Problème de chauffage réglé !

Après tous les conseils que vous nous avez donné, on a essayé plusieurs choses.

La remontée du conduit était acquise car tout le monde était d’accord sur ce point. J’ai donc rajouté 3 boisseaux.

Par contre, impossible de remettre le chapeau. Trop lourd. J’en ai déjà ch… pour mettre le dernier boisseau… Ça, pour l’instant, c’est a l’étude. Chapeau inox, tuile bricolé, bout de zinc, je me tâte.

L’enduit, je pense aussi que ça attendra car la pluie s’est enfin décidé a revenir, ce qui risquerait de laver le moindre enduit que je m’embêterais a y coller sur la tronche. Donc, on verra ça au printemps.

Avec ces trois boisseaux, c’était mieux mais pas encore ça. Grâce au test de l’encens, sans les boisseaux, la fumée filait a l’horizontal mais vers l’intérieur. Pas glop ! 🙁  avec le rajout, ça filait toujours vers l’intérieur mais de façon moins prononcé. J’ai testé l’idée de Franck, en inversant le sens de la vmc et bien que l’idée n’était pas bête du tout, ça ne le fait pas, non plus. En plus de cracher toutes la poussière accumulé, dans la cuisine, ça ne change pas grand chose. Donc, on a remis le tout en place.

Puis, on a testé en coupant la vmc et la aussi, amélioration mais toujours pas de tirage franc.

Puis mon père m’a proposé ( encore merci 😉 ) un poêle a bois dont il n’avait plus l’utilité ( et qui rentre pil poil dans mon entourage de brique de terre, une chose de moins a refaire ) et une fois installé, poêle a bois qui marche + vmc coupé, ça tire du tonnerre.

On pourrait surement remettre la vmc mais par prudence, on préfère la couper, le temps de chauffer. Ça ne pose pas de gros problème puisque en faisant bruler trois buche au format cuisinière a bois  ( en 30 de long et recoupé en quatre ) on monte a 26 ° !  ( record a battre 27 ° , intenable… ). La tenue d’Adam et Ève est de rigueur 🙂

Du coup, en une demi heure de chauffe, on a chauffé pour 24 heures ( température avoisinant les zéro de nuit ). Un coup de chauffe, le matin et on est encore a 20 ° le lendemain matin ! C’est t’y pas bonnard ?

Alors, la raison du mystère vient surement d’un conduit, pas assez haut ( ça se joue a un mètre près… ), d’une vmc perturbatrice et aussi d’une cuisinere a bois, qui n’est peut être plus d’actualité. je pense qu’elle doit bien fonctionner sur une installation classique mais mon bricolage bâtard de conduit extérieur doit empêcher ce bon fonctionnement.

On va pouvoir passer l’hiver en maillot de bain 🙂

Pour changer de sujet, je vous avais causé de notre futur table en bois de recup’. Voila, le résultat dont on est bien content.

On a, comme qui dirait, gagné un poil de place 🙂

Cuisinière a bois hors service et agrandissement du puits perdu

Jeudi dernier dans la nuit, a 3 h du mat’, le détecteur de monoxyde de carbone s’est mis a brailler

Sorti de la famille en catastrophe avec Estelle et Julie enroulée dans la couette et moi qui ouvrait les fenêtres pour aérer. On s’est bien gelé les miches a attendre une bonne demi heure, pour être sur que se soit bien aéré. Par zéro degré, c’est long 🙂

J’avais fait la gueule au moment de payer les 60 € que le détecteur coutait mais, la, je regrette plus du tout, mon achat. ( attention, en passant a ne pas acheter n’importe quoi, y en a beaucoup qui ne marche pas ou mal. Renseignez vous sur le net, des assoc de consommateur en ont testé pas mal )

Depuis, on a bien sur, pas remis en route, la cuisinière et ressorti le soufflant de salle de bain…
Après renseignement auprès de deux chauffagiste, ça viendrait du fait que mon conduit ne dépasse pas le faite du toit. je vois pas bien comment un mètre cinquante de conduit peuvent faire la différence mais si les pros le disent… puis bon, les deux m’ont dit pareil. Ça doit être ça…
Y a plus qu’a rallonger tout ça, samedi prochain… Moi qui avait dit que j’en ramais plus, une…

Si vous avez un avis différent sur la cause de ce monoxyde de carbone, n’hésitez pas a m’en faire part.

