Une cuvette de toilette qui poutre ! suite…

Qui dit petite forme, dit menuiserie. Ça repose, et la tête et le corps ( enfin pas tout le temps ).

Donc, cette fois ci, la lunette. Pareil que pour le couvercle, dégrossissage au cylindre ponceur monté sur toupie, puis limage, ponçage, raclage, ponçage, ponçage, ponçage…

L’est pas beau mon atelier dernier cri, ultra ergonomique, tout bien rangé ?

Vérification que ça colle bien avec le couvercle…

Puis rebolote, ponçage, raclage, tout ça, tout ça, quoi… Même pas vrai que je transpire, c’est a cause de la clim’ qui ne marche pas.

Puis la récompense… Après une couche de bouche pore…

Miam ! j’ai hâte d’y poser mon délicat postérieur ! 🙂

une cuvette de toilette qui poutre !

Vu que le jura est un département régulièrement arrosé ( presque autant que la Mayenne, c’est dire 😉 🙂 ), j’ai mis a profit l’impossibilité de faire du béton par temps humide, pour avancer ma lunette de toilette.

La lunette par elle même, va donc être fabriqué avec un sandwich d’érable ondé et de wengé. J’adore le contraste et en plus, le sandwich permet une construction plus solide en croisant les fils des bois.

Pour le couvercle, j’avais mis de coté, une tranche de noyer mais avec le cœur a moitié bouffé par les bébétes. J’ai donc découpé la partie mangé et « incrusté » un morceau d’érable ondé.

Puis après ponçage, raclage, ponçage, ponçage, ponçage, ponçage…

On passe une couche de bouche pore et on obtient un couvercle de cagoince qui déracine du sequoia ! La, franchement, sans me la péter, j’en ai le zizi tout dur 🙂 Content, le gars ! 🙂

Avec une cuvette pareil, c’est vraiment savoir prendre soin de son postérieur 🙂

Suite et fin du premier volet. Et oui… Un seul volet…

Ce week end, comme le week end dernier, volet.

Le week end dernier, ça a été, rabotage, ponçage et huilage du premier volet, le second, n’étant pas encore complétement collé.

Et bin, un peu de boulot quand même… virer la colle, raboter bien propre, racler, poncer etc… ça m’a prit une journée…

Après donc, avoir racler, poncer, etc…  j’ai fait les petites défonces pour les gonds.

Puis après, pose des gond, ça donne ça.

Plié.

Déplié.

Et puis bon, c’est pas tout ça, mais faut les poser et c’est la, que ça se complique. Car des volets en trois partie, c’est trois bonne raison pour se faire ch… Les gond doivent être pil poil, tous au même endroit sinon, ça modifie l’épaisseur du volet et ce n’est plus plat, une fois déplié. La hauteur des gond est aussi importante, c’est ballot de dire ça mais ça se joue sur des poils de culs qui font que ça colle nickel ou ça frotte. Et moi, ça a plus frotté qu’autre chose…

La, par exemple, ça frotte 🙂 merd…

Une fois, tout mis d’aplomb, il y a encore les arrêts de volets a poser… Et la aussi, pas simple. Après un grattage de l’enduit pour que ça passe et un essai dans ce sens…

Bin, ça sera finalement dans l’autre sens, avec le bouzin vissé directement dans l’appuie de fenêtre. Je suis chez moi, je fais ce qu’il me plait, na ! 🙂

Et pourquoi, que t’as fait comme ça, doudoudidonc ? Car je ne pouvais pas faire de pré-trou a la visseuse ( Trop bas, ça frottait ) et les visser avec un pré-trou, c’est deja du sport ( y en a d’ailleurs un qui a explosé sur un serrage, un peu trop violent ) alors sans pré-trou et sur cinq centimètre, laisse béton. Et puis, j’aime pas faire comme tout le monde 🙂

Et pour finir, vu de l’intérieur:

Vous remarquerez les petits verrous, en bas. C’est le problème des volets en trois partie, c’est vague comme volet, pas clair 🙂 Et cela dénote un certain manque de rigidité, du a la multiplication des points de pivot. Donc, faut bloquer kekpart sinon, ça flotte.

