Samedi, il a fallu que je rejoue de la pelle et de la pioche car on avait des soucis d’évacuations et les canalisation bouchées.
La faute a ma merveilleuse idée de creuser le puits perdu devant l’atelier alors que la sortie se trouve derrière. Ou comment rajouter de la longueur et des angles qui ne facilite pas vraiment une bonne évacuation. Ne cherchez pas pourquoi, j’eusse la formidable idée de le creuser devant, je ne m’en rappelle pas moi même et c’est pas la première fois que j’oublie de réfléchir.
Du coup, faisant fonctionner mes deux neurones a plein régime, j’eu l’idée lumineuse, dans un éclair de lucidité, de le recreuser derrière, en ligne droite, sans coude et avec un tuyau d’un mètre de long. Et bizarrement, ça s’évacue achement mieux… C’est fou, non?
Alors, recreuse, bougre d’âne, ça t’apprendra !
Et avant la pose du tuyau en 110 de large
Maintenant, ça coule bien et plus de problème d’évacuation. Réfléchir, jeune padawan, tu devras, avant d’agir.
Estelle aussi a bien bossé.
Elle a commencé a recouvrir le drainage sur le coté de l’atelier. Une couche de géotextile, une couche de caillasse…
Et le tout, recouvert de terre. Ca fait quand même plus propre.
Elle a aussi disposé des pierres plates style « pas japonais » devant l’entrée ou elle va semer du trèfle entre les pierres. Ça devrait presque ressembler a une vrai maison, cet atelier ! C’est t’y point mignon ? Moi, j’adore, ça fait bien classieux.
Le beau temps s’étant installé pour l’instant, on sort un peu de notre hibernation avec plein de petite choses a faire mais qui vont nous bouffer pas mal de week end avant d’attaquer la maison. Mais on a décidé de finir entierement toutes ces petites choses, histoire d’éviter de courir deux lièvres a la fois.
Au programme, rentrer mes 25 stères de bois, monter le conduit de cheminée sur l’atelier, réparer mon mur écroulé, finir le plafond de chambre ( madame y tient beaucoup 🙂 ) mon volet a poser ( bin, oui, toujours… ) le nouveau, nouveau toilette sec a finir et d’autres babioles. De quoi s’occuper pour un moment…
ouaip, j’crois bien que tu es maudit de la plomberie… ptet tu devrais po faire tes cateurs solaires…
tho
ps : un plan pour du capteur de qualité à 350 euros pour 2.5 m², ça te dit ? moi je les fais po pour la grande, ça revient plus cher ! et moins bien…
je te le fait pas dire mais sur ce coup la, c’est un petit peu moi aussi qui est oublié de reflechir.
pour ton plan, bin oui, pourquoi pas, mais je pige pas pourquoi ca serait moins cher de les acheter ? y a un truc qui m’echappe ?
et puis, je vais surement m’en faire un petit pour l’atelier; genre crash test, pour voir si une cabale plombiere me poursuit ou pas.
donc z’envoie donc ton plan, ca me botte. je comptais me baser sur un article de la maison ecologique, ca permettra de comparer.
a+
le but étant de rester dans des rendements proches (bien que le travail artisanal ne permette sans doute pas d’arriver aux mêmes résultats), donc matériaux similaires…
quand tu additionnes le (cher) prix du cuivre (tuyau + échangeur), le revêtement, le verre (haut facteur solaire, résistant à la grêle), le cadre (éviter le bois, ça bouge ! à qu’à voir chez moi ! donc alu), l’étanchéité, les raccords, les soudures, le temps passé (et encore, même po besoin de le compter, cuit’là…), t’arrives plus cher !
alors après, tu peux toujours viser un rendement moindre à moins cher et augmenter la surface, mais quid de la durabilité ?…
pasque mes capteurs en radiateurs, y rouillent grave (y’a qu’à voir la couleur de l’eau du ballon !), la vitre se décolle sans arrêt (dilatation différentielle, plus mouvement du bois), le rendement doit po être génial, tout ça…