Aujourd’hui, test de ma machine a parpaing manuel.
Nickel ! Un gain de temps, non négligeable.
Le principe, tu mets un support dans le bouzin ( j’en ai une caisse remplie a rabord )
Tu remplis de terre, sable, paille préparé préalablement, a la bétonniere, que tu tasse plus ou moins avec les mains
Pis t’y marave la tronche au persuadeur ( ça sert décidément a tout cet engin ) pour bien tasser, le tout.
Un coup de lissage a la truelle, pour faire propre
Et démoulage avec plus ou moins de facilité ( suivant que t’as huilé les parois intérieur ou pas )
Avec…
Sans…
Et vous obtenez un parpaing de terre tout chaud !
Le tout sur son support, prêt a sécher. En 1 h30, j’en ai fait une dizaine, soit 1 m².
Ça risque de mettre un moment a sécher mais c’est vraiment pratique. Pour faire des briques plus petite, il faut soit mettre moins de terre soit les couper avec une lame assez fine, une fois démoulé ( pas encore testé ).
Content de mon achat, quoi !
PS: La recette des briques: autant de pelleté de terre que de sable, soit environ 10 de chaque et un seau de paille non broyé par bétonnière. Le tout abreuvé, d’environ 2 litres d’eau ( variable selon l’humidité de la terre et du sable )
Le solin, cette fois ci, je l’ai acheté. A 10 € les 2 mètres, ça valait pas le coup, de se faire suer.
Cette fois ci, j’ai même pas tenté la soudure en altitude. Sur le plancher des vaches, c’est ach’t mieux.
Les dents de requins servent a faire corps avec l’enduit
Vérification et satisfaction de ne pas s’être planté 🙂
Puis enduit de chaux aérienne ( y a pas mieux pour la tenue et l’élasticité ) pour l’étanchéité finale qui va donc se loger dans les dents de requins, le tout, en équilibre précaire
Suivi de l’enduit du reste du conduit. Notez l’air extrêmement sérieux qui sous-entend, que l’enduit a plutôt intérêt a tenir sous peine de représailles immédiate.
Vous noterez aussi les pieds de poteaux que j’ai scellé en attendant de réduire le poids du chapeau ( mais on en recausera )
Scellage de la trappe de ramonage
Et bouchage du toyo de conduit de cheminée
Et puisque je suis malheureux, si je fais pas de connerie, v’la celle du week end ! Cherchez l’erreur…
Qui a dit que ça penche a gauche ? rhhôôô l’autre, voit le mal partout ! chipoteur, va ! 🙂
Parlons maintenant du chapeau de cheminée, conçu pour chuck norris car seul chuck norris peut le soulever. Bon, j’ai vu costaud, très costaud. Et je vais donc devoir le refaire car le soulever, oui, mais a 7 m de hauteur et a bout de bras, en équilibre sur une échelle, seul chuck norris peut le faire ( chuck norris peut tout faire )
Et parce qu’il faut pas gâcher du temps précieux, j’ai coupé un peu de bois pour donner a manger a la cuisinière. Y a bien 1 mois d’avance, la ! une semaine ? deux jours ? quand même pas !
Et pour finir, en faisant l’enduit, v’la ce que j’ai trouvé. Un papillon de nuit, en tenue de camouflage. Tellement efficace son camouflage qu’il a failli se prendre une truelle d’enduit sur le coin des antennes. Je sais pas s’il est comme ça d’origine ou s’il s’est adapté au support ou qui crèche mais c’est bluffant !
Et dans la série, les insectes zobarouïne, la punkus-balais-de-chiottus ! Je la trouve géniale cette chenille ! Tu la monte sur perceuse, tu peux décaper de la ferraille 🙂
Samedi, après avoir enfin reçu, le détendeur qui va bien, pour mon fer a souder, j’ai mis en place l’abergement.
Alors, les pros soudent sur le toit. Bon, bin, hein, je suis pas pro 🙂
Mais j’ai essayé quand même. J’ai tout bien fait, comme pendant ma formation… sur un établi… a plat…
Sur le toit avec une pente de 45 °, ça change pas mal de chose. Isaac Newton n’est pas mon ami et sa théorie sur la gravité s’est parfaitement vérifié…
A cela, se rajoute que les tôles ne sont pas bien droite et ne plaque donc pas correctement et vous avez de quoi énerver un moine bouddhiste sous valium, alors moi… 🙂
Pis, ça m’a gonflé ! Donc, on redescend le bouzin et soudure a plat ou tel le newton de base, je peux me prendre une pomme sur la tronche mais ou l’étain pour la soudure ne se borne pas a remplir mon chéneau sans même essayer de s’accrocher un tout petit peu a mon zinc.