Il manque d’ailleurs sur la photo, une barre amovible qu’on va rajouter en travers sur toute la longueur pour rigidifier le tout car le loquet du milieu, remplie pas vraiment son office. Ça va faire limite, fort knocks mais bon…

Et vu de dehors. Nous, on aime bien le résultat. Pas vraiment conventionnel mais justement ça change. On va d’ailleurs peut être les faire pareil, pour la maison mais pas en trois partie ( Ces deux la, me suffisent comme ça 🙂 )

Voila, pour les temps futurs, outre la pose du deuxième volet, on essaye de trouver un conduit isolé, double paroi pour notre cuisinière a bois a un prix raisonnable ( vous avez un tuyau ? MmOOuuaaaahhahaha, t’as mangé un clown ? 🙂 ), Histoire de se chauffer quasi gratos et ensuite, je me met sur les nouvelles toilettes sèches. Et un peu d’enduit, si le temps est favorable. Et puis… rien, ça suffit comme ça.

Les volets de l’atelier.

Non ! si, si ! enfin des volets !

Vu que ma feignassite aiguë n’est toujours pas guérie, j’ai décidé d’attaquer, enfin, les volets de l’atelier. Pour la menuiserie, je suis moins malade, c’est la vue des parpaing qui m’indispose 🙂

Comme d’hab, pas conventionnel du tout, car et d’une, j’ai fait avec le bois dispo ( du chêne ) et de deux, je suis obligé de les faire en 3 partie par coté, en éventail car en un seul morceau, ils butteraient sur les chevrons. Bin oui, le grand débord de toit, c’est bien mais c’est surtout bas, surtout avec une pente comme la mienne.

Et le résultat. une futur partie de trois.

Version collé

Si tout va bien, je pose le premier ce week end. Des volets… Hââââ des volets…

Révision complète de mon combiné a bois…

J’étais parti pour changer une courroie de la dégau qui avait pété, en me disant que bof, ça allait être vite torché.

Ouais, bin, non, les ingénieurs qui ont dessiné la bécane ont oublié de rendre simple cette opération…

En gros, il faut pas tout démonter mais presque… Alors vu que c’était démonté, j’en ai aussi profiter pour lui faire une petite révision complète avec graissage, tension des courroies, et nettoyage.

Théoriquement, il fallait que je débranche tous les câbles d’alimentations des trois moteurs mais vu mon talent certain en électricité, j’ai préféré laissé tout branché et me débrouiller pour faire pivoter le tout, sans rien débrancher. Pas fou le gars ! 🙂

Après, il a fallu comprendre quelle vis dévisser pour changer la courroie. Le schéma était plus clair que celui de ma douche mais quand même bien compliqué.

Et en fait, pour changer ces courroies, il fallait démonter la table en fonte que l’on voit au dessus de la poulie… elle est bien bonne, n’est ce pas?

Après, réglage de la tension des courroies de la scie circulaire.

Toujours en cherchant quel vis servait a tendre les dites courroies…

Ensuite, réglage de la tension des courroies de la toupie.

Et pour finir remise en place de la table de travail et réglage de l’ensemble

J’ai donc passé quasiment l’après midi a ça… Vite torché, qui disait le gars….

Huilage de la fenêtre

On a rapidement huilé la fenêtre pour la protéger et éviter qu’elle ne bouge.

On a utilisé de l’huile de lin, car pas trop cher et facilement trouvable.

Sur les conseil de mon formateur, on a passé une première couche dilué a 75 % avec de l’essence de térébenthine, la deuxième pareil mais dilué a 50 % et la dernière pure. Les différentes dilutions permettent de bien imprégner le bois, au plus profond, dans le cœur de la meule, quoi…

Théoriquement, avec ce traitement de choc, elle devrait pas s’abimer.

