Fin des remontées de pied de poteau et début de préparation du conduit de cheminée

Vu que le jura se tire la bourre avec la Mayenne, question pluviométrie excessive, samedi, comme tous les week end depuis un bon mois, pluie…

Donc, pas de béton… pas grave, on va faire autre chose.

J’ai donc commencé a préparer ma sortie de tuyau de la cuisinière a bois. Vu qu’il traverse la porte, il faut respecter un écart au feu. J’ai donc fabriqué un cadre de presque 30 x 30 ( les dimensions exacte ont été prise en fonction des charnières de la porte de garage ) qui va être recouvert de zinc des deux coté et que je percerais pour passer le tuyau, le tout, remplie de laine de roche ( merci Norbert 😉 ) pour isoler le bouzin.

Le cadre…

Le zinc a été prélevé sur ce bazar. Apparemment, c’était un habillage de caravane. Le tout pour 20 € a l’A.L.C.G ( Assoc de lutte contre le gaspillage, genre emaüs ). De quoi faire toute ma zinguerie ( noue, abergement ). Je dois avoir une dizaine de feuille de 2 m de long par un peu moins d’un mètre. A 150 € de moyenne l’abergement en magasin de matériau, je crois que j’ai fait une bonne affaire. Lutter contre le gaspillage a ce prix la, j’adore :). Faut que je les depiote et les coincent avec du poids par dessus, pour qu’il retrouve une forme acceptable et ça sera une affaire qui roule.

Les futurs recto verso du coffre qui vont être percé pour le passage du tuyau.

Et puisque j’aime définitivement pas gâcher, il me fallait aussi une trappe de ramonage. L’A.L.C.G est ton ami, me dit je !

Je me suis donc trouvé un vieux poêle a bois a moitié en vrac que j’ai acquis pour la somme astronomique de 5 €. Un coup de disqueuse m’a permis de récupérer la trappe du foyer. Elle est pas belle ma trappe de ramonage ? Un coup de brosse et une couche de peinture, et on y verra que du feu.

Ce fut un massacre… pour le poêle et pour ma disqueuse… La garce a rendu l’âme, y a carrément des bouts de moteur qui sortait par les aérations… ( du coup, je sais pas si financièrement, c’était une si bonne affaire… ). Je vais pas jouer le troll de base en affirmant que makita, c’est de la daube mais c’est la deuxième machine avec laquelle, j’ai des soucis… Au prix ou il vendent leur machines, on est en droit de penser que ça tienne le choc, c’est censé être du matos pro… Donc, perso, makita, fini. On m’y reprendra plus.

Et le résultat…

Dimanche, le temps, le permettant, béton.

L’aggloméré pour le coffrage, c’est plus que respectable. Il y en a que j’aurais réutiliser trois fois. C’est honnête, non ? Ça vaut pas, bien sur, du sapin mais en solution a pas cher, c’est pas trop mal. Surtout, qu’en faisant les aires de stockage des déchets des magasins de matériaux, on trouve des plaque entières qui servait d’emballage. J’aime pas gâcher, vous êtes au courant ?

Cette fois ci, j’ai écouté les personnes compétentes et j’ai utilisé un maillet pour « vibrer le béton », a la place de mon bidule monté sur le perforateur. C’est plus rapide, y a pas a tortiller…

Les rajout par dessus, c’est les anciens coffrage de recup’ avec un rehausse pour arriver a la bonne hauteur.

Et vu qu’il me restait un peu de temps, j’en ai profité pour faire une étagère range jouet pour Julie ( ça devient indispensable… ). Celle la, elle a été faite en version light rapide. Chute de parquet en frêne et plateau en frêne mangé par les bébêtes. Vissé, huilé et roule. De toutes façons, elle va affiché complet a peine posé, alors la qualités des bois…

Le week end prochain, s’il fait beau, eu’l beauf débarque pour me filer un coup de main. Au menu, béton. non ?!? si, si !

