ma pelleteuse préféré pour creuser les tranchées afin d’y enterrer les canalisations ainsi que les regards qui vont avec.
le tout avec délicatesse afin d’éviter de mettre un malencontreux coup de pelleteuse dans ma baie vitrée
puis découpe, collage des tuyaux, coup de pelle de finition pour la pose des regards etc…
comme d’hab’ dame Estelle a pas donner sa part aux chiens. l’ache la pelle, lâche ! mais tu vas la lâcher cette pelle ? AAggRRooOOO
un boulot bien casse burne car mettre a niveau autant de longueur, c’est tout sauf facile mais bon, gouttière et puits perdu, une grande histoire d’amour commence !
et vu que la pelleteuse était en forme, je me suis attaqué au ( gros ) tas de terre des fondations qui nous restait et qui formait une belle bosse au fond du terrain.
donc, au programme… étaler le bouzin et rattraper un peu le niveau du terrain derrière la maison et sur le coté. et essayer de faire un truc a peu prés propre, histoire que je puisse putter sur le green sans passer dans le roof. comme je cause golf trop bien.
de longue heure, de va et vient , de je tape un godet, je pivote, je benne, je tape… etc… etc… puis étalage avec la lame avant et on recommence. passionnant…
et le résultat, des années plus tard… mais vu avez rien vu… mais… mais… une faille spatio-temporelle ? un bug dans la matrice ? ta gueule, c’est magique 🙂 ça va être le gimmick…
mais bon le résultat est a peu prés la. pas sur que je puisse putter le green quand même… faire une piste VTT, pourquoi pas mais le roof est pas la, du tout 🙂
pendant ce temps et après avoir laché la pelle, après d’âpres négociation et quelques morsures, dame Estelle a eu pour tache ingrate de combler les fissures du, a la rétractation de l’enduit terre. et ce pour calmer les courants d’air qui prenaient leur aise.
la suite, au prochain épisode, quand l’envie me reprendra.
Réseaux, VRD, tout a l’égout, etc… on en cause plus et la liste des choses dont on ne cause plus, commence a être plus longue que les choses restantes a faire. et ça… hôôôô yeah !
j’ai commencé par les puits perdu.
j’étais parti pour me péter une canalisation pour l’évacuation des eaux de pluie ( faut les séparer du tout a l’égout car l’assainissement par filtre planté du village ne le supporterait pas ) mais après renseignement, on m’a plutôt conseillé le puits perdu. pas que la canalisation ne soit pas une bonne idée mais et d’une, je ne voulais pas intervenir personnellement sur le domaine public. ( y a une différence entre faire une connerie chez soit et une autre, sur le domaine public ). et deuzio, après demande de devis a un pro, apparemment, personne ne sait précisément ou la canalisation qui passe devant chez nous, se trouve. donc si lui, ne s’y aventure pas, moi encore moins.
donc, puits perdu. en fait, deux. j’en ai un de 2.4 mètre de profondeur pour celui qui se chargera de récupérer les eaux de pluie de la maison ( pour l’instant car par la suite, il ne récupèrera que le trop plein de la citerne d’eau de pluie ) et un deuxième de 1.2 m de profondeur du coté de l’atelier avec pour fonction de récupérer nos eaux usée ( mais pas trop, merci les toilettes sèches ) et par la suite, le trop plein d’eau de pluie de l’atelier en aval des deux cuves d’un mètre cube déjà existante.
j’ai donc commencé a creuser les deux trous. tout en serrant les fesses pour ne pas accrocher la canalisation veolia qui passe sur le terrain. on est quand même assez prés et le piquetage veolia est plus que douteux….
l’autre coté, plus simple et moins profond.
j’en ai profité pour creuser la tranchée d’évacuation de l’atelier. en serrant les miches pour ne pas mettre un coup de godet dans mon mur en paille.
puis tant qu’a défoncer ce coin de terrain, j’ai fini d’enterrer la gaine principale d’eau.
puis on a fait un fond de gravier pour mise a niveau avant la pose des ronds en béton.
et donc, rond en béton d’un mètre par 60 cm de haut. et ça pèse juste… 560 kg pièces… je me doutais bien que la mini pelle aurait du mal a soulever le bouzin mais la, elle était morte de rire… même pas 1 cm… et la, c’est le drame… et la, tout bascule…
heureusement, j’ai des voisins sympa et jean paul, le fabricant local de lait pour comté qui déboite est venu me dépanner avec son super tractopelle 4X4 de la mort qui tue.