Stage a domicile sur la fabrication de fenêtre triple vitrage

Ce week end ( en fait, 3 jours ), j’ai fait une formation sur la fabrication de fenêtre double vitrage et triple vitrage.
Finalement, la différence est une moulure qui soit, est a l’intérieur des ouvrants pour les doubles vitrages, soit une moulure a recouvrement, pour les triple vitrages.
La différence est minime et le principe de construction identique.
Au final, c’est « relativement simple » ( tout est relatif… ) et si tu suis bien les étapes, en réfléchissant un tant soit peu ( en fait, beaucoup dans mon cas ), ça va tout seul.
La difficulté résidé principalement, a ne pas se planter, au regard du nombre de profil, contre profil, rainurage etc… sur chaque morceaux de bois. Donc, si tu te plante, bin tu recommence tout… Et vas y que je démonte le porte outil, que je lève les tables, que je rabote, que je redémonte, etc… etc… Donc on réfléchit, on réfléchit, voir même qu’on réfléchit encore un peu, pour être sur, avant de commencer a poser le bout de bois sur la table de la bécane.
Il faut, bien sur, être précis comme jamais, mais encore une fois, mon formateur m’a donné tout les « trucs » pour éviter de me planter.
Si l’idée vous vient de faire pareil, le stage est indispensable. Sans une formation, c’est même pas la peine de tenter le coup, vu le nombre d’étapes et leur ordre a respecter, c’est pas le plan fourni dans le coffret de fer qui va vous aider…
On a fait un petit calcul rapide pour nos fenêtres, on devrait économiser a la louche, dans les 7000 €. Valable, non?
En plus, ne serait ce qu’en double vitrage, y a pas photo entre la fenêtre qu’on a fait et les fenêtres que j’ai acheté pour l’atelier chez Lapeyre. En gros, la différence entre une twingo et une ferrari.
Le bois a été choisi avec amour ( normal, c’est moi qui l’a choisi 🙂 ), sec tout bien, comme il faut, en vrai bois d’arbre du coin ( la foret amazonienne nous remercie ), les ferrures et la quincaillerie ressemblent a quelques choses et non pas a des bitoniaux, de rien du tout, que tu tourne pour les régler et qui sont mort, au bout de trois fois ( je parle d’expérience… ).
Enfin, une fenêtre de qualité, quoi… Vraiment, c’est incomparable.

Allez, les photos :

Un ouvrant de fenêtre se cache dans cette photo. Sauras tu le retrouver ?

Une des astuces du formateur, une fois mouluré les différentes formes, on coupe des tranches qui nous permettent de mieux visualiser les sens de passage ou d’assemblages.

Collage du premier ouvrant.

La petite traverse pour régler l’équerrage du bouzin et avoir une fenêtre qui pourrait servir d’équerre, a un écolier lambda ( mais très musclé )

Les deux ouvrant, la gueule de loup ( pièce centrale ) et le début des traverses du bâti

La, opération tees délicate qui consiste a moulurer l’intérieur des ouvrants. Il faut être super stable pour ne pas faire dévier le tout et flinguer son boulot, en moins de temps qu’il n,e faut, pour le dire ( y a qu’a voir la tronche de constipé que je fais, pour évaluer le niveau de concentration intense. Faut pas que j’la foire, faut pas que j’la foire 🙂  ). Et la, on était deux… Alors tout seul, j’ai pas fini de serrer les fesses 🙂

C’est celle la, qui faut pas merder… tu me diras les autres aussi mais celle la, encore plus.

Le collage du bâti.

Réalisation de la goutte d’eau. Ça, c’est une des pièces que j’ai foiré. A la dernière étape, j’ai mal réglé la profondeur d’un outil et je lui ai mangé 2 mn de trop… poubelle… Et vas y, que je recommence toutes les étapes de rabotages, dégauchissage, toupillage pour un morceau de 50 cm de long… Grouummmpffff !!!

