Bon, faut dire ce qui est, le douglas, c’est quand meme un peu de la drouille.

attention message pas objectif du tout et rédigé sous le triple combo de la colère, de l’amertume et d’un grand sentiment de ras le bol.

toi, lecteur assidu de ce blog et peut être futur éco-constructeur, tu as sûrement du lire, dans des livres traitant du sujet, sur ce blog et sur bien d’autre que le douglas était le bois miracle pour qui veut construire de la façon la plus naturelle possible.

la légende qui court a son sujet prétendrait que ce bois est naturellement classe 3 et qu’il n’est donc pas nécessaire de le traiter plus que ça, contrairement a l’épicéa qui doit être traiter obligatoirement, par exemple.

et bien, sache que non, ce n’est pas la marmotte qui met le chocolat dans le papier d’alu, que jean francois copé n’a sûrement pas lu, l’un de ces propres précédent livre intitulé      « promis, j’arrête la langue de bois  » ( oui, je sais, ça fait toujours marrer ), que finalement chuck norris n’est finalement qu’un acteur de série Z ( un mythe s’écroule… )

en effet, le douglas peut se faire boulotter par des insectes vorace, que les champignons s’y développe très bien et que finalement, ce n’est que le processus naturel si bien foutu, de dégradation des arbres en foret qui se retrouve chez toi.

version bébête :

version champignons :

version pourrissement, friable au toucher :

de la belle ouvrage, n’est t’il point ?

c’est quoi donc qui est attaqué de la sorte ? mes membrures de poutre en I. et du coup, il nous reste 6 poutre a fabriquer, juste 6, bord… de biiiip !

et pour finir ces foutus poutre en I, il va falloir recommander du bois, les repasser dans la machines etc…

le tout, avant les grands froids ? j’y crois moyen.

bon, au moins, cette année, on va pouvoir se chauffer a la bourge. 300 € le stère, une affaire non ?

une fois de plus, beaucoup de temps, de fric, dépensé en vain…

PS:

pour être objectif, il faut avouer que le bois était stocké dehors mais sous bâche et sur une palette. on aurait pas du avoir de problème. le douglas jurassien doit être particulièrement savoureux, ça doit être ça.

en deuze, ça reste toujours mieux que du sapin mais il faut dénoncer cette idée reçu et prévoir un traitement adéquate, en fonction de la situation. je pense que le jura étant très humide, le classe 3 naturel ne suffit pas. on pense d’ailleurs a traiter toute la charpente avec un traitement léger, juste pour assurer le coup.

en troize, oui, la solution, c’est d’utiliser du douglas purgé d’aubier mais c’est pas le même prix et sur 24 m3 de bois, ça fait une grosse différence.

pour finir, et pour m’aider dans ma cure de désintoxication de gros mots, très vulgaire, je te propose, cher lecteur, de remplir toi même les blancs ci dessous, de la phrase qui m’aurait permis d’exprimer ce que je pense de tout ça, tout en me permettant de garder un semblant de savoir vivre.

…… de …… de ……… de …….. d’……. tu peux te….. et te le…… la ou….. ……de….. de douglas de ……

waow ! hébé ! ce que vous êtes vulgaire, je suis choqué ! 🙂

un blog d’une si bonne tenue… vous vous égarez, bande de malotru !

Plancher du RDC ou la spatialisation de la planchitude… Hé Ho ! t’vas la fermer, oui ?

un petit pas vers notre plancher de rez de chaussé mais un grand pas vers la fin de notre chantier ! … … … non ? pas tout de suite, tout de suite ? j’ai vu la vierge en 3D ? bon d’accord.

m’enfin, bon, même si on a encore un peu de boulot ( il a mangé un clown le môssieur ? ), ça fait quand même, plaisir d’avancer.

allez : Mode produit de m… pas vraiment écolo. ON

non, toto, aïe, pas la tête !

je sais, c’est le mal absolu qui fait qu’a chaque centimètre carré de bois traité au xilophene revient a tuer un chaton a coup de pelle mais on a quand même traité nos lisses basse, le bas des poteaux qui seront a l’intérieur du plancher et la membrure basse de chaque poutre en I.

faut dire que le capricorne qui a grignoté la charpente de l’atelier m’a bien refroidi et une fois, les poutres fixées a la lisse basse, je pourrais plus rien faire.

donc par sécurité, on a préféré traiter les parties extérieures contre les bébétes mais aussi contre les champignons. et tant pis, pour les chatons 🙂

j’ai ensuite mis a niveau mon regard, trois ou quatre centimètre a virer dans la joie, la bonne humeur et un gros nuage de poussières.