Puis samedi, j’ai donné le dernier gros effort avant l’hiver. Agrandissement du puits perdu qui commençait a être limite. La, il devrait plus y avoir de problème.

J’ai laissé une paroie entre les deux afin que le premier serve de bac de décantation et j’ai passé un tuyau a travers la paroi pour que ça puisse se transvaser

Et fermeture avec des palettes pour éviter un accident avec un p’tiot trop curieux

Allez samedi, conduit de cheminée et puis repos, glandouille, lutherie !

Mode hibernation.

Bon, bin, les fondations ne seront pas finit cette année…

J’ai bien encore fait deux longueurs, le week end dernier mais il y a encore trop de boulot pour le peu de temps qui reste et puis une motivation pas vraiment au top. On verra donc ça, l’année prochaine.

On va pas gagner de temps mais, on relativise et on se dit que bien reposé, elles seront vite torché au printemps.

Eet puis, du repos, on en a besoin… vraiment…

Au programme de cet hiver… rien, nada, nib, que dalle. Les plans aux petits oignons, de la lutherie et la famille. Le reste attendra ! Qu’on ne me parle plus du chantier jusqu’au printemps.

Passé ce délais, vous aurez le droit de me botter le fondement, en me traitant de feignasse 🙂

Allez, au printemps prochain ! ZZzzzzzZZZZzzzzZZZZ

Béton et table en matériaux de recup’

C’est reparti pour le béton. Doucement…. Une petite forme et un genou en vrac du, a un mauvais échauffement avant footing, je n’ai fait que deux « longueurs ».

Puis, a des fins d’optimisation de la place dans l’atelier ou qu’on crèche, on va gicler la table de salon et ces deux bancs qui nous servent actuellement et remplacer ces 4 m² au sol par une table d’un format plus raisonnable.

Donc, soit acheter une merdouille chez confokéa 🙁 , soit se la fabriquer… ouais, mieux comme ça, on est jamais mieux servi que par soit même.

Un petit coup d’œil dans mon tas de bois et hop, quatre magnifique pied en chêne d’un ancien lit mezzanine que j’avais construit pour notre ancien appartement, ou la aussi, la place était compté, un plateau en « marqueterie », enfin pas tout a fait, c’est pas vraiment de la marqueterie mais un assemblage qui poutre en bois massif ( je connais la technique mais pas le nom ) et qui devait être un ancien morceau de parquet que j’ai trouvé a…. L’ALCG… ( running gag 🙂 , va falloir qu’il m’inscrive sur leur liste noire et m’interdire l’entrée, tel le casino de base qui interdit les joueurs malades 🙂 ) .

Un coup de ponçage, une couche de vernis, quelques vis et hop une table en chêne massif pour que dalle ou presque.

Les pieds, plus la ceinture.

Et voila, 3 m² au sol de gagné. Mis en service, fin octobre quand j’aurais de la main d’œuvre pour bouger l’ancienne table, en vrai bois d’arbre qui pèse une vache morte. ( spechiole dédicace a betonniere man 😉 🙂 )

En tout cas, chapeau a celui qui a fabriqué le plateau. C’est vraiment du beau boulot. Un assemblage au poil, des jonctions parfaites sans accrocs. Respect !

Un zouli couvercle de regard.

Samedi, recup’ man a remis le couvert pour se construire un couvercle isolé servant a fermer le regard d’arrivée d’eau.

Les 4 ° de moyenne, cette semaine m’ont fortement conseillé de me bouger le fondement et de m’occuper de cette histoire rapidos.

Comme vous le savez, j’adore les palettes 🙂 . Comme d’hab, depiotage de palette pour un recyclage en règle. Le tout, zingué avec mon zinc de recup’.

Puis isolation avec des bouts de porte de garage isolé, récupéré, cela va de soit 🙂

La précision, c’est autant fourbe que vicieux, 2 cm en trop, a droite et paf, la précision, notion très abstraite vient te rapeller que t’es vraiment une buse.