Taaddammm !!! Haaa, il est content nono !

La bête, de plus prés.

Au final, bien content de cette formation. Outre le fait d’apprendre a faire la fenêtre, j’ai appris pas mal de petit truc qui permette de se servir de sa toupie plus confortablement et avec plus de securité.
Maintenant, un petite pub pour mon formateur.
C’est Éric Graffin, connu comme le loup blanc dans le monde des machines a bois. En plus d’être un bon formateur, il se déplace chez les gens pour les former sur leur bécanes. Il se débrouille tout seul, vu qu’il débarque en camping car, de la mort qui tue.
donc, que des avantages, on a pas a se déplacer et en plus, il est autonome chez toi.
Niveau prix, c’est 150 € / jour de formation, ce qui est plus que raisonnable, surtout pour la commodité que ça t’apporte.
Vu qu’il tourne sur toute la France pour ces formations, son coffre de camping car ( car est une vrai caverne d’ali baba ) permet d’acheter des outils qui coutent la peau du fondement, quasiment moitié prix.
Bonnard, quoi.
Ces coordonnées: Top démo machines a bois 17 rue des rechevres 28000 Chartres
tel: 02.37.36.23.45 ou 06.98.94.49.78 ( N’hésitez pas a laisser un message )
Page de pub terminée.
Quand je m’y remettrais, je ferais un reportage étapes par tapes pour ceux que ça intéresse, la, j’ai pas eu le temps.

Le parquet est enfin fini !

Ça y est, y a plus qu’a le poser, chose qui sera faite demain.

Hébé, je commençais vraiment a en avoir marre. C’est quand même vachement de boulot…
Mais bon, demain, je suis sur que je ne regretterais pas le temps passé dessus.

Encore des photos ?

Premières rainures d’une looongue série…

La rainure, de plus prés.

et la languette…

L’entraineur a l’œuvre. Haaa… mon entraineur… Vous est je, déjà narré l’intense passion que nous vivons tous les deux ? Halala, nous sommes vraiment complémentaire, il bosse et je le regarde faire, il prend des risque pour moi en frôlant les lames de la toupie pour m’épargner le moindre risque. Il se dévoue totalement pour moi, le vrai amour, quoi ! 🙂

La dernière opération, la dernière rainure, multiplié par le gros tas de bois, derrière moi…

J’ai préféré faire la rainure, languette en « décalé » ( il me semble qu’elle se fait au milieu normalement ) pour éviter de me gourer dans les sens de passages.
De toutes façon, ça se voit pas et puis je fais ce que je veux avec le peu de cheveux qui me reste ! 🙂

Estelle le rentrait au fur et a mesure pour qu’il passe la nuit au chaud et qu’il se mette a température. ça évite qu’il bouge par la suite. Bon, y a pas grand risque avec du bois sec de 20 ans minimum mais ça coute rien et on est sur, du coup.

Heureusement que Julie était la, pour filer un coup de main a môman !

Puis finalement, on a préférée jouer a l’inspectrice des travaux finis 🙂

Et pour finir la dernière lame a passer dans la toupie….

En tout cas, un grand merci a l’inventeur du MP3 et du lecteur qui va avec, sans qui, le john buttler trio, ben harper, les ogres de barback, les émissions de Daniel Mermet et bien d’autres joyeuseté pour les oreilles m’aurait fait paraitre le temps achement plus long. C’est beau la technologie !

Le parquet en frêne, c’est bôôô mais c’est long….

J’ai enfin attaqué le parquet.
Bon, pour ceux qui aurait la même idée, sans entraineur, faut pas tenter le coup, même en rêve 🙂 .
Caramba, c’est du boulot. Alors, certes, il va déchirer grave mais alors, … pffiou, c’est long… ( j’vous l’ai déjà dit ? 🙂 )
Et dire que ce n’est « que » pour 25 m²…. Alors pour la maison et ces 100 m² minimum… heuuu…. Ma p’tite puce, tu préférerais pas du lino ? Mais du joli, hein, imitation parquet, et tout… PAF ! AAaiieuuuuu, mais je rigoleeeuu.