Avec des serres joints pour bien plaquer les morceaux ensembles, c’est ach’t plus facile.
Puis après avoir soudé les deux cotés, j’ai remonté le tout et la, par contre, obligé de souder le dernier morceau en hauteur. Pas simple…
Des soudures a faire mourir de rire, mon formateur zinguerie 🙂 mais j’avais prévue un bon recouvrement, ça ne devrait donc pas poser trop de problème. J’espère…
Et avec les tuiles… la partie basse est juste, juste, limite trop courte mais une fois de plus, ça devrait le faire.
Reste a mettre en place le solin et découper les tuiles de droite. Je m’en passerais mais ça fait vraiment pas beau…
J’ai fabriqué aussi mon chapeau de cheminée. A 50 € de moyenne, ça motive pour se l’autoconstruire.
Un petit coffrage, un peu de béton et roule !
Les ferrailles qui dépassent des pieds vont servir a rentrer dans les pieds qui seront scellé sur le conduit.
Et pourquoi que c’est fait pour ? Bin pour pouvoir enlever le chapeau et faire un ramonage en règle.
Pour l’instant c’est pas trop mal. Le seul problème vient peut être du poids du bestiau, j’ai peut être vu un poil grand et épais. ( 50 x 50 x 5 ) ça risque de faire lourd, très très lourd a monter sur le toit… si, c’est vraiment trop lourd, j’en referais un, ayant suivant un régime slim fast.
Et pour finir, une petite longueur de béton…
Le week end prochain, je finis le conduit. Comme ça, on en parle plus et je me remet sur le béton dans la joie et la bonne humeur.
Vu que j’étais en panne de matière première pour le béton et que je n’ai pas eu le temps d’aller en chercher, le tout doublé d’un thermomètre encore bien au dessus de 30 °, j’ai laissé tomber le béton et décidé de mettre un grand coup sur le conduit de cheminée ( Et puis, par chez nous, ça commence a cailler vers fin septembre, alors faut pas trop trainer… ).
Donc samedi, découpage de l’abergement dans mes tôles de zinc de récup’.
Puis traçage et découpe avé les gants, obligatoire après 3 ou 4 coupures…
Pliage avec ma plieuse de compét’ que même les pro, ils en ont pas une, comme ça 🙂
C’est un peu bosselé, j’en convient mais c’est pas trop mal quand même et fera le boulot qu’on lui demande donc…
Les partie supérieurs et inférieurs. Facile… mais on passe aux cotés et la, ça se complique un peu, surtout si on réfléchit pas. ( Qui a dit comme toi ? 🙂 )
Alors je trace, je découpe, plie, tout bien nickel et je monte sur le toit pour vérifier mon travail… Heuuu, y a un organe reproducteur masculin dans le potage… a moins d’avoir une toiture plate… une buse, une bonne grosse buse… j’ai juste oublié l’angle de mon toit… je sais, j’ai honte…
Bon, bin, rebolote avec un angle adéquate, cette fois ci…
Mieux, non ?
Et le résultat…
Avec le coté foiré, faut t’y pas être un âne…
Le tout n’a pas encore été mis en place et soudé car j’attends le détendeur qui va bien pour mon fer a souder de zingueur. Pour le week end prochain, si tout va bien.
Dimanche, le toyo de la cuisinière et son passage de porte.
Découpe de la porte.
Puis habillage en zinc du coffre et perçage pour le passage du toyo.
Remplissage a la laine de roche ( merci Norbert 😉 ) et fermeture de la boite.
Puis mise en place du bouzin.
Une fois rhabillé avec son OSB et avec son étendage a torchon.
Et l’autre coté. Le té permettra de nettoyer un coup et surtout de vérifier que ça condense pas trop. Au pire, je lui referais un coffrage isolé, si ça ne convient pas.
Perçage de la trappe de ramonage. Je me suis fait suer, je vous dit pas. Les alvéoles étant remplie du ciment, qui se cassait la gueule lors de la pose, du coup, j’avais un paroi de 5 cm d’épais a percer…
Finition tout en délicatesse et retenue.
Et mise en place.
