il fallait que je trouve un pot d’échappement pour mon groupe électrogène.
donc petites annonces et au moins cher, tant qu’a faire…
bon, j’ai trouvé. 20 € le pot d’échappement de… subaru impreza ! brombrom !
vindieu, avec ça, je gagne 5 kWA sur mon groupe 🙂
y a plus qu’a lui rajouter une casquette, un béquet arrière d’avion de chasse et un autocollant « vive le tunning » pour pouvoir aller me la péter en boite de nuit 🙂
au final, c’est bien moins bruyant et c’est tout ce que je lui demande.
je lui ai fait un petit entourage en palette pour la sécurité sur le chantier ( y a un énorme volant moteur qui fait la jonction avec la génératrice qui est a l’air libre, si t’approche ton tee shirt, il se fera un plaisir de te l’embarquer fissa et le bonhomme avec ) ainsi qu’une toiture palette-plastique pour le protéger un minimum de la pluie.
je vais peut être lui faire un entourage en laine de roche pour étouffer le bruit du moteur lui même qui fait maintenant plus de bruit que l’échappement. enfin… si j’ai le temps…
ou comment économiser pas mal de thune facilement.
pour info, il me faut 871 ml. si je suis le devis d’un copain a 13 € le ml, ça nous la donne a 11 323 €. si je suis le devis qu’on m’a donné pour des poutres nailweb ( http://www.nailweb.com/ ) a âme en acier, on arrive a 27 000 €… gloups !
après calcul, je suis a 5.16€ du ml soit 4500 €. bois, OSB et colle compris. y a pas photo, n’est t’il point ?
alors on ne compte bien sur pas le temps passé mais c’est le principe de base de l’autoconstruction… et il faut aussi une toupie avec son entraîneur, sinon, c’est pas la peine.
attention, le prix donné est en fonction des prix très raisonnable, obtenu chez bigmat. en particulier la colle… j’ai cherché a m’en procurer ailleurs pour ne pas tomber en panne et j’ai vite oublié. le meilleur prix trouvé sur le net est 150 € les 5 L. chez bigmat, 50 €, les 5 L … c’est pas pour faire de la pub a bigmat mais ils ont bien assuré niveau tarifs.
pour recap’ et en TTC, le bois est a 290 € du mètre cube, l’OSB a 5.5 € du m² et la colle 50 € les 5 L.
fin de l’aparté « prix de revient ».
maintenant construction.
après avoir rapproché l’OSB avec la grue, j’ai commencé par le découper. la, aussi, la festool et ses rails de guidages sont indispensable.
comme je disais dans un précédent post, le but du jeu est de tirer 4 longueur de 31 cm dans 125 cm de large, soit 1 cm pour les traits de scie.
ça donne ça pour la dernière coupe. le petit point rouge, au niveau du bastaing, c’est la qu’il faut couper. 5 mn, quoi…
sinon, après avoir testé la coupe 3 par 3, je suis passé a 4 par 4, profondeur maximal autorisé par ma circulaire. ça va tout de suite plus vite.
les serres joints servent a ne pas faire bouger les panneaux quand je les déplaçe. on garde une coupe net et précise tout le temps.
et le résultat… y a juste le nécessaire pour mon toit. faudra remettre ça, pour le plancher.
on a aussi affiné la technique de collage.
je les faisais 2 par 2 car la colle a un temps ouvert de seulement 15 mn. donc deux et basta, faut mettre en presse.
j’ai donc rajouté une aire de collage indépendante de la première, ce qui nous permet de serrer la première fournée et de passer a la suivante dans la foulée.
madame encolle les membrures pendant que je monte les poutres.
une fois en presse, il faut 3 heures avant de démouler.
avant de les manipuler, je rajoute un bout de feuillard au jonction de membrure. c’est indispensable sinon rien qu’en les bougeant, on risque de les casser. autant en pression, tu pourrais danser le kazatchock dessus, autant en flexion latéral, c’est aussi fragile que du verre. on a d’ailleurs failli en casser une en la manipulant.
ensuite, c’est la découpe. on coupe a 90 ° d’un coté et en pointe de l’autre.
je me suis fabriqué un gabarit pour la pointe. bien plus simple que de tracer a l’équerre a chaque fois.
on mesure la longueur finale
puis on trace au gabarit
ensuite premier passage de la scie
et on retourne pour finir le travail
enfin, le résultat:
voila, prête a être posé !
les chutes de membrures seront retaillé pour fermer les poutres, a peu près comme ça.
allez encore un peu de boulot mais ça va bien se passer.
la grue marche et mon niveau de stress est redescendu a un seuil acceptable.