pas eu le temps de prendre des photos et madame n’étant point la, vous imaginerez, hein ?
après quelques coup de godet pour finir le puits de la maison ( car la mini pelle est assez limité en profondeur de creusage ), le résultat.
y a plus qu’a remplir de gravier autour mais on en reparlera plus tard.
je suis ensuite passé a la tranchée du tout a l’égout. avec un chalenge. ne pas arracher les gaines qu’on avait posé en début de chantier. et… et… et… perdu… arf !
grillage avertisseur ou pas, j’ai mis une talée a la gaine de téléphone ( avec fil arraché, tant qu’a faire ) et a l’électrique ( vide ) qui doit recevoir le câble EDF. pas dramatique mais casse bonbon car a réparer. c’est pas comme si j’avais pas autre chose a foutre, hein ?
ça, c’est pas trop mal passé mis a part des espèces de veine de cailloux qui viennent ralentir le travail. ça va tout seul et pan ! un mètre de caillasse qui passe en travers sur un bon mètre de profondeur. c’est assez bizarre comme truc. et a sortir les cailloux, on obtient plus vraiment une belle tranchée bien droite.
puis dégagement du « tabouret » de connexion au tout a l’égout.
et mise en place du tuyau ( joint a lèvre ) en respectant une pente mini de 5 mn / mètre. une couche de sable permet de mettre bien de niveau avec le niveau de chantier.
chez nous, pas de problème, pour la pente. on dépasse largos la pente mini.
puis réparation de mes conneries…
et rebouchage.
j’ai ensuite déterré les gaines que j’ai accroché précédemment pour les faire changer de direction. et oui, car entre le début de chantier et maintenant, les plans de la maison ont un poil changés.
en effet, au départ, il devait y avoir un garage accolé a la maison et on avait posé les gaines dans cette direction. et le garage a disparu au détour d’une modification de permis de construire et le local technique a donc changé de coin. j’en ai profité pour enterrer aussi les gaines qui relie l’atelier a la maison
et rebouchage.
je me suis attaqué aussi a une remise a niveau partielle du sol fini, autour de la maison.
le coté ouest est presque au niveau final mais le coté est, est bien en dessous et il manque une bonne trentaine de cm d’épaisseur de terre.
j’ai donc tapé une chouille dans notre colline pour gagner un peu de place derrière la maison et étalé la terre ainsi récupéré pour la mise a niveau.
de la bien belle terre. au début. puis vient un gisement de caillou… et j’en ai ch… pour finir…
derrière la maison, c’est a peu prés d’équerre mais le coté est, est encore loin du compte. m’enfin, on verra plus tard avec le restant de terre nous servant pour les enduits.
puis étalage et tassage a la chenillette sur l’ensemble.
et il s’est mis a pleuvoir… et la, c’est le drame. et la, tout bascule…
bon, on en avait fini avec la mini pelle mais ça, c’est vite transformé en bourbier de compét’.
le tracteur qui a accroché la remorque avec la mini pelle dessus, en partant, m’a laissé deux beaux et mastoc sillons, bien moelleux. la dessus, on a fait venir un camion de caillou qui lui, nous a juste creusé des tranchées avec ces 40 tonnes et ces 4 essieux… du chouette boulot… saleté de pluie !
bon, c’est pas tout d’avoir commander 18 tonnes de gravier… faut les étaler aussi… et la, c’est le drame… et la, tout… bon, vous avez compris.
bon, bin, râteau, brouette, pelle…
puis un deuxième camion a amené a nouveau ces 18 tonnes pour finir la cour et remplir les cotés des puits perdu.
caramba ! 36 tonnes en deux jours… en fin de journée, dame estelle et moi même avons donné une parfaite imitation de vielle serpillère oubliée dans un coin. et c’est la, que pour finir la soirée, un bon nanard qui fait pas réfléchir, écroulé dans le canapé ( la bave au lèvre ) prend toute sa substance.
on a recyclé toutes les caillasses sorties au moment des tranchées pour tapisser le fond du trou.
et le gravier pour finir.
et trois hectolitre de sueur plus tard.
des que j’ai un moment, je vais souder un beau couvercle bien costaud pour refermer le bouzin.