Bon, allez, soyons positif.
Et d’une, c’est joli, de deux, il va faire 22mn d’épais donc, c’est quasi un parquet a vie et de trois, a la louche, par rapport a des parquets prêt a poser en 8 mn d’épais, c’est environ 750 € d’économisé pour 25 m².
Vu que j’ai plus de temps que d’argent, c’est une bonne affaire.

Des photos ? Bon d’accord.

Haaaa, mon entraineur…. Rrhhâââaaa lovely !!
La, c’est le dégauchissage, première opération d’une longue série.
Pour ceux que ça intéresse, donc, dégauchissage de la face comme sur la photo, puis dégauchissage d’une tranche et ça, pour avoir deux faces de « référence » qui donne le point de départ.
Après, on rabote la tranche pour la mettre a la bonne epaisseur, ensuite, on rabote la face « large » ( celle de la photo ) Et on obtient un escargot tout chaud, heeuu… les chansons de ma fille doivent influer quelque peu sur mon esprit… On obtient donc une lame de parquet, au bonne dimension.

Et sur cette photo, on dirait pas super jamy qui coure ? z’avez vu la rapidité du geste technique ?

La, j’en suis au rabotage.

Et c’est tout ? Mais non, mon bon monsieur !

Après on passe au sciage pour mettre a la bonne longueur, les lames.
Et pour finir, les rainures languettes en deux opérations et si possible sans se gourer sur les hauteurs des rainures qui doivent correspondre au languette. ( la papa dans la maman )

C’est pas énorme comme boulot mais c’est le nombre de passage qui  augmente le temps de fabrication. Rien que pour le dégauchissage des deux face de référence, c’est entre 2 et 3 passages par lame. Pareil pour le rabotage. Il n’a que les rainures languettes qui se font, en un seul passage.
Et a la vue, du zouli tas de bois de la photo ci dessous, vous comprenez pourquoi je vous casse les pieds depuis le début de ce post en vous disant que c’est … ??,..?? Bin, long, voyons ! Vous suivez au moins ?

Pas rangé…

Rangé !

Si tout va bien, je le termine le week end prochain et on le pose le week end suivant.
Si tout va bien… Question planning, on est maintenant tout sauf catégorique.

Installation de la barrière de sécurité autour de la trémie.

Hier, je suis allé acheter une serre agricole d’occaz et j’en ai profité pour filer un coup de main a David sur son chantier, vu que j’étais pas loin.
La serre, c’est aussi une idée de David et ma foi, c’est point bête du tout, pour stocker du bazar.
D’autant que mon atelier provisoire affiche complet. Je peux même pas attaquer mon parquet tellement ça coince.
Avec les 7 m de large par 26 m de long de la serre, ça devrait régler mon problème de place. Si c’est pas le cas, je me met au modélisme.

Un grand bravo a David pour son ossature ( y a le lien de son blog dans les… liens. bah, oui, c’est tout bête 🙂 ) ) Tout en poteau poutre, elle déchire ! Vraiment impressionné par son boulot.

Aujourd’hui, donc, la barrière de securité pour la trémie avec l’aide de Bernard.

On est plus rassuré car avec une petite pépette qui courre dans tous les sens, ça craignait un max

Maintenant, no problemo, je l’ai même quasiment fait trop haute mais bon, au moins elle risque pas de l’enjamber.

J’en ai profité aussi pour finir d’installer correctement la VMC et le chauffe eau. Y a plus qu’a brancher le chauffe eau.

Pour le chauffe eau, j’ai fabriqué un support car je ne pouvais pas le fixer au mur ( hein, forcement… c’est pas la paille et ses cinq centimètres d’enduit qui vont me le tenir mon chauffe eau… 😉 ). Comme ça, je peux le mettre ou je veux.