Et le résultat final. Y aura plus qu’a passer une couche de peinture sur la porte, enduire par dessus et boucher les trous.
Et puis.. C’est tout. Dimanche après midi, baignade dans l’Ain. Vivement qu’on ne fassent plus que des baignades dans l’Ain tous les week ends… dans deux, trois ans, peut être…
Dimanche repos mais lundi, j’ai commencé le conduit de cheminée avec les boisseaux que Norbert ( paille haut jura ) m’a donné. ( re-merci 😉 )
Bon, bin, c’est une saleté a monter, je vous dit pas. Pas tellement les boisseaux mais alors le mortier… rognutudju !
Faut qu’il soit élastique et a la chaux. On m’avait dit qu’on pouvait les monter au ciment, bin, compte la dessus et boit de l’eau !
De la chaux et liquide mais pas trop élastique. Sinon, ça se casse la gueule dans les alvéoles et ça ne tient pas. Bien pénible quoi !
J’ai commencé par découper la « trémie » puis détuilé le nécessaire et coupé le bout de liteau en plein milieu.
Puis montage… Application de la chaux a la main car a la truelle, c’est pas pratique. Bon, ça mange les mains, mais c’est plus précis.
Mon royaume pour un escalator !
Passage de trémie.
Encore plus drôle, a monter sur le toit !
Monte le mortier…
Redescend le mortier et monte le boisseau, on s’éclate, c’est fou ce qu’on se marre !
Et le dernier boisseau, avec un bricolage pour mettre deux tuile qui aurait du faire le chapeau. Mais j’ai finalement abandonné ayant une confiance plus que limité dans le bouzin, c’est une coup a se prendre une tuile sur la gueule au moindre souffle de vent.
Puis me restant du mortier, j’en ai étalé une partie sur les boisseaux pour pas gâcher.
Reste a faire, l’abergement, la pose de la trappe de ramonage, le perçage pour le tuyau et l’enduit de corps et de finition. Le plus gros est fait.
Profitant d’un week end a rallonge, Laurent et sa petite famille a donc débarqué, pour nous filer un coup de main, pour le moins, très apprécié.
Vendredi matin, pendant que dame Isabelle récoltait les pommes de terres…
Sieur Laurent a passé un bon coup de rotofil car c’est bien une chose que j’ai tendance a négliger sciemment et sans aucun remord 🙂
Pendant ce temps la, je fabriquais mes planches de coffrage, en palette dépiautée.
Et le résultat… En v’la de la planche de coffrage, a pas cher.
Puis, après mise en place les coffrages et calage « a la, va comme j’te pousse » mais de manière efficace quand même, béton…
Bin, chaud, quand même… 30°, ça tape fort pour faire du béton… pis, moi, bon prince ( et surtout bien fatigué ) j’avais prévu de faire deux longueurs, cool, quoi.
A 18 h, on fini la deuxième, v’la t’y pas que bétonnière man pète une durite et se remet a faire tourner ces super pouvoirs pour une longueur de plus. Hé, ho, non mais ça va pas, chuis fatigué moi ! Et bin, il a rien voulu savoir le fourbe ! On a fini a 19 h… sec… vidé… ruiné… A 8 bétonnière en moyenne par 3 longueur, par 30 °, c’est too much. Vraiment… même si Laurent m’arguait du fait, qu’a deux, on va plus vite et qu’il vaut mieux profiter d’un coup de main pour avancer, c’est too much 🙂 Mais bon, faut pas contrarier un super héros.
Bétonnière man, en pleine action !
Et le résultat pour vendredi
Samedi rebolote. Mais en version plus chaud (35 °) et plus, casse pieds pour la première longueur. Pas d’accès pour benner les brouettes directe dans les coffrages, donc vidage a la truelle et pelle… On va gagner du temps…
Les pansements sur votre serviteur sont le résultat d’une gaufre de compét’. Je me suis fait embarquer, par le poids de la brouette en traversant sur la planche, avec réception dans la tranchée et les ferrailles a béton. Ça fait mal… vrai de vrai. Je m’en sors pas trop mal, sachant qu’une ferraille recourbé est venu rencontré de façon assez agressive ma tête, au niveau de ma tempe. Bien au milieu. Un peu plus a gauche ou a droite, c’était l’oreille ou l’œil… Quand on dit qu’un accident est vite arrivé… M’enfin, plus de peur que de mal.