Remontées de pied de poteau

Ce week end, petite forme après une très grosse semaine de boulot donc béton mais version cool.

J’ai décoffré mes pieds de poteaux, en essayant de récupérer un maximum de bois, ce qui m’a permit de fabriquer 3 remontées… pas génial mais c’est toujours ça, de recyclé.

Puis construction de 8 remontées avec les reste de coffrage et les chutes diverses et variées qui traine sur le chantier. Les coffrages sont mis chacun, a la bonne hauteur pour que le sommet soit de niveau de partout. La, pas le droit a l’erreur, faut être précis ( bon, reste une petite marge des pieds de poteaux réglables, mais bon… ).

Ça donne des différences de hauteur de 8 cm max, que je trouve très raisonnable pour un amateur, comme moi. Je les ai aussi, légèrement surdimensionné par précaution. Théoriquement, j’aurais du partir sur du 20 x 20 cm mais un bon 30 x 30 cm, va me permettre de passer de bonnes nuits 🙂

Puis mise en place. Il a fallu aussi découper les ferrailles qui dépassait afin qu’elle soit prise dans le béton et qu’elle ne rouille pas.

Puis remplissage a la truelle pour pas trop déplacer le coffrage en remplissant ( j’ai bien essayé a la pelle mais ça bougeait trop a mon gout ). Environ une bétonnière pour deux poteaux.

Un des coffrages de recup’ a montré des signes évident de faiblesse et il a fallu intervenir en urgence avant qu’il ne rende l’âme… Ceux la,  je pourrais les balancer sans remord… z’auront bien bossé !

Et le résultat…

Le week end prochain, fin des remontées et je commencerais peut être a couler entre pieds de poteaux. Encore un peu de boulot, quoi…

Le béton a deux, c’est ach’t plus rapide !

Ce week end, j’ai embauché le beauf, Laurent, venu passer quelques jours pour se reposer, pour finir le dernier pied de poteau entre deux averses.

Bin, y a pas a tortiller, a deux, c’est mathématique, ça va deux fois plus vite. C’est fou, non ?

Donc, Laurent, a l’approvisionnement en eau et ciment et vidage de brouette et moi, au chargement du sable et vidage de brouette.

En deux heures, on a torché notre mètre cube de béton.

On a commencé par préparer les coffrages partiels. Partiels car on a pas coffré de partout et utilisé les bords des fondations. Economies de bois et de temps.

Puis mise en place et calage…

Laurent s’éclate avec sa pelle et sa brouette 🙂 ( faut pas le dire sinon il se fâche tout rouge mais j’ai quand même réussi a faire bosser un délégué syndical CGT, un dimanche ! :-), un vrai exploiteur que je suis ! )

On en a aussi profité pour poser quelques boisseaux pour mon conduit de cheminée de l’atelier, pour vérifier s’il passait entre mon mur et mon chevron et j’ai 5 cm de marge. Juste, juste mais ça passe.

Puis j’ai posé le premier boisseau, bien de niveau.

Restera plus qu’a poser le reste avec un peu de plâtre, percer la « trémie » pour sortir par le toit et réaliser un zouli abergement bien étanche.

Le week end prochain, coulage des remontées de poteaux. Si le temps le permet…

Sploutch !!! a dit le béton…

Bon, ça y est, mon objectif des 11 pieds de poteau coulé dans le week end, a été atteint. Il me reste juste, le pied central avec les 3 pieds de poteaux et les remontées de pieds de poteaux, ce qui devrait être fait le week end prochain.

Ça fait vraiment plaisir de voir le fruit de son travail et d’avoir l’impression d’avoir avancé.

Au total, 47 bétonnières sur 3 jours, c’est une petite moyenne, certes, mais tout seul et avec un angine carabiné, c’est plus qu’ honnête.