finalement, ce n’était pas le moteur mais un fil coupé dans le boîtier électrique. mon électricien m’a réparé ça en un quart d’heure.
on se connaît pas assez pour se rouler des pelles mais j’étais tellement content que dans un moment d’égarement, j’aurais pu lui sauter dessus. 🙂
on en est resté a une bière offerte. plus correct… pis il mesure une tête de plus que moi 🙂 ( qui a dit, c’est pas difficile de mesurer plus d’une tête que toi ? 🙂 )
donc grue ok. j’ai pu déplacer mon groupe avec le lève palette et le mettre a sa place définitive.
pas rassuré aussi… le moteur en route sur le lève palette. accident interdit !
la moumoute en laine de roche, c’est pour étouffer un petit peu le bruit du bouzin. j’ai perdu quelques décibels mais c’est pas encore ça. j’ai trouvé un pot d’échappement d’occaz, je vais essayer de le monter dessus. ça devrait lui calmer sa joie.
allez quelques photos de la grue:
dépliage en route. bien enlever tout les câbles attaché pour les besoins du transport et revérifier un petit coup avant.
on serre bien les fesses et on met son cerveau en pause.
première étape, réussie. on enlève le reste des goupilles et autres blocages et c’est reparti. la par contre, c’est impressionnant. c’est plus le cerveau qui est en pause mais tout le bonhomme 🙂
et… tadaaam ! ( pas oublier de reprendre son souffle )
super content le gars et puis vient la découverte du moteur qui cague… sniff…
vous connaissez l’expression » on dirait une poule qui a trouvé un couteau » ? bin, en v’la une illustration 🙂
au rayon des trucs qui merdouille encore: mon bois de charpente que je n’aurais pas avant mardi si tout va bien… mon scieur m’en a amené une partie ce matin mais ce dont j’avais besoin en dernier: les solives du plancher de l’étage… des fois c’est a se les prendre et a se les mordre.
voila, voila… si tout va bien ( ironie, rire jaune, regard qui tue ) on devrait tomber en panne de colle pour les poutres en I avant la fin du week end… colle manquante que je devrais recevoir lundi si les vents sont favorable. quand ça veut pas…
m’enfin, on peut encore bosser, c’est le principal… ce qui est sur c’est que mon ossature et sa toiture fini pour la fin de mes vacances, je peux me brosser.
si on arrive a monter l’ossature, ça sera déjà pas mal… faut dire qu’on est vraiment pas aidé.
on pensait en avoir fini des soucis et bin, non, raté.
j’ai bien reçu mon groupe électrogène ( alléluia, osana, bibopeuloula ) qui marche très bien, bien qu’un peu bruyant ( C’EST UN DIEEESEEELL ??? on entend bien qu’il est pas en panne disait coluche 🙂 )
après une petite frayeur du a un mauvais branchement électrique ( nââân, déconne, une erreur de branchement électrique ? toi ? j’y crois pôôô ) qui a été réparé par un électricien compétent ( on va pas perdre de temps, je suis une brêle en électricité, je suis une brêle et pis c’est tout ) j’ai pu déplié la mémère ce matin.
tout bien nickel, vrai content, j’ai rien oublié, un bon gros stress forcement mais tout bien nickel.
oui mais… v’la t’y pas que le moteur de rotation a décidé de prendre sa retraite anticipé. arggghhh !!! ( pour pas dire put… de bord… de mer… de vind… de chi… a la c… on est des gentlemans quand même 🙂 )
pour pas perdre de temps une fois de plus, j’ai pas cherché a comprendre, direct chez un bobineur pour me dire si c’est grave docteur. réponse demain.
mes poutres avance doucement mais mon bois de charpente n’est toujours pas la. je devrais recevoir les solives, demain, ce dont j’ai besoin en dernier, bien sur…
allez haut les cœurs, ça va bien finir par rouler tout seul…
samedi matin, en attendant mon bois, j’ai commencé a couper l’OSB.
je me suis racheté un rail de 1400 pour faire les coupes d’un seul trait. vu que j’ai très peu de marge, c’est plus prudent ( et plus rapide ).
ils sont raccordés avec les pièces de raccord que festool vend. par contre, 16 € le bout de ferraille avec des vis taraudé pour le bloquer, ça fait cher. sans compter qu’il en faut bien deux pour avoir une rigidité suffisante. m’enfin, ça marche…
le but du jeu étant de tirer 4 longueur de 31 cm dans 125 cm de large, soit 1 cm pour les trait de scie . c’est la que la précision de la festool est indispensable.
mais ça passe !