Ça a le chipotage facile la précision… et comme la jazz et la java, quand le pifomètre, quand le pifomètre est la, ( roulement de batterie ) la précision, la précision s’en va ( a chantonner avec l’assent de toloze 🙂 )

Bon, allez je déplacerais le tuyau, ça sera plus rapide… Le résultat dans son ensemble ( toujours regarder le résultat dans son ensemble… )

Puis pour finir le week end, petit bricolage divers zé varié et fendage de bois.

Et pendant ce temps la, les fondations, n’avançait guère…

T’en veux de l’inertie ?

Samedi, journée brique de terre crue.

Je crois que j’ai trouvé la bonne recette pour pas se faire suer et faciliter le démoulage.

Soit une brouette de terre, une dizaine de pelle de sable, 8 L d’eau ( variable suivant la teneur en eau de votre terre ) et toujours un seau bien tassé de paille.

Pour le mélange a la bétonnière et après plusieurs essais, il faut, si possible mettre la moitié de la terre a l’arrêt, jeter une ou deux pelles de sable, mettre en route, rajouter de quoi faire la moitié du sable, la paille et l’eau au complet, laisser tourner une minute et rajouter le reste de terre puis de sable.

Laisser 5 bonne minute, jusqu’à obtenir des  » mottes  » de terre. Enlever le plus gros en bennant la bétonnière puis laissé tourner le temps que se forme de nouvelle motte avec le reste.

Pour l’instant, c’est le mieux, un poil compliqué dans la marche a suivre mais ça marche bien. Le fait de rajouter plus d’eau, facilite le moulage ( plus besoin de tasser au persuadeur ) et le démoulage sans gêner la bonne tenue de l’ensemble.

Y a plus qu’a faire fumer la machine a parpaing ( plotet, on dit plotet dans le jura, vindieu ! ).

Pour les demi briques, soit on les fait comme ça :

Soit quand elle sont encore molle, un bon vieux couteau a pain et roule !

Y a plus qu’a tester avec un moule pour, par exemple, faire une rainure qui servirait a passer un serpentin pour un éventuelle mur chauffant.

Sinon, ceux du week end dernier, secs, ( peut être pas complètement a cœur… ) ont une excellente tenue, pèse une vache mort, ce qui confirme leur futur utilisation en mur capteur, dalle, cloison entre chambre, en version mur chauffant et poêle de masse. ( plus si affinités… ) la ruine des marchand de matériaux 🙂

Et le travail du jour :

Puis vu qu’a, ce qu’il parait le temps, c’est de l’argent, j’ai recoupé un peu de bois avec mon chevalet de la mort qui tue.

C’est vraiment bonnard ce bouzin et carrément économique par rapport a une scie a buche qu’ils vendent un rein et un demi poumon. Et vu que je l’ai acheté a mon… suspens… roulement de tambours… ALCG préféré (  non !!! si, si !!! )  au quart du prix que ça coute, ça fait du coup, a pas cher du tout.

Bon, faudra passer en version tronçonneuse électrique parce que la, c’est pas discret 🙂

Y a plus qu’a refendre tout ça… 🙁

Dimanche, repos du guerrier ! VTT pour ma gueule le matin, pinaise, ça fait du bien ! et vélo z’avec mistinguette en début d’après midi ( j’en avais pas assez dans les pattes 🙂 ), et parce qu’il en faut pour tout le monde, ballade z’en famille, dans la foulée.

Et toujours dans l’optique de pas gâcher, et que même pas fatigué ( j’ai du sang de chuck norris dans les veines ), pose du chapeau de cheminée qui a subi, une cure d’amaigrissement draconienne. J’ai viré 5 cm sur tout, le tour au burin et refait un petit coffrage pour recouler un petit mortier a prise rapide qui m’a fait des angles bien propre, nickel.

Il est moins lourd, c’est vrai… mais a poser sur le toit… le sang de chuck norris n’est pas de trop ! Pis les papas voulait pas rentrer complètement dans les mamans. Il a donc fallu retordre les papas ( ça doit faire mal… 🙂 ) et leur expliquer que la gravité, c’est vers le bas ! pour les faire entrer ( en force ? moi ? vous n’y pensez pas ! )

Et pour terminer le week end, dans un état proche d’une vielle serpillière, maçonnage des briques autour de la cuisinière.