Alors, mes coffrages, nickel, même pas eu besoin de mettre les ligature de renforts ( je vous dit pas le temps gagné… ) Il bombe un tout petit poil mais ont bien tenu le choc

Sinon, tout le week end a été complétement fou fou… Faire du béton toute la journée est une expérience passionnante… vrai de vrai… et puis une variété d’opération a réaliser qui frise la gourmandise et qui suscite un enrichissement personnel hors normes.

je met l’eau,

je met le ciment,

Et je met le sable…

On laisse travailler la bétonnière et on en profite pour réfléchir sur l’existentialité de la condition piscicole du mérou aztèque en milieu aquariophile 🙂

Puis on va vider le tout…

En évitant de se laisser embarquer par le poids et de benner la brouette a coté, ce qui provoque automatiquement un agacement certain, doublé d’une bordée de juron dont j’ai le secret, qui déclamé grâce a ma voix fluette et peu porteuse, informe le village que ce n’est pas le moment de me rendre une visite de courtoisie, toute charmante et urbaine qu’elle puisse être 🙂

Puis on recommence… passionnant que je vous disais…  agad’ comment l’gars, il est épanoui dans son travail, au taquet !

Les plus drôles, c’est ceux du milieu, qu’il a fallu se cogner a la pelle. Un bonheur…

Retient la brouette sans la benner a coté…

Et vide la, a la pelle… Passionnant, je vous jure !

Sinon, sérieusement, après avoir remplie mon coffrage, je mettais un coup d’aiguille vibrante auto-construite.

L’aiguille vibrante, a pour fonction de vibrer le béton ( c’est fou, non ? ) ce qui fait remonter le surplus d’eau et d’air et repartie le béton autour des armatures. J’ai donc pris un bout de ferraille a béton que j’ai tordu en zig zag et monter le tout sur le perfo en position perforation. Çà tourne et ça vibre. je doute que ce soit aussi efficace qu’une vrai aiguille vibrante mais après passage, le niveau baissait d’un bon centimètre, je pense donc, que ça remplit son office. Du moins, j’espère…

Puis pour assurer le coup, j’y savatais la tronche avec une tatane géante en fer d’un bon centimètre d’épais, ce qui faisait encore remonter un peu d’eau

Enfin, voila, vous l’aurez compris, un week end passionnant et pas fatiguant du tout. Et je remets ça, dans 3 jours… Vivement demain que je reprenne le boulot pour me reposer 🙂

Ferraillage en place et pose des premiers coffrages

Aujourd’hui, j’ai passé ma journée a genoux. 🙁

Au programme, mise en place des ferraillages puis ligaturage.

Pas physique pour deux sous mais j’ai quand même le dos et les genoux ruinés… Toute la journée dans cette position, ça use…

Par contre, mon histoire de taquet en béton est au poil, ça tient nickel sans bouger.

Ça commence a prendre forme et j’en suis pas mécontent ! Parce que voir que ça n’avance pas sur son chantier, y a de quoi décourager le plus motivé des autoconstructeurs 🙂

J’ai aussi ligaturé ma tresse pour la mise a la terre. j’ai essayer de rajouter un peu de soudure sans grand résultat. j’espère que ça suffira.

Puis pose des premiers coffrages.

Comme vous pouvez le voir, j’ai découpé des entailles pour passer les semelles filantes. Ça permet de couler le tout en plusieurs fois, tout en restant solidaire. ( Enfin, j’espère… )

J’en ai posé que 3. Je vais les couler demain et voir comment ça se comporte avant de faire la suite. Les entailles pour les semelles filantes fragilisant quand même un peu le bouzin. Pas la peine de perdre du temps si ça tient pas le choc…

Demain coulage de ces trois la, puis selon leur comportement, je m’occupe du reste.

Presque fin des préparations avant coulage

Samedi matin, j’ai fini de décaisser les erreurs de trajectoires avec, pour ne rien gâcher, encore une petite séance de perfo.