une fois, le bois reçu, je me suis attaqué a la rainure des membrures.
après avoir foiré les deux premiers ( que j’ai retourné et dont je me servirais pour les angles ) a cause d’un mauvais réglage pour le premier et d’une mauvaise manipulation pour le deuxième, j’ai pigé le truc pour que ça se passe bien.
des servante a rouleaux en entrée et sortie de table, réglé au poil de cul sont indispensable pour maintenir le bouzin bien droit a l’entrée de la toupie. sinon, la gravité fait son office et ça donne des rainures bâtarde et pas vraiment droite.
l’entraîneur est une fois de plus indispensable. sans, il faut oublier de suite.
le truc embêtant du jour, c’est la rainure de 12 mn… bigmat n’ayant pu me trouver de l’OSB 4 en 10 mn d’épais, je me suis rabattu sur du 3 mais en 12 mn.
mais ma fraise a mortaiser ne permet que 10 mn sur un seul passage… donc, j’ai gagné le droit de me cogner deux passages.
le preum’s donne ça.
et le deuze mange le reste
bon, bin, c’est long quand même… quand je vois le tas de bois a passer deux fois dans la bécane…
et pendant ce temps la…
feignasse !
et maintenant le collage.
j’avais prévu dans coller une fournée de 6 mais par sécurité, je n’en n’ai collé qu’une, pour voir si tout ce passait bien. et j’ai bien fait.
méthode a revoir complètement.
j’ai passé la colle au pinceau ( comme préconisé sur l’étiquette ) mais ça ne va pas du tout. t’en fout plus a coté et sur les bords que dans la rainure.
pour demain, je me suis dégoté un ancien bib de colle que je vais utiliser pour déposer la colle au fond de la rainure. en écrasant l’OSB, la colle devrait dégueuler sur les cotés et donner une bien meilleure répartition de la colle.
autre chose, le « banc de serrage ». chose toute bête a laquelle j’aurais pu pensé avant… les tiges filetées, elles vont pas mal mais sont bien trop longue… a recouper de moitié demain car dévisser sur 50 cm pendant une plombe pour enlever le bastaing et revisser pendant une nouvelle plombe pour le serrage, multiplié par 18 tige filetées… ça le fait pas. sans compter que la colle ne m’attend pas.
allez, peut mieux faire… et c ‘était la première. on ne peut que s’améliorer.
bigmat a rattrapé le coup en me livrant le bon OSB avec la colle manquante, vendredi en fin d’après midi.
allez c’est parti!
vendredi après midi, date officiel de début de chantier, on a sorti la machine a bois avec estelle en attendant nos livraisons.
comme sur des roulettes, que ça c’est passé.
j’ai commencé par visser les planches de coffrage en début de parcours, histoire quelle ne se fasse pas la malle des quelles aurait eu du poids dessus.
j’ai abandonné l’idée de la canne pour la sortie en mode 4X4. j’ai découpé une encoche dans mon diable servant a passer le milieu du bâti et afin qu’il ne puisse pas glisser en arrière. une fois crocheté de cette façon, estelle a poussé et j’ai dirigé, les roues du diable reposant aussi sur les planches de coffrages, ça s’est passé sans encombre. arrivé comme une fleur sur la palette de réception.
j’ai ensuite ressorti ma canne pour manœuvre et faire pivoter la bécane d’un quart de tour
y avait plus qu’a habiller le tour de machine de palettes pour être a niveau, sortir l’aspi et brancher le tout.
deux bonnes bâches pour les protéger et roule ! on a même eu droit a un crash test d’étanchéité avec un orage version musclé et pas de soucis.
la, au moins, je peux travailler et tourner autour de la machine. la seule chose embêtante dans tout ça, c’est le bâchage et débâchage qui prend un peu de temps ( surtout quand c’est pour une petite averse de 5 mn… ) mais de toutes façons, je n’aurais pas pu faire autrement avec les membrure de poutre en I de 5 m…
samedi, fin de matinée, je suis aller récupérer mes membrures de poutre en I que mon scieur m’a déposé en haut du village chez un de ces collèges disposant d’une fenwick.
je les aurais bien vider avec ma grue mais mon groupe est toujours absent… y a du progrès, il a enfin été enlevé vendredi après midi, donc, avec un peu de chance, je l’aurais mardi.
j’ai donc gagné une dizaine de voyage avec ma remorque ( la pôôôvre… ) pour redescendre tout ça.
on a bien essayé d’en charger une partie avec le fenwick du gars mais en posant les paquets, j’ai cru que ma remorque allait exploser… mais vraiment, je lui ai dit mentalement « adieu, tu m’aura quand même bien servi », avant de beugler au gars de remonter avant de tout casser.