La terre, c’est bien pour tout. Enduit, brique, mortier. c’est vraiment top. Et dans le genre écologique, je crois qu’il n’y a pas mieux. A part le sable rajouté, bilan carbone imbattable.

Salopage en règle, de mon beau parquet. M’en fout, on laisse sécher, un coup de brosse et d’aspirateur et ni vu, ni connu, j’t’embrouille. Alors même pas peur pour mon parquet !

Et pose avec un niveau d’une précision redoutable ( étalonné par la NASA, s’il vous plait )

J’ai vite abandonné la truelle. A la main, c’est plus précis ( je suis pas doué avec les truelles ) mais contrairement a la chaux, ça mange pas les mains.

Les parpaing secs ont servi de base et j’ai ensuite maçonné avec ceux moulé de la veille. Encore bien mou mais maçonnable quand même. ( faut pas monter un mur de deux mètre de haut, bien sur…), ce qui prouve leur bonne tenue.

Recoupage d’un parpaing au couteau a pain.

Et le résultat :

Chuck norris n’étant pas disponible, j’ai remis la cuisinere en place tout seul, comme un grand. Elle est lourde… très lourde… même avec des roulettes derrière…

Et voila, ça va chauffer dur !

Reste a laisser sécher les brique ( un minimum quand même ) puis faire un petit enduit sur les faces extérieur pour faire propre et y aura plus qu’a enfourner le pain de madame et les pizzas de monsieur. miam !

Parpaing de terre crue.

Aujourd’hui, test de ma machine a parpaing manuel.

Nickel ! Un gain de temps, non négligeable.

Le principe, tu mets un support dans le bouzin ( j’en ai une caisse remplie a rabord )

Tu remplis de terre, sable, paille préparé préalablement, a la bétonniere, que tu tasse plus ou moins avec les mains

Pis t’y marave la tronche au persuadeur ( ça sert décidément a tout cet engin ) pour bien tasser, le tout.

Un coup de lissage a la truelle, pour faire propre

Et démoulage avec plus ou moins de facilité ( suivant que t’as huilé les parois intérieur ou pas )

Avec…

Sans…

Et vous obtenez un parpaing de terre tout chaud !

Le tout sur son support, prêt a sécher. En 1 h30, j’en ai fait une dizaine, soit 1 m².

Ça risque de mettre un moment a sécher mais c’est vraiment pratique. Pour faire des briques plus petite, il faut soit mettre moins de terre soit les couper avec une lame assez fine, une fois démoulé ( pas encore testé ).

Content de mon achat, quoi !

PS: La recette des briques: autant de pelleté de terre que de sable, soit environ 10 de chaque et un seau de paille non broyé par bétonnière. Le tout abreuvé, d’environ 2 litres d’eau ( variable selon l’humidité de la terre et du sable )

L’hiver peut se pointer, même pas peur ! ( a moins qu’il vienne avec chuck norris, bien sur… )

Ce week end, fin du conduit de cheminée.

Au menu solin et enduit partiel.

Le solin, cette fois ci, je l’ai acheté. A 10 € les 2 mètres, ça valait pas le coup, de se faire suer.

Cette fois ci, j’ai même pas tenté la soudure en altitude. Sur le plancher des vaches, c’est ach’t mieux.

Les dents de requins servent a faire corps avec l’enduit

Vérification et satisfaction de ne pas s’être planté 🙂

Puis enduit de chaux aérienne ( y a pas mieux pour la tenue et l’élasticité ) pour l’étanchéité finale qui va donc se loger dans les dents de requins, le tout, en équilibre précaire

Suivi de l’enduit du reste du conduit. Notez l’air extrêmement sérieux qui sous-entend, que l’enduit a plutôt intérêt a tenir sous peine de représailles immédiate.