Il était temps que j’en finisse, ça commençait a me sortir par les trous de nez.

J’ai aussi positionné la boucle de décharge de l’éventuel plancher chauffant.

Éventuel car très onéreux. En fonction du budget, on verra par la suite, si c’est pertinent suivant qu’on a mis la doudoune en plein hiver ou pas.

D’ailleurs, on a mis de coté, pas mal de chose prévue, de cette manière.

Poele de masse, par exemple. ( Si, si, Thomas, c’est bien moi qui t’es cassé les arpions, en utilisant tout mon charme pour te convaincre de la genialitude du poêle de masse, je sais… oui, j’ai honte… 🙂 ).

Il n’est bien sur, pas vraiment remis en cause car bioclimatique ou pas, par – 20 °, il sera pas de trop, le pépère. Mais surement en version réduite. Faut dire que c’était pas difficile, vu que la première version, au regard de sa taille pouvait chauffer les doigt dans le nez, le village en entier et le début des communes avoisinantes :-).

Mais de cette manière, ça préserve notre trésorerie qui n’est pas extensible ( Notre but étant de finir la maison en priorité, on verra par la suite les « accessoires » de luxe ou de confort ) et ensuite, on se dit que la maison étant conçue sur les principes du bioclimatisme, elle est donc théoriquement très peu gourmande en énergie et chauffage.

Il serait donc idiot d’investir des sommes quasi indécente dans du matos pour s’apercevoir par la suite que c’était inutile. On prévoit donc tout ce qu’il faut pour faire les travaux nécessaire sans s’embêter pour un coup dérisoire. Aucun risque financier ( disait mon banquier 🙂 ). 25 m de toyo a 30 €, c’est pas la fin du monde si tu t’en sert pas. Par contre, si tu le prévoie pas, c’est acht’ plus cher par la suite. Pareil pour les serpentins du plancher. Il sera posé et mis en attente. C’est aussi un plus, en cas de revente de la maison. L’acheteur peut faire ce qu’il veut, sans gros travaux.

Pour revenir a ma boucle de décharge, avec une grande surface de capteur, prévue pour un plancher chauffant, il est conseillé de faire passer un tuyau en pleine terre afin de refroidir le capteur en plein été. Ça préserve l’installation.

Une autre solution est de se servir, de ce trop plein de chaleur pour chauffer une piscine. Mais, bon, ce n’est pas vraiment prévue ( Inutile, vous dites ? rhhôô comme vous y allez ! 🙂 ) Donc, en pleine terre, ça réchauffera les vers de terre.

J’ai aussi passé le câble en cuivre que je « brancherais » sur les ferraillages pour ma prise de terre.

Puis, j’ai commencé a mettre en place mes ferraillages. Et la, nouveau « problème » technique.

Ayant décider de me passer de béton de propreté, il faut que je surélève, mes ferrailles pour un enrobage optimal et je pensais caler ça avec des cailloux comme pour l’atelier mais non, ça marche pas. Ça tient mais dés que t’éternue trop fort, ça se casse la gueule. Alors quand ça va se prendre une brouette de béton sur le coin de la figure… le but étant que ça tienne et surtout de niveau, ça le faisait pas.

Donc, après réflexion ( ça m’arrive de temps en temps, si, si… ) j’avais l’option bout de parpaing, découpé a la bonne taille mais ça faisait pas mal de parpaing de flingué pour rien alors, j’ai préféré me fabriquer des taquets en béton en coupant des bouts de reste de tuyau de drainage, a la bonne taille et les remplir de béton. Ça me fait donc des beaux taquets stable et tous a la même hauteur. Je verrais, si je peux enlever le plastique par la suite mais si je n’y arrive pas, vu l’épaisseur, ça ne fera pas de faiblesse et y a des chances que le plastique soit encore la quand le béton se sera désagrégé 🙂

Une fois sec, y aura plus qu’a les positionner a chaque angle de mes pieds de poteaux et roule ! je coule par dessus et ni vu, ni connu, j’t’embrouille !