puis j’ai viré le surplus de colle ( et y en avait… expansive, la colle, qu’ils ont dit… ) pour pouvoir poser le fond en OSB

Mode: pour avoir génocidé des chatons tout mignon, tu sera fouetté, cul nu, en place publique a coup de maïs transgénique pendant que Daniel Cohn-Bendit te lira l’intégrale du grenelle de l’environnement avec des trémolos dans la voix… ( vindieu, ça fait peur… brrr… ) OFF

Avec ma douce, on a positionné les poutres avec l’aide des fonds, pour l’entraxe. une vis de chaque coté sur chaque lisse basse et roule !

pour que l’étanchéité a l’air soit nickel, j’ai mis un filet de silicone sous chaque fond OSB et sur la tranche des panneaux. les vis finissent d’écraser le silicone et théoriquement, ça devrait être étanche.

pour ce qui est du regard, je devais faire une trémie pour rendre plus accessible la descente mais finalement, j’ai peur que ça fragilise le plancher et ça facilitera la pose d’une plaque de sol par la suite pour le fermer.

et puis après avoir testé, mon corps svelte et gracile passent sans trop devoir rentrer les muscles de puissance situé au niveau du nombril. donc, le bénéfice penche en défaveur de la trémie. puis, c’est pas tous les jours que je vais y descendre, donc…

on a aussi posé le grillage anti squatter. vu que le vide sanitaire est ouvert sur toute la longueur, on a préféré le fermer pour éviter que ça devienne le Macumba félin du coin.

on a aussi posé le tuyau d’arrivée d’air du poêle de masse. est ce que c’était nécessaire de le faire venir jusqu’ici ? bin…

et le résultat…

la paille est inséré comme pour le toit. par contre, ça risque d’être un poil plus sportif car il va falloir la pousser la ou sur le toit, je pouvais faire mien, l’adage du grand philosophe chuck Norris : « Je mets les pieds où je veux et c’est souvent dans la gueule«   pour faire rentrer la botte de paille.

la, il va falloir pousser… ou alors, j’appelle jean claude van damme pour qu’il me les fassent rentrer a coup de tatane comme dans son chef d’œuvre cinématographique : kickboxer ! (vers 45 sec )

chuck norris, JCVD… manque plus que steven seagal pour avoir la triplette gagnante 🙂

bon, je m’égare… en gros, on va en baver.

les passages de poteaux… pour une fois, je suis content de moi, tiens !

et comment qu’on va pousser les bottes ? même JCVD peut rien pour nous…

on va donc fixer de la laine de bois de 4 cm sur les flancs et on va couper la botte  pour qu’elle puisse rentrer par dessus.

mais, bon, ça, c’est pour le prochain épisode.

PS : le pire, c’est que ça me fait marrer mes conneries… oui, c’est affligeant mais c’est toujours ça, de pris ! 🙂

Les maisons en paille, c’est dangereux, ça brûle !!! … … … bin… heuuu… en fait, non.

la preuve par l’image.

je ne sais pas de quel émission, ça sort mais elle parle d’elle même et pour une fois, je ne conchierais pas la téloche ( un de mes sports favoris 🙂 )

le lien vers la vidéo s’est une fois de plus, perdu dans les méandres d’internet mais vous pouvez rechercher sur les réseaus alternatif ou demander a votre tonton d’amérique, la vidéo qui nous avez convaincu a l’époque et qui s’intitule : Construire En Paille Houses Of Straw Stroh Im Kopf Fr

et puis parce qu’il faut pas déconner quand même, une petite chanson sur la télé que j’adore.

Dormant de fenêtre, votre avis m’intéresse !

et oui, le doute m’habitant, je m’en vais faire appel a votre savoir légendaire !  oui, oui, celui qui est transmis de génération en génération depuis au moins la nuit des temps ( faudrait voir a penser a le noter quelque part quand même ! )

donc, pour nos murs, il n’y aura pas de double ossature bois pour caler la paille.

on a choisi le même principe que les maisons en paille porteuse, a la différence que dans notre cas, c’est l’ossature qui porte la toiture. faire une double ossature, c’est presque de la gourmandise. ça double le volume de bois, ce qui fait perdre beaucoup d’intérêt a l’ossature poteau poutre. donc out !

les bottes de paille seront monté comme des parpaing, mis en tension régulièrement avec des sangles pour éviter le problème du tassement naturel de la paille et bloqué avec du feuillard.

la ou je me pose des questions, c’est sur le dimensionnement des dormants de fenêtre. agad’ le croquis !