bon, raté, en avant pour la transpiré…
les 5 m et 4.5 m, il manque quelques 4.5 m mais dans l’ensemble, j’ai de quoi faire.
les 4 m, je les ai laissé sur la remorque et j’ai commencé par la.
enfin, voila, a part le groupe elec manquant encore a l’appel, j’ai pu bosser, c’est le principal. en gros une demi journée de perdue…
la charpente arrive dans la semaine. je vais donc, mettre un grand coup sur les poutres en I, en attendant.
et puis vous savez quoi ? ça sent bon le bois ! m’en faut pas plus pour être heureux…
il est des jours ou il me faut ressortir mon capitaine haddock préféré pour exprimer ma très grande contrariété…
au menu du jour, nous avons un groupe électrogène qui se trouve toujours a Nice alors qu’il aurait du être enlevé mercredi et livré demain…
alors, si les vents sont favorable, que les oracles sont dans de bonne disposition et que la pente est dans le bon sens, je l’aurais avec toutes les réserves usuelles, mardi au plus tôt mais je vois bien l’affaire pour mercredi… sous réserves… peut être… enfin, du moins, je pense. j’ose espérer ?
c’était la première bonne blague du jour. vu que j’étais chaud, mon marchand de matériaux a suivi.
livraison de tuile ( pas pressé ), de la zinguerie ( incomplète mais pas pressé aussi ) du velux ( velux OK mais habillage de la mauvaise couleur… mais encore une fois, je suis bon prince, c’est pas pressé ) non, ce, sur quoi, j’ai insisté, ce que j’ai demandé impérativement pour ce week end, c’est l’OSB pour attaquer mes poutres en I, faute de grue.
pas compliqué, 60 panneau bord droit en 12 d’épais et en 2500 x 1250… et, et, et… 60 panneaux ( il avait presque bon ) mais rainuré bouveté et en 2500 x 675… mais facturé en 2500 x 1250… en plus de ça, ils ont le sens de l’humour.
sans oublier la colle PU qu’ils ont oublié aussi. en gros, tout ce dont j’avais besoin pour ce week end.
aurais je le sens de l’humour demain en les appelant ? j’en doute fort…
vais je faire une préparation psychologique avant de les appeler afin de me montrer courtois dans la mesure du possible ? je me tâte.
vais m’inspirer de mon mentor barbu amateur de juron bien senti ? sur une échelle de probabilité de 1 a 10, je me situe a 9.88 a la louche 🙂
le chantier est fin prêt, les premiers arrivages de bois, le groupe électrogène et la livraison de matériau pointe le bout de leur nez, vendredi si tout va bien.
on commence par les poutres en I, ça me laisse quelques jours pour en faire le max avant l’arrivée de la charpente.
donc, si vous avez que ça, a faire, on aura du boulot pour toutes les âmes de bonne volontés.
au programme, poutre en I, rabotage, ponçage, taille de botte de paille etc…
le tout sur 3 semaines, a partir de vendredi.
début juin, nicolas vient nous filer un coup de main pendant deux semaines mais plus on est de fou…
voila, voila. on passe aussi en mode abandon de blog. le résultat des courses pour le 15 juin.
bin, oui, c’est franchement pas une habitude mais…
faut que je vous cause de mon nouveau jouet.
rhhâââ, vindieu de vindieu ! ça, c’est du matos !
pour rappel, j’avais eu quelques soucis ( pléonasme ) avec ma visseuse makita MXT que j’avais payé un bras. et je parle pas de la disqueuse makita qui a battu le record de durée de non travail ( 10 mn avant de cramer… )
donc, fallait que je repasse a la caisse car une visseuse, c’est l’outil indispensable.
après avoir écumé les sites internet des fabricants et les vendeurs du coin, il en ressortait que possédant deja une bonne perceuse ( bosch bleu ) la fonction perceuse ne m’était pas indispensable et plusieurs vendeurs m’ont orienté vers les visseuses a choc.
c’est pas très connu car ça coûte très cher et ça ne fait que visseuse…
le principe est le même que les boulonneuses des marchands de pneu, c’est un marteau qui « tape » sur le mandrin dans le mécanisme interne et qui visse donc par a coup et non en force. ça rentre quasiment tout et sans faire forcer le moteur. c’est les « chocs » qui travaille a la place du moteur. par contre pour le perçage… pas sur que ça le fasse.