Cette semaine, je met en place tout ça, si je rentre pas trop tard du boulot, je ligature l’ensemble et peut être… enfin… si les vents sont favorables… le week end prochain, je commence a couler.

Séquence biologie et carnet rose.

En creusant, j’ai pas arrêté de trouver des vers de terres, comme ça, comme en quasi hibernation.

Bizarre, n’est t’il point ? Bin, en fait, apparemment, ça doit être la saison des naissances chez les vers de terres et ils se foutent au frais, dans ce genre de cavités pour mettre bas

La preuve ? Poussez madame! C’est un garçon 🙂

C’est t’y point mignon ? Moi, je pensais que ça pondait des œufs, bin non, apparemment. Au moins, la, c’est pas très grave si c’est la tète ou le derrière qui se présente 🙂

pelle zé pioche attitude 2.0 …

Samedi, fin de la mise a niveau, puis vérification avec l’aide de mon assistante préférée.

Bien, très bien. Une différence de niveau ne dépassant pas 4 cm. Sur des longueurs pareil, c’est plus que raisonnable et moi, ça me va très bien.

Bon, passons aux choses qui fâchent. On a refait le piquetage définitif en fond de fouille. Bon, bin, le blanc jurassien est un délice mais ça fausse les mesures…

Pour faire simple, y a une couille dans le potage ! 🙂 Va falloir que je recreuse. Et j’en ai marre. Vraiment…

Vous voyez, ou il est l’organe cylindrique reproducteur masculin ?

La faute a ma gueule, bien sur, mais surtout a mes piquets qui était pas d’une rigidité folle et surtout au mètre de différence entre les ficelles qui m’ont servi pour le premier piquetage et le fond de la fouille. Et bien sur, c’est le piquetage de fond de fouille qui doit être nickel.

Bin, voila, y en a d’autres, des comme ça. Pas de grosses modifs, plus des rattrapages mais j’en ai plein le fondement. Vrai de vrai. 4 week end, que je suis dessus… Et faut que je finisse cette semaine, si je veux commencer a couler le week end prochain. Un bon gros coup de mou, la…

Donc, au regard des conditions de travail inacceptable que je m’impose, je m’envoie un préavis de grève reconductible afin de m’imposer des négociations, en vue de l’application de mes revendications qui sont les suivantes : je veux un tractopelle, même d’occaz, plusieurs toupie de béton avec pompes gratos, un hamac pour mes pauses syndicales et un pack de bières dans le frigo auto régénérant.

Je vous invite donc, a ma manif de soutien contre moi même qui se passera dans mon jardin. Départ sous mon pommier avec plusieurs tour des fouilles pour finir a la porte de l’atelier. Allez, camarade, tous avec moi ! Faut me faire rendre gorge, salaud de patron que je suis !

Schizophrène, vous avez dit ?

Pelle zé pioche attitude…

Bah, oui, encore…

Ce week end, c’était mise a niveau, avec plus ou moins de boulot, pour chaque pied de poteau.

C’est la, que tu te dis que la lunette de chantier était pas en trop. J’avais des écarts de 2 cm mini a 15 cm…

Donc, pioche et binette pour racler la terre en trop.

Puis tassage de l’argile avec le persuadeur qui a trouvé une seconde utilités

Et pour finir vérification… essoufflé le gonze…

Eu’l toyo rouge, c’est ma futur boucle de décharge pour les capteurs solaires. Autant la passer maintenant dans les fouilles, ça évitera de creuser une tranchée exprès, par la suite.