pour la partie basse, je pense que la paille en dessous permet d’utiliser une section de bois réduite ( 27 mn ou 35 mn d’épais  )

pour les montants, je suis parti sur du massif en 5 cm d’épais mais arrive ze couechtionne… comment calculer la section de la partie haute ?

autant les fenêtres qui se trouve sous les rampants n’auront pas beaucoup de botte de paille par dessus, autant les fenêtres des pignons vont prendre cher au niveau du poids.

y a quand même 8 m de hauteur et les fenêtres sont l’une au dessus de l’autre. donc celle du bas risque de supporter pas mal de poids et avec 1.20 de largeur, il faudrait pas que ça flanche au milieu.

alors, voila, que choisir ? un méga linteau en massif, genre 10 cm d’épais mini ? voir du contreplaqué en 3 cm d’épais ?

donc… bonjour mesdames et messieurs, non, je ne suis pas un voleur, non, je ne vous demanderais pas de l’argent, mais si vous aviez juste un petit conseil a m’offrir, cela rendrait ma journée plus agréable et me permettrait de me sentir moins bête, a votre bon cœur mesdames et messieurs !

Une étude très intéressante sur l’autoconstruction.

Il y a deux mois environ, deux étudiantes en architecture ( Anaïs NENERT et Mélody DOY ) m’ont contacté pour répondre a un questionnaire sur l’autoconstruction. ce n’était pas le premier questionnaire auquel on répondait mais c’est le premier sur lequel on a un retour.

et ça fait plaisir car si on répond bien volontiers a ce genre de questionnaire, on a rarement des retours malgré nos demandes.

en tout cas, ces étudiantes viennent gentiment de me faire parvenir le résultat de leur travail et l’autorisation de vous le faire partager.

c’est une étude anthropologique ( je dirais sociologique ) sur le milieu de l’autoconstruction mais aussi de l’utilisation d’internet comme outil de propagation du savoir et des idées ( mon dada personnel 🙂 ).

c’est très bien écrit et très intéressant. et ça mérite d’être diffuser. vous pouvez donc le télécharger ici :

rapport anthropologie autoconstructeurs-2

bonne lecture et encore merci a Mélodie et Anaïs pour le retour.

Une bonne nouvelle pour les maisons paille

et oui, la SHON-SHOB, c’est fini !

pour faire simple, la shob etait calculé sur toutes les surfaces construite et la shon était la surface déclaré sur son permis de construire, une fois déduit, le garage, les combles, grenier etc… toutes les surfaces non habitable ( je simplifie… )

et pourquoi, que c’est bien que ça disparaisse ? et bien, ça pénalisait les maisons paille ou du moins, les maisons possédant une bonne isolation, qui est en général épaisse.

le calcul était fait a partir du mur extérieur, soit pour notre construction environ 25 m² déclaré, d’épaisseur de mur, forcement non habitable… donc, des impôts plus important pour rien…

avec cette nouvelle reforme, le calcul se ferait sur l’intérieur des murs. on peut donc avoir des murs d’un mètre sans que ça pose de problème.

allez pour avoir le topo complet, ça se passe ici: http://www.developpement-durable.gouv.fr/spip.php?page=article&id_article=25290

de mon coté, il faut que je renseigne en mairie, si je peux modifier tout ça sur notre permis de construire. ça pourrait nous économiser quelques sous, mine de rien…

feignassons tant qu’on le peut !

petite semaine… le chef de chantier étant fatigué ( nooon, pas par nature, mauvaise langue, va ! ), il s’est auto switché en mode rastafari.

donc, cool man ! juste de quoi s’occuper, les trucs a faire depuis un moment.

j’ai commencé par couper les bouts qui dépassait de la mezzanine. un coup de magic festool et ça a été vite plié.

puis on a fini de fermer le plancher.

les découpes d’angles etait un peu plus casse pieds mais vu qu’on a pas fait dans la précision…

ça fait limite sagouin, non ? bon, pour vous éviter la syncope et que vous ne m’abreuviez de mot très grossier qui font pleurer les yeux, je tiens a préciser que le but de ces morceaux servent juste a fermer la boutique et que seule la partie inférieur se verra du dessous. donc vu de dessous, c’est beau !

par dessus, ce travail de bûcheron sous ecstasy ne se verra aucunement et sera recouvert par un zouli parquet en frêne, qui lui, devra être d’une précision micrométrique quand au découpe devant épouser au poil de cul, les formes diverses et varié de ma charpente, sinon… je vais me faire péter ma gueule par madame 🙂

puis on a fermé les plafonds entre les solives.