Comme la veille et d’un commun accord avec Laurent, on s’était prévue deux longueurs, bien suffisante au regard du boulot de la veille et de la chaleur écrasante.
Arrive 18 h et la fin de la deuxième longueur ainsi que pour moi l’espoir bien mérité d’une bière bien fraiche et revoilà bétonnière man qui répète un câble… et merd… étant en manque théorique de matière première, je saute aussitôt sur l’occasion pour lui faire changer d’avis, en caressant secrètement l’espoir de n’avoir pas assez de sac de béton pour continuer mais après vérification, y avait juste le nombre exact… mais heuuuu ! bon, bin, allez…
No comment, sur l’état des travailleurs…
Pis, hô joie, hô bonheur, binouse !
pis, dodo…
Voila, crevé mais ça fait plaisir de voir avancer le chantier et même si j’aurais préféré me contenter de deux longueurs par jours, Laurent a quand même bien eu raison, de me botter le train pour en faire une de plus, a chaque fois.
Donc, un grand merci a lui et ses super pouvoirs ! 🙂
Vu que le jura se tire la bourre avec la Mayenne, question pluviométrie excessive, samedi, comme tous les week end depuis un bon mois, pluie…
Donc, pas de béton… pas grave, on va faire autre chose.
J’ai donc commencé a préparer ma sortie de tuyau de la cuisinière a bois. Vu qu’il traverse la porte, il faut respecter un écart au feu. J’ai donc fabriqué un cadre de presque 30 x 30 ( les dimensions exacte ont été prise en fonction des charnières de la porte de garage ) qui va être recouvert de zinc des deux coté et que je percerais pour passer le tuyau, le tout, remplie de laine de roche ( merci Norbert 😉 ) pour isoler le bouzin.
Le cadre…
Le zinc a été prélevé sur ce bazar. Apparemment, c’était un habillage de caravane. Le tout pour 20 € a l’A.L.C.G ( Assoc de lutte contre le gaspillage, genre emaüs ). De quoi faire toute ma zinguerie ( noue, abergement ). Je dois avoir une dizaine de feuille de 2 m de long par un peu moins d’un mètre. A 150 € de moyenne l’abergement en magasin de matériau, je crois que j’ai fait une bonne affaire. Lutter contre le gaspillage a ce prix la, j’adore :). Faut que je les depiote et les coincent avec du poids par dessus, pour qu’il retrouve une forme acceptable et ça sera une affaire qui roule.
Les futurs recto verso du coffre qui vont être percé pour le passage du tuyau.
Et puisque j’aime définitivement pas gâcher, il me fallait aussi une trappe de ramonage. L’A.L.C.G est ton ami, me dit je !
Je me suis donc trouvé un vieux poêle a bois a moitié en vrac que j’ai acquis pour la somme astronomique de 5 €. Un coup de disqueuse m’a permis de récupérer la trappe du foyer. Elle est pas belle ma trappe de ramonage ? Un coup de brosse et une couche de peinture, et on y verra que du feu.
Ce fut un massacre… pour le poêle et pour ma disqueuse… La garce a rendu l’âme, y a carrément des bouts de moteur qui sortait par les aérations… ( du coup, je sais pas si financièrement, c’était une si bonne affaire… ). Je vais pas jouer le troll de base en affirmant que makita, c’est de la daube mais c’est la deuxième machine avec laquelle, j’ai des soucis… Au prix ou il vendent leur machines, on est en droit de penser que ça tienne le choc, c’est censé être du matos pro… Donc, perso, makita, fini. On m’y reprendra plus.
Et le résultat…
Dimanche, le temps, le permettant, béton.
L’aggloméré pour le coffrage, c’est plus que respectable. Il y en a que j’aurais réutiliser trois fois. C’est honnête, non ? Ça vaut pas, bien sur, du sapin mais en solution a pas cher, c’est pas trop mal. Surtout, qu’en faisant les aires de stockage des déchets des magasins de matériaux, on trouve des plaque entières qui servait d’emballage. J’aime pas gâcher, vous êtes au courant ?
Cette fois ci, j’ai écouté les personnes compétentes et j’ai utilisé un maillet pour « vibrer le béton », a la place de mon bidule monté sur le perforateur. C’est plus rapide, y a pas a tortiller…
Les rajout par dessus, c’est les anciens coffrage de recup’ avec un rehausse pour arriver a la bonne hauteur.