Et toujours mon copain d’amitié qu’il a fallu retravailler au corps…

Mais le fourbe a appelé un de ces potes… Laissons le capitaine haddock, exprimer a nouveau, le fond de ma pensée…

Il était caché le saligaud… Et c’est reparti pour le perfo…

Après 2 ou 3 heures de perfo… Plein le fondement, je vous dit pas…

Une fois, les pieds de poteaux mis a niveau, il faut faire de même avec les tranchées entre pied de poteau…

A ma droite, fait 🙂 A ma gauche, pas fait 🙁 …

Bon, bin, j’ai pas fini… Me reste encore quelques tranchées a mettre de niveau, chose que sera faite, le soir en rentrant du boulot, si je veux pouvoir commencer a couler le week end prochain.

Sinon, cette semaine, j’ai fini les coffrages des pieds de poteaux.

Montage.

Avec ses renforts de contreventement pour les manipuler plus facilement et ses renforts latéraux. Et a quoi, qui servent tes renfort latéraux ? Bin, a passer un bout de ligature en bas et en haut pour rigidifier le tout et éviter que ça fasse le ventre, une fois le béton coulé.

Puis recyclage de fond de pot de vernis, lasure, pour étanchéifié le tout.

Donc, cette semaine, va falloir turbiner pour finir ces rognutudgus de mise a niveau. Puis, mise en place des coffrages s’il ne pleut pas avant coulage ce week end.

Je suis fatigué d’avance…

The human buldozer is back !

Ce week-end, fin du creusage des plans d’inventions, comme dit Julie 🙂

Il a fallu rattraper le week-end dernier, passé a regarder la pluie tomber, par citerne entière…

Donc, au menu, creusage ( enfin élargissement ) des pieds de poteau ainsi que la dalle du poêle.

A ce sujet, on a encore réduit la dalle du poêle et donc légèrement modifié les plans de la maison. On avait encore prévue trop grand donc on est passé définitivement a 4 m², ce qui est déjà pas mal du tout.

V’la ce que ça donne maintenant.

Avec 4 m², y a déjà la place de mettre un beau bébé… puis, ça nous simplifie aussi l’histoire.

Donc, samedi matin, mode jean claude vandamme, ON. Tu think la pelle, s’tu veux, tu fais body avec la pioche, t’es aware, quoi ! Donc, encéphalogramme de la grenouille et tu pelle et tu pioche !

Décaissage de la terre pour la dalle.

Mode DDE attitude 🙂 On rigole mais qui ne s’est pas cogné des pelletées de terre ou d’autres choses, dans le genre ne peut comprendre les gars de la DDE dont on se moque régulièrement avec leur soit disant, fainéantise 😉  J’y ferais pas a longueur de journée, moi…

Je me suis fait un petit cadre de la dimension des pieds de poteaux, que je superpose au ficelle de tracé pour avoir l’emplacement théoriques des semelles isolées.

Puis, on élargit le tout avec plus ou moins 10 cm de marge pour faciliter le coffrage et le positionnement précis des poteaux.

Au sujet du coffrage et vu qu’il faut toujours écouter les bons conseils 😉 , je vais finalement coffrer mais en plusieurs partie. Je vais d’abord couler tous les pieds de poteaux ainsi que la semelle pour la dalle du poêle. Puis une fois sec, je coulerais les semelles filantes entre poteaux. Ça me permettra de les faire plus facilement a la bétonnière, sans être obligé de courir et surtout se passer de toupie qui vendent le béton au prix du caviar. C’est une sacré gain de temps, j’en doute pas mais ça fait vraiment trop cher…

Bbbeuueeuu !!! Jean claude vandamme est mon maitre !

Une fois fini, ça donne ça :

Heeuuu, j’ai un petit coup de mou, moi… une petite sieste peut être avant d’attaquer ? non ! au boulot, feignasse ! mais heuuu, bon d’accord…

Et mon copain d’amitié ! The jurassik caillasse ! En plein milieu ! La ou il faut pas ! Sal.. de coch…

Laissons le capitaine haddock exprimer mon opinion quand au positionnement inopportun de ce caillou

Bon bin, y a plus qu’a appeler Mr Dewalt a la rescousse… Ca va bourre piffer sévère !