reste a trouver une technique bien propre pour fermer les cotés ( a droite sur la photo ). on ne sait pas encore sur on mettra du bois ou un enduit terre a la manière des cloisons. on verra plus tard…

ce week end, j’ai refait une beauté a mon aire de collage de poutre en I qui avait bougé avec l’hiver. il a donc fallu enlever toutes les palettes et refaire le niveau. passionnant…


pour finir, on a fini de tracer toutes les cloisons. même Julie nous a filé un coup de main. elle a rempli l’emplacement des cloisons a la craie. ça l’a occupé et elle était toute contente de nous aider.

et puis… c’est tout…

je commande l’OSB pour les poutre en I du plancher cette semaine et on va pouvoir s’y remettre dans la joie et la bonne humeur, histoire que tout soit prêt pour ma première volée de vacances. si avec un peu de chance, la toiture se passe bien, on enquille sur le plancher sans perdre de temps, d’où l’intérêt que les poutres soit prêtes.

ha non, mais, c’est une organisation qui est reflexionné avec les boyaux de la tête, hein !

On va pouvoir avoir une araignée au plafond !

Les plafonds de l’étage sont terminés.

on a commencé par finir de poser les solives.

vu d’ici, ça déboîte de la rotule a mémé, non ?

c’était pas très compliqué sauf dans les angles ou ma souplesse légendaire équivalente a un manche de pioche a été mise a rude épreuve.

puis je suis passé a la pose du lambris sapin. c’est du 17 mn d’épais, ce qui suffira amplement pour poser du bazard dessus. pour la chambre d’amis situé au dessus des chambres d’enfants, on mettra sûrement une deuxième couche pour faire plus propre et plus solide même si c’est utilisable comme ça. m’enfin, ça c’est pour plus tard.

pose classique. on coupe ce qui dépasse et on le remet a la suite.

et il faut clouer dans les coins. penser souple. souple, je suis souple… non ? bon d’accord…

et le plafond de notre chambre fini. il est vraiment chouette ce lambris. très clair, il tranche bien avec les solives en douglas. exactement ce qu’on aime.

puis la chambre des enfants. alors la, ce fut bien plus simple car ça faisait presque la largeur de deux lame. il fallait juste couper 5 cm sur une des deux. c’est bien plus rapide comme ça. estelle me préparait les coupes en bas et il y avait plus qu’a poser.

la petite découpe de passage du poinçon

vu de dessus, ça fait finalement une belle surface utile. c’est quasiment une chambre supplémentairement. mais bon, sans fenêtre…

la salle de bain. la surface utile se réduit et… souple, je suis souple…

le bonnet est autant pour la fraîcheur des températures que pour servir d’amortisseur entre mon crane et les pannes que j’ai bien du me manger, une dizaine de fois… grouummpfff !

outre l’éclatage de tronche sur panne, les genoux… aïeeuuuu !!! deux après midi et une journée complète a genoux, ça irrite !

et il ne restait que le placard a finir.

et au final, le placard

la salle de bain

notre chambre

et les chambres des p’tiots. chouette photo, non ?

allez, ça sera ça de moins a faire. il reste juste a fermer les coté avec les chutes de lambris et basta !

on a ensuite attaqué les cloisons.

on a commencé par la chambre des p’tiots. on a posé un gros montant car il va y avoir deux portes qui vont de fermer a cet endroit et deux descendant de viking pur souche qui ne connaissent pas la délicatesse en matière de fermeture de portes. vaut mieux prévoir costaud…

pour les montants, on a doublé les extrémités avec deux taquets. quelques clous et ça ne bouge pas.

et la première future cloison en place

voila, pour cet semaine, on va finir le plancher de l’étage, boucher tous les trous et finir aussi de fermer les plafonds. et ça sera déjà pas mal.

Il est tout beau, il est tout chaud, le blog nouveau ! on vous gâte quand même, non ?

voila, vous allez pouvoir suivre nos aventures et nos âneries sur un blog de luxe qui claque son web 2.0 !

comme expliqué dans le précédent post de mise en travaux, ça ne change pas grand choses pour vous et cette nouvelle présentation n’a pas du vous faire tomber de votre chaise. on espère juste que ça vous plaise mais c’est quand même très subjectif tout ça.

en tout cas, pour nous, ça nous permet de faire des sauvegardes régulières, de vous concocter une belle présentation plus agréable a lire et surtout d’avoir complètement la main sur les âneries qu’on écrit.

pour info, l’ancien blog était basé sur le principe du « cloud computing » très a la mode en ce moment ou on héberge ces fichiers chez un tiers.