donc, un bon « mono » produit mais qui tape dans les 500 €…
puis je suis tomber la dessus: http://www.bosch-pt.fr/boptocs2-fr/Artisanat/Industrie/Outils/FR/fr/gw/Visseuses+%C3%A0+chocs+sans+fil/104636/GDR+10%2C8-LI/24265/index.htm
même principe mais en moins puissant que les machine a 500 €. on les trouve dans les 200 € avec une visseuse classique supplémentaire. et vous remarquerez qu’avec un si petit machin, c’est deux fois plus puissant qu’une visseuse pro en 14.4 v.
donc je me tâtais sur ces produits entre les différentes marques.
bosch bleu: garantie 3 ans mais pas les batteries
dewalt: excellente réputation mais garantie 1 an… et pas les batteries non plus
et le challenger: metabo. garantie 3 ans visseuse et batterie
bon, makita… heuu comment dire… hors concours ! 🙂
et puis par le hasard de mes errances sur le net, je suis tombé sur une promo PROTOOL. et la, de suite, ça m’a parlé !
PROTOOL, c’est la gamme charpente de festool.
étant plus que satisfait de ma scie circulaire plongeante festool, je me suis penché sur les caractéristiques du bestiau et la, j’ai cru qu’il l’avait fait rien que pour moi.
ils se sont dit: l’autoconstructeur jurassien a sûrement besoin, d’une perceuse, d’une visseuse et d’une visseuse a choc si ca suffit pas. et pourquoi faire deux machines quand on peut tout faire avec la même. hein, pourquoi donc ?
bah, voila, c’est la différence avec les autre marques et qui fait que c’est du vrai matos de pro.
donc, grâce a ce sélecteur:
on passe du vissage avec débrayage automatique pour les vissages fin, a la fonction perceuse et pour finir a la visseuse a choc de bourrin qui dépote ! 200 Nm ! ( 50-60 Nm de moyenne pour une visseuse classique pro ). le tout garantie 3 ans machine et batterie incluse. et la garantie festool, c’est le top du top ! en cas de problème, ( quoi ça ??? ) ça retourne direct chez festool, pas chez un sous traitant qui s’occupe de 50 marques et qui regardera votre machine quand il aura le temps…
le petit plus, protool-festool, le mandrin centrotec qui permet de passer rapidement du porte embout, au mandrin, en passant par le renvoie d’angle. tres pratique dans le feu de l’action. par contre, le prix des accessoires te font réfléchir a deux fois si t’en a vraiment besoin 🙂
bon, je l’ai essayé tout a l’heure et y a pas photo ! les tires fonds et les vis de 180… comme dans du beurre ! par contre, ca fait du barrouf’ ! en utilisation prolongé, fonction visseuse a choc, il vaut mieux porter un casque anti bruit !
enfin voila, c’est vraiment de l’excellent matos ! c’est plus cher ( hors promotion ) mais ca les vaut largement et finalement pas tant que ca, car vous avez l’equivalent de deux machines qui couterait dans les 700 €.
alors vu que je suis sympa comme gars, voila le lien ou je l’ai acheté : http://outilmania.fr/perceuse-visseuse-batterie-li-ion/4380-perceuse-visseuse-a-chocs-protool-idc-15-2-tec-li.html.
310 €, c’est même plus un bon prix ! c’est du pousse a la consommation !
c’est la première fois que je commande chez eux mais ils sont super sérieux. reçu en 48 h et frais de port gratuit.
c’est de la vente flash, donc, je suppose qu’il ne faut pas trop traîner.
ça se vend dans le commerce ces bêtes la, mais ça coûte un bras ( 160 € de moyenne… ) ça fait une peu cher pour bouger sa machine…
donc, super bricolo bill est reviendu et en s’inspirant des kit commerciaux, il a pondu ça.
une premières version avec roue caoutchouc a foiré, le poids de la machine écrasant complètement le caoutchouc, donc roue polyamide spechiole charge lourde.
de l’autre coté, le bitonio qui sert de support de levier fabriqué avec deux renfort d’angle de volet. c’est juste, juste mais ça tiens le coup…
et la canne qui sert de levier. c’est pareil, l’angle coudé demanderais a être renforcé pour éviter qu’il ne faiblisse.
ça se bouge pas avec deux doigt mais plutôt a deux personnes. un qui dirige et l’autre qui fait bouger la baleine morte. c’est que ça pèse une machine a bois… et j’ai viré tout ce qui peut être viré pour gagner du poids. m’enfin, ça marche et ça m’est revenu a 50 € max.
pour la sortir, il va falloir faire une rampe nickel, sinon, ça m’étonnerais que je puisse lui faire prendre l’air. il me faut au moins la sortir de l’atelier, après je peux la choper a la grue.