Tu l’as vu le coup de soleil ? Moi, je le sens bien, en tout cas 🙂

Dewalt, vainqueur a l’usure ! 1h30 de boulot quand même et un perfo, qui a eu bien chaud. Il faudra peut être y revenir un poil pour positionner les coffrages de niveau mais rien de bien terrible, le gros du boulot est fait. Heureusement qu’il y en avait qu’un…

Puis avec ma jolie assistante, on a commencé a mettre de niveau tout ça, grâce a ma nouvelle lunette de chantier. Trouvé d’occaz’, a pas cher, ça permet de se passer de louer un laser de chantier qui tape dans les 45€/jours. En deux jours de location, j’ai payé ma lunette que je pourrais revendre.

Pour ceux que ça intéresse, la différence avec un laser tournant, c’est qu’il faut être deux, un a la lunette ( c’est une grosse paire de jumelle, en gros ) qui prend les mesures sur la pige gradué que le deuxième tient, contrairement a un laser tournant ou le laser se reporte automatiquement sur la pige. Pour un autoconstructeur, y a pas photo, entre 100 et 150 € d’occaz pour une lunette et 500€ mini pour le laser, le calcul est vite fait…

Puis, comme j’en avais vraiment plein le fondement de peller, je me suis mis sur la préparation des coffrages.

A l’ ALCG ( Assoc de lutte contre le gaspillage ) j’ai trouvé un lot de planche d’aggloméré a 20 € le tout, qui iront parfaitement pour les coffrages ( perdue de toutes façons ) des pieds de poteaux. J’ai complété ce qui me manquait chez pagot savoie avec toujours de l’aggloméré. C’est sur que l’aggloméré, c’est pas ce qui a de mieux mais en tant que coffrage perdu, c’était ce qu’il y avait de moins cher. En planche de coffrage sapin, c’était le double du prix…

Donc, je vais quand même leur passer une couche, de fond de pot de vernis que je collectionne pour éviter que le bois pompe trop l’eau du béton et qu’il se désagrège. Je pense pas que ça arrive mais, bon, par sécurité…

Festool PôôôWWâââ !!!

Mes futurs pieds de poteaux

Voila, le week-end prochain, mise en place précis des ferraillages puis vérification du positionnement des coffrages que je mettrais en place, juste avant de couler, histoire qu’ils prennent pas trop la flotte.

Et le week-end suivant, bétonniere man is coming soon !

 

Reprises des fondations

Ce week end, pelle et pioche ont été de sortie.

Au menu, décaissage de la terre écroulé, que j’ai mis de coté pour la futur barbotine. Le gel ayant fait son œuvre, elle était complétement effrité, ce qui devrait réduire grandement le temps de preparation de la barbotine. ( Plus la terre est fine, moins, il faut la laisser tremper avant touillage ).

Vu qu’on a un soleil du tonnerre depuis deux semaines, la terre a eu bien le temps de sécher, ce qui a facilité le travail ( l’argile mouillé, c’est une catastrophe a la pelle, ça colle et c’est lourd ).

Le tas de future barbotine en cours de bâchage pour éviter l’eau et la transformation en jungle tropicale. Ca fera pas toute la maison mais on va gagner du temps quand même.

Puis, décaissage des angles que je n’avais pas pu faire avec la minipelle, le bras de l’engin n’étant pas assez long.

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Pause syndicale…

Un revenant ! Le caillou farceur ! Saleté, va ! en plein milieu de ma tranchée… On va voir si on peut faire avec sinon, perforateur pour lui maraver la chetron. Je suis pas rendu, moi…

Reste a prendre les niveaux, z’avec mon niveau qui doit arriver dans la semaine, puis égaliser les tranchées bien nickel, réfléchir et étudier s’il faut coffrer ou pas, puis poser le ferraillage, ligaturer le tout et bétonner tout ça.

Y a encore un peu de boulot quoi…