l’exemple le plus connu, c’est les comptes gmail et tous les services attachés. vos mails, photos, documents etc… sont donc stocké chez google. c’est très pratique mais… si l’envie prend a google de clôturer votre compte pour x raison, vous perdez tout et vous n’avez aucun recours. c’est assez rare mais cela arrive.

l’ancien blog était hébergé chez 1&1 avec leur outils 1&1 blog, très pratique car entièrement paramétré et en gros il n’y avait plus qu’a écrire et poster. mais la contre partie était qu’on ne pouvait pas faire grand chose. c’était la présentation et les plugins 1&1 et c’est tout. sans compter le problème de sauvegarde impossible.

encore une fois, c’est pas que ce que l’on écrit soit très important mais c’est du boulot  ( 295 articles quand même… ) et il suffit que 1&1 plante pour X raison et on paume tout.

donc, voila, un petit retour nous intéressent.

si vous trouvez des trucs qui plantent ou si la présentation vous agresse les mirettes, n’hésitez pas.

Pour finir, je tiens a remercier le forum d’entraide wordpress et en particulier « lumière de lune » pour ses coups de main a répétitions. je dois bien avouer que je n’y serais pas arrivé sans son aide. ça dépassait largement mes compétences en informatique.

Pris dans la glace et le froid dur, on a enfin dégelé…

après une pose forcé dut a la météo très très hivernale ( -18° chez nous ) d’ il y a deux semaines, on a reçu notre bois cette semaine.

donc, on a rangé tout ça, a l’abri et on s’est mis au boulot ce week end.

au menu, finir le plancher de notre chambre et attaquer le solivage du grenier.

on a laissé tomber l’idée de mettre du pare vapeur au fond du coffre, au prix que ça coûte, on s’est dit que de vieux journaux ferait un très bon pare poussière a pas cher.

pendant qu’Estelle posait les journaux  ( avec une agrafeuse très farceuse qui l’a passablement énervé et qui pour une fois me donne une bonne occaz’ de la  taquiner… gnark gnark ! d’habitude, c’est moi le ronchonchon qui s’énervent sur les outils qui marche pas. Estelle, c’est la calmitude incarné. donc, j’en profite, je sais, c’est petit… mais… gnark gnark ! )

j’ai commencé a émulsionner ( touillé, quoi ! ) la ouate de cellulose.

une grande poubelle, un malaxeur a peinture et un tiers de la poubelle remplie de ouate compacté, donne une fois foisonné ( brassé, quoi ) une poubelle remplie de ouate très aérienne, prête a être déversé.

le port du masque est obligatoire pour celui qui expansionne le produit ( lui marave la tronche au malaxeur, quoi ! ) ça fait pas mal de poussière.

on déverse en vrac et on réparti sans tasser sinon, ça sert a rien.

je préparais la ouate et Estelle répartissait le tout. puis clouage de planche en cœur.

et le clouage final

pour un résultat tout pas beau mais prévu. on avait gardé toutes les chutes pour notre chambre sachant que ça ne serait pas visible de dessous car c’est la seule pièce fermé par en dessous. hé, non mais ! des fois, quand même, on réfléchis, hein ! pas tout le temps c’est vrai mais la… oui !

le plancher, c’est fait. reste a boucher les trous avec les restants de chute, couper ce qui dépasse et basta pour la plancher de l’étage.

le solivage, c’est passé les doigts dans le nez et une main dans le dos. pour une fois…

c’est peut être du a ce qu’on a pas voulu s’embêter et on a posé les solive par dessus les fermes contrairement a l’étage du dessous ou les solive ont été posé entre les fermes sur un taquet.

on commence par monter les solives en cœur…

par dessus, c’est ach’t plus simple quand même. une vis de chaque coté et roule !

et le résultat de la chambres des p’tiots qui sera aussi une chambre de dépannage doublé d’un débarras foutoir.

je vais chercher du plancher sapin mercredi pour couvrir tout ça et, ça aussi, on en parlera plus.

cette semaine, donc, fin du solivage, pose du plancher par dessus et début de pose des cloisons.

sinon, au rayon des bonnes nouvelles qui fendent le cœur… la grue nous a quitté de la plus moche des manières…

ça faisait un moment que je devais m’en occuper et que, outre le fait qu’elle nous prenait une place pas possible, elle nous rappelait surtout de mauvais souvenir.

donc, le ferrailleur est venu nous débarrasser tout ça. on a récupéré une misère dessus mais au moins, on a pas du payer pour la faire enlever. c’est déjà pas mal.

mention spéciale pour le grutier qui a réussi a la choper et slalomer entre mon portail, le mur et le câble téléphonique. très fort le gars !

allez, une page est tournée… même si je peux vous dire que ça m’a fendu le cœur…