j’ai aussi fait péter la belle marche bien propre doublé d’une allée en gravier, pour accéder a la maison sans la dégueulasser
puis sur les conseil de mon père, j’ai loué une dameuse ? tasseuse ? marteleuse ? tataneuse ? enfin, un machin qui vibre et qui tasse pour stabiliser au maximum tout ça.
c’est efficace, ça, c’est sur mais alors pour les articulations, la garce… ça vibre dans les bras mais aussi dans le sol a proximité et donc dans les pieds. en gros partout. et après une matinée de boulot, j’ai marché comme un cowboy pendant deux jours avec un mal aux pattes de première bourre. une fois de plus, les gars qui font ça, toute la journée… bin, il mérite une médaille et d’être augmenté de 1000 % mini.
en tout cas, c’est efficace et on a une belle allée bien propre.
et pour finir ces deux semaines de vacances ( arf ! ) j’ai commencé a m’occuper des gouttières de la maison en posant les tuyaux qui récupéreront l’eau de pluie pour les envoyer dans le puit dans un premier temps et dans la citerne par la suite.
pente de 5mn / mètre comme pour le tout a l’égout, le tout, fixé sur les poutres en i du plancher, l’ensemble sera planqué sous la petite terrasse qui fera le tour la maison qu’on fera par la suite aussi.
et la… je m’ai encore planté. fuque ! au quatre coin de la maison descendent les… descentes en zinc qui viendront se connecter sur les tuyaux PVC et… et… j’ai oublié le T de connexion pour cet angle. plus qu’a recouper et le rajouter… bougre d’âne, va !
et pendant ce temps la, dame estelle s’occupait de remplir le puits perdu de l’atelier.
voila, voila, on a fait le tour. bien crevé, quand même. mine de rien, 7 ans de chantier, ça commence a parler dans le dos et les articulations. mais on tient le bon bout et a la fin, c’est nous qu’on va gagner.
dans deux semaines, fenêtres ! j’ai hâte, j’ai hâte ! ça commence a loufer grave le déménagement !
au début, fut un puits perdu creusé pour l’évacuation des eaux usée de l’atelier. les toilettes sèches le permettant et un assainissement autonome classique prévue rapidement ne nous engageait pas a faire des frais inutile de ce coté la.
puis le provisoire dura et l’assainissement autonome fut abandonné, la mairie ayant décidé de nous brancher au tout a l’égout assez rapidement ( cette année, si tout va bien ).
mais le puits perdu commençait a afficher complet et a ne plus rien perdre de l’eau déversé dedans, qui se retrouvait a se faire la malle par le drainage de l’atelier…
donc, pour faire simple… pas bien !
alors vu que par chez nous, le « provisoire », le « c’est prévue cette année », le « jurée craché, ca va venir » a une fâcheuse tendance a durer, on a décidé de faire le minimum syndical pour régler le probleme. tout en espérant que le tout a l’égout va être rapidement opérationnel.
alors, que faire ? agrandir le puits perdu… non. pas envie. et pas efficace… bon… un assainissement par plante. o.k mais pour bien faire, en sortie des filtres, ca doit dégueuler dans une mare. mouaip… on va la mettre ou la mare ? avec le chantier, pas vraiment de place… bon…
et dans un éclair de génie, tel la bernadette soubirou du jura, le dieu bricomerlin m’est apparu et m’a conseillé une pompe immergé toutes eaux, pour vider régulièrement le puits perdu en cas de surplus. en plus qu’il me la garantie pièce et main d’œuvre 2 ans dit donc ! une affaire que je vous dit !
l’est trop balèze, le dieu bricomerlin. un peu plus et je me retrouvais le crane rasé au fin fond des causses septentrional a réciter les prières de la page 37 du catalogue des promo de mars 2012 ( jour de la fin du monde comme chacun le sait ).
bon, vider le puits perdu. o.k. mais z’ou ? un bout de drain restant, positionné le long de la haie permet de vider le surplus et de l’arroser par la même occasion. ca gêne personne et c’est vite absorbé.
nouveau probleme, la pompe toutes eaux marche bien mais accuse une faiblesse certaine arrivé en fond de puits avec les feuilles mortes, la boue etc… faudrait un truc plus propre.