Vous noterez aussi les pieds de poteaux que j’ai scellé en attendant de réduire le poids du chapeau ( mais on en recausera )

Scellage de la trappe de ramonage

Et bouchage du toyo de conduit de cheminée

Et puisque je suis malheureux, si je fais pas de connerie, v’la celle du week end ! Cherchez l’erreur…

Qui a dit que ça penche a gauche ? rhhôôô l’autre, voit le mal partout ! chipoteur, va ! 🙂

Parlons maintenant du chapeau de cheminée, conçu pour chuck norris car seul chuck norris peut le soulever. Bon, j’ai vu costaud, très costaud. Et je vais donc devoir le refaire car le soulever, oui, mais a 7 m de hauteur et a bout de bras, en équilibre sur une échelle, seul chuck norris peut le faire ( chuck norris peut tout faire )

Et parce qu’il faut pas gâcher du temps précieux, j’ai coupé un peu de bois pour donner a manger a la cuisinière. Y a bien 1 mois d’avance, la ! une semaine ? deux jours ? quand même pas !

Et pour finir, en faisant l’enduit, v’la ce que j’ai trouvé. Un papillon de nuit, en tenue de camouflage. Tellement efficace son camouflage qu’il a failli se prendre une truelle d’enduit sur le coin des antennes. Je sais pas s’il est comme ça d’origine ou s’il s’est adapté au support ou qui crèche mais c’est bluffant !

Et dans la série, les insectes zobarouïne, la punkus-balais-de-chiottus ! Je la trouve géniale cette chenille ! Tu la monte sur perceuse, tu peux décaper de la ferraille 🙂

Abergement de cheminée et encore un peu de béton.

Samedi, après avoir enfin reçu, le détendeur qui va bien, pour mon fer a souder, j’ai mis en place l’abergement.

Alors, les pros soudent sur le toit. Bon, bin, hein, je suis pas pro 🙂

Mais j’ai essayé quand même. J’ai tout bien fait, comme pendant ma formation… sur un établi… a plat…

Sur le toit avec une pente de 45 °, ça change pas mal de chose. Isaac Newton n’est pas mon ami et sa théorie sur la gravité s’est parfaitement vérifié…

A cela, se rajoute que les tôles ne sont pas bien droite et ne plaque donc pas correctement et vous avez de quoi énerver un moine bouddhiste sous valium, alors moi… 🙂

Pis, ça m’a gonflé ! Donc, on redescend le bouzin et soudure a plat ou tel le newton de base, je peux me prendre une pomme sur la tronche mais ou l’étain pour la soudure ne se borne pas a remplir mon chéneau sans même essayer de s’accrocher un tout petit peu a mon zinc.

Avec des serres joints pour bien plaquer les morceaux ensembles, c’est ach’t plus facile.

Puis après avoir soudé les deux cotés, j’ai remonté le tout et la, par contre, obligé de souder le dernier morceau en hauteur. Pas simple…

Des soudures a faire mourir de rire, mon formateur zinguerie 🙂 mais j’avais prévue un bon recouvrement, ça ne devrait donc pas poser trop de problème. J’espère…

Et avec les tuiles… la partie basse est juste, juste, limite trop courte mais une fois de plus, ça devrait le faire.

Reste a mettre en place le solin et découper les tuiles de droite. Je m’en passerais mais ça fait vraiment pas beau…

J’ai fabriqué aussi mon chapeau de cheminée. A 50 € de moyenne, ça motive pour se l’autoconstruire.

Un petit coffrage, un peu de béton et roule !

Les ferrailles qui dépassent des pieds vont servir a rentrer dans les pieds qui seront scellé sur le conduit.

Et pourquoi que c’est fait pour ? Bin pour pouvoir enlever le chapeau et faire un ramonage en règle.

Pour l’instant c’est pas trop mal. Le seul problème vient peut être du poids du bestiau, j’ai peut être vu un poil grand et épais. ( 50 x 50 x 5 ) ça risque de faire lourd, très très lourd a monter sur le toit… si, c’est vraiment trop lourd, j’en referais un, ayant suivant un régime slim fast.

Et pour finir, une petite longueur de béton…

Le week end prochain, je finis le conduit. Comme ça, on en parle plus et je me remet sur le béton dans la joie et la bonne humeur.