Et vu qu’il me restait un peu de temps, j’en ai profité pour faire une étagère range jouet pour Julie ( ça devient indispensable… ). Celle la, elle a été faite en version light rapide. Chute de parquet en frêne et plateau en frêne mangé par les bébêtes. Vissé, huilé et roule. De toutes façons, elle va affiché complet a peine posé, alors la qualités des bois…
Le week end prochain, s’il fait beau, eu’l beauf débarque pour me filer un coup de main. Au menu, béton. non ?!? si, si !
Vu que tout le monde part en vacance, y a pas de raison que j’en rame pas une. Au moins pour un week end…
Donc, menuiserie. Et fin des toilettes.
Au programme: vernissage, pose des charnières puis test, bien sur 🙂
J’ai préféré mettre une feuille de liège pour faire le « joint » entre le couvercle et la lunette. Sur l’ancien, j’avais mis un joint en mousse mais le liège, faut bien avouer que ça fait quand même plus classe.
Et le résultat final… Tadâââm !!!
Et a quoi, que ça sert le bidule qui pendouille, me direz vous ? et bien, a ça, pardi ! Ça coule de source, voyons…
C’est un protège-couvercle-que-je-me-suis-fait-suer-a-chiader-c’est-pas-pour-l’abimer-contre-l’enduit.
Réalisé en loupe de douglas ( un morceau que David m’avait filé, il servait de chevron, a la livraison de sa charpente, y a pas idée… ) et le dessin a l’encre de chine. J’ai essayé de le faire en incrust’ wengé mais j’ai abandonné. Trop de petite pièces et trop de boulot pour un résultat pas forcement réussi. Donc, un bon vieux dessin, ça le fait aussi.
Sinon, le test…, nickel, confortable, agréable au toucher, un bonheur. Un salon de lecture parfait 🙂
Le week end prochain, j’ai demandé a Estelle de me fouetter si je rechignais a retourner a ma bétonnière.
A coup de pompe dans le fondement, que je vais y retourner, m’a t’elle susurré dans le creux de l’oreille ( pour qui, je la fait passer… 🙂 )
Qui dit petite forme, dit menuiserie. Ça repose, et la tête et le corps ( enfin pas tout le temps ).
Donc, cette fois ci, la lunette. Pareil que pour le couvercle, dégrossissage au cylindre ponceur monté sur toupie, puis limage, ponçage, raclage, ponçage, ponçage, ponçage…
L’est pas beau mon atelier dernier cri, ultra ergonomique, tout bien rangé ?
Vérification que ça colle bien avec le couvercle…
Puis rebolote, ponçage, raclage, tout ça, tout ça, quoi… Même pas vrai que je transpire, c’est a cause de la clim’ qui ne marche pas.
Puis la récompense… Après une couche de bouche pore…
Ce week end, petite forme après une très grosse semaine de boulot donc béton mais version cool.
J’ai décoffré mes pieds de poteaux, en essayant de récupérer un maximum de bois, ce qui m’a permit de fabriquer 3 remontées… pas génial mais c’est toujours ça, de recyclé.
Puis construction de 8 remontées avec les reste de coffrage et les chutes diverses et variées qui traine sur le chantier. Les coffrages sont mis chacun, a la bonne hauteur pour que le sommet soit de niveau de partout. La, pas le droit a l’erreur, faut être précis ( bon, reste une petite marge des pieds de poteaux réglables, mais bon… ).
Ça donne des différences de hauteur de 8 cm max, que je trouve très raisonnable pour un amateur, comme moi. Je les ai aussi, légèrement surdimensionné par précaution. Théoriquement, j’aurais du partir sur du 20 x 20 cm mais un bon 30 x 30 cm, va me permettre de passer de bonnes nuits 🙂
Puis mise en place. Il a fallu aussi découper les ferrailles qui dépassait afin qu’elle soit prise dans le béton et qu’elle ne rouille pas.
Puis remplissage a la truelle pour pas trop déplacer le coffrage en remplissant ( j’ai bien essayé a la pelle mais ça bougeait trop a mon gout ). Environ une bétonnière pour deux poteaux.
Un des coffrages de recup’ a montré des signes évident de faiblesse et il a fallu intervenir en urgence avant qu’il ne rende l’âme… Ceux la, je pourrais les balancer sans remord… z’auront bien bossé !
Et le résultat…
Le week end prochain, fin des remontées et je commencerais peut être a couler entre pieds de poteaux. Encore un peu de boulot, quoi…