Bernard ( eu’l joyeux potier retraité ) m’avait proposé de récupérer des futs plastique qu’il comptait balancer.
bin, voila, j’avais tout le matos. et de quoi faire un assainissement par plante version touriste. mieux que rien.
après avoir ouvert mes bidons, j’ai vidé le plus gros du puits perdu avec ma pompe.
puis mis en place le tout pour vérification.
pas de chance, pas assez profond et pas assez large pour les plus gros bidon. bon, bin, les bottes, la pelle et sploutch… ca fait comme qui dirait ventouse…
après une bonne heure a patauger dans la boue, j’ai réussi a les faire descendre au niveau du sol.
pour une reprise de boulot physique, c’était une peu hard… pendant quelques semaines, j’avais oublié le mot courbatures… ca y est… je m’en souviens 🙂
ca, c’est la première version du premier ballon tampon qui devait servir a récupérer le plus gros.
probleme, Bernard n’avait plus le joint d’étanchéité du couvercle et même si je l’ai bourré de silicone, il fuyait et donc perdait tout son intérêt.
donc exit et bricolage avec les moyens du bord…
guère conventionnel, j’en conviens mais… ca m’a cagué et ca fera bien l’affaire pour quelques mois. si tout va bien…
j’ai relié les fut avec des bout de descentes de chéneau et une bonne couche de silicone pour l’étanchéité et pour l’instant. ca roule.
et le dernier fut dispose d’une magnifique pompe, rien que pour lui avec un système de flotteur qui sert d’interrupteur. dés que le niveau monte, le flotteur aussi et une petite bille a l’intérieur fait contact et met en route la pompe. des qu’elle a la tête en bas, plus de contact et elle s’arrête ( s’est pas foutu de ma gueule le dieu bricomerlin ).
du coup, j’ai même pas a m’en occuper. c’est pas beau, ca ?
reste plus qu’a trouver les plantes adéquates ( pas facile en cette saison ) et basta.
alors bien sur, c’est pas le vrai assainissement conventionnel avec respect des normes D.T.U et pas sur que les plantes filtre tout bien comme il faut mais c’est bien mieux que ce qu’on avait avant.
Voila, je suis a la recherche d’un coffret de chantier de comptage pour un branchement provisoire. Ça pourrait être simple mais les coffrets tout prêt sont hors de prix ( entre 400 et 700 € ), l’occaz coute la peau des fesses ( dans les 300€ ) et en autoconstruction, j’arrive pas a savoir exactement ce qu’il faut que j’y mette dedans pour que ça convienne a EDF… Donc, si vous avez des infos ou un coffret a vendre a un prix raisonnable, je suis preneur !
V’la, le trou comme on l’a laissé la semaine dernière. le mal au main été justifié, n’est t’il point ?
Et ça, c’est le boulot de Veolia. Ils se sont pas trop foulé pour le prix demandé…
Bon, creuser des trous, c’est pas des plus facile mais les reboucher… c’est guère mieux surtout quand la terre est gorgé de flotte… Une fois de plus, Estelle a jouée de la pelle pour me filer un coup de main et on a pu avancer rapidement.
Et le résultat…
L’espèce de bidule entre le coude et les robinets, c’est un réducteur de pression. j’ai du le rajouter par sécurité car après mise sous pression, le tuyau d’arrosage, sensé résister a 25 bar de pression faisait carrément le tronche. avec le réducteur, il a retrouvé une forme a peu prés normal.
Bon, sinon, samedi matin, pour bien commencer la journée, y a rien de mieux qu’un petit embourbement… Le tagazou C25 a du s’enfoncer de 5 cm dans la nuit, tellement il a flotté cette semaine. Chargé de la première fournée de carton de déménagement, bin, il a pas voulu sortir. Heureusement, un gars qui passait par la, avec un gros fenwick a bien voulu me sortir de la. Il a du me tirer jusqu’en dehors du terrain car même, sortir des ornières, je patinais mieux que candeloro en lucky luke 😀 Enfin, une bonne transpirée, une volée de nom d’oiseau et un stationnement du C25 sur le trottoir pour le week end 😉 Une fois mais pas deux, pas fou, le gonze !
Bon, sinon, parlons des choses qui fâche… mon portail. Donc, pour le coté du mur ancien, le battant est posé et tient nickel mais pour le coté que j’ai refait et bien, mes craintes était bien fondé. ça tient pô… le poids du battant fait qu’il penche du coté qu’il va tomber. Donc, je l’ai dans l’os et je suis bon pour recasser, et monter de l’agglo a bancher ou kekchose de plus costaud, histoire que ça supporte le poids du battant. d’ailleurs, si vous avez des suggestions…
Ça, c’est le coté qui tiens. J’ai bricolé une patte avec l’aide de mon voisin d’en face, ancien soudeur chaudronnier et passionné de tout ce qui approche de prés ou de loin, a de la ferraille, pour la fixation haute du portail. En bas, ça repose sur une crapaudine ( un U renversé, troué ou l’on insère la vis du bas, ça sert de point de pivot ) Normalement, j’aurais du utiliser la patte de fixation fournie mais il aurait fallu que je la scelle dans le mur mais vu que dans le mur, c’est de la terre, j’ai préféré mettre de coté cette option et choisir la solution patte vissé avec gougeon a frapper inséré dans le mur… c’est nickel… si le mur est costaud… pas comme de l’autre coté… Bon, pour cette semaine, il est posé a la va comme j’te pousse mais il est en place et ferme le terrain, c’est le principal. ( J’en ai marre de me trimballer les pelles, pioches et autres outils a ramener tous les week end dans le camion ).
Et toujours Mr Pommier en soutien moral ! il a même son siège perso maintenant 😀 je vais y faire inscrire son nom derrière comme sur les chaises de ciné 😀 Mine de rien, c’est quand même plus sympa d’avoir de la compagnie quand on bosse.
PS: Julie a fait connaissance avec la nature d’un peu trop prés, a son gout… Et oui, les abeilles, c’est pas son mahou ( son doudou ) ça pique et ça brule quand on les embêtent. Désinfection, son premier pansement, une pelletée de câlin et les larmes ont disparues… Ça m’étonnerais qu’elle y retourne 😀
Quand ils viennent piqueter leur conduite… ou alors, le gars est passé après un repas bien arrosé. Ils se sont juste planté d’un mètre cinquante. A la pelleteuse, ça n’aurais pas été super grave mais a la pelle et a la pioche, je peux vous dire que je les ai maudit ! Donc, j’attaque samedi en début d’aprém. Et que je pioche et que je pioche et que je pelle et… et… rien. Pas de canalisation, pas de grillage avertisseur. pas glop ! Sur ce fait arrive mr Pommier, qui me dit que la canalisation, il l’a voit plus vers la maison de la voisine a environ 1.5 m… Heuuu, z’etes sur ? Bon, je me dit que sa mémoire doit lui jouer des tours et je continue a creuser la ou Veolia avait piqueté. Une heure après, j’ai commencé a me poser des questions et réétudié la version de mr Pommier. Pas de chance pour moi, j’avais balancé toute la terre la ou le père pommier me disait que la conduite passait. Haaaarrgghhhhhh !!!! Et bin, en avant…. j’ai recreusé une tranchée d’environ 2 mètre et toujours rien…. du coup, je suis reparti de l’autre coté. Et j’ai arrêté a 19 h, démoralisé, que j’vous dit pas… j’ai même appelé le géobiologue du village pour savoir s’il pouvait passer dimanche avec l’espoir qu’il m’indique, a peu prés ou se trouve la canalisation. Dimanche, 8h, rebelote en attendant que le géobiologue passe, je me remet a piocher et hô joie, hô bonheur, je l’ai trouvé c’te garce ! Du coup, elle était a environ a 1.5 m de l’emplacement prévu et de l’autre coté de la maison ( version Mr Pommier ). Et bien, il y avait plus qu’a enquiller. Comment je me suis fait ch… l’argile, c’est lourd et collant mais alors arrivé a la caillasse… pas moyen de mettre un coup de pelle sans tomber sur une pierre. M’enfin, j’ai réussi a dégager ces cochonneries de canalisations et c’est le principal. Si demain, Veolia me dit que ça leur convient pas, je leur mord l’œil ! Bilan, je suis sec, défait, ruiné, courbaturé ( on en parle même pas ) mais on va dire, qu’avec 650 € d’économisé, j’ai jamais été autant payé de l’heure. Un grand merci a ma douce qui m’a bien aidé aujourd’hui, elle aussi, va avoir du mal a marcher demain 😀 La photo, date d’hier.
Aujourd’hui, j’ai oublié de prendre en photo, le trou avec les canalisation. ça sera pour la semaine prochaine. Par contre, mon portail attend toujours d’être posé….
PS: éloignez les enfants car je me lance dans la photo cochonne. deux gros dégueulasse se font des papouilles pendant que je bosse, y a pas idée, j’